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Cameroun
Yonne Lautre
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Pour la protection de la forêt d’Ebo au Cameroun31 juillet 2020, par Yonne Lautre
La forêt d’Ebo au Cameroun est un trésor de biodiversité. Elle abrite chimpanzés, gorilles et de nombreuses autres espèces menacées. Alors que des actions sont menées de longue date pour la classer et la protéger comme parc national, le gouvernement camerounais a décidé d’en ouvrir 150 000 hectares à l’exploitation forestière.
https://www.sauvonslaforet.org/petitions/1221/pour-la-protection-de-la-foret-debo-au-cameroun610 -
Comment s’organise la riposte contre le Covid-19 au Cameroun ?24 mars 2020, par Yonne Lautre
Face au défi du coronavirus, le Cameroun a mis en place un système de détection qui obéit à une procédure conforme aux orientations proposées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
À travers le ministère de la Santé publique, le Cameroun a mis en place plusieurs stratégies de prévention et de détection des cas de Covid-19, notamment au niveau des postes de santé aux frontières et aux points d’entrée portuaires (Port autonome de Kribi) et aéroportuaires (Aéroports internationaux de Douala et Yaoundé-Nsimalen) du pays.
https://theconversation.com/comment-sorganise-la-riposte-contre-le-covid-19-au-cameroun-133750
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Comment sortir de la crise meurtrière qui déchire le Cameroun ?4 septembre 2019, par Yonne Lautre
Felix Agbor Balla Nkongho, avocat camerounais de premier plan et militant reconnu pour son combat en faveur des droits humains, a été incarcéré neuf mois pour avoir pris part à des manifestations contre la marginalisation du système judiciaire et éducatif dans les régions anglophones du Cameroun, auquel le gouvernement francophone a réagi par un déchaînement de violence meurtrière. M. Nkongho, 49 ans, s’est rendu en Afrique du Sud au mois d’août afin de sensibiliser l’opinion à la crise qui secoue son pays. Il a répondu aux questions de Cheryl Hendricks et Gabriel Ngah.
https://theconversation.com/comment-sortir-de-la-crise-meurtriere-qui-dechire-le-cameroun-122844 -
Au Cameroun, Ebodjé, l’écovillage qui protège ses tortues marines6 mai 2019, par Yonne Lautre
Alors qu’un rapport alarmant sur la biodiversité est dévoilé ce lundi, la protection des espèces marines a dopé l’écotourisme dans cette localité au bord de l’océan Atlantique.
https://www.lemonde.fr/planete/article/2019/05/06/au-cameroun-ebodje-l-ecovillage-qui-protege-ses-tortues-marines_5458638_3244.html -
Cameroun. Comment le président Biya garde le pouvoir depuis 36 ans22 octobre 2018, par Yonne Lautre
Les Camerounais ont voté le 7 octobre lors de la présidentielle. Les résultats ne sont pas encore connus, mais Paul Biya, qui dirige le Cameroun depuis 1982, devrait être réélu une septième fois, malgré ses absences et l’aggravation de la “crise anglophone”. Pour conserver le pouvoir, il manie habilement la politique de la carotte et du bâton.
http://www.europe-solidaire.org/spip.php?article46553 -
Pourquoi le Cameroun se déchire-t-il ?19 février 2018, par Yonne Lautre
Bien qu’il y ait de plus en plus d’informations concernant le conflit socio-politique qui se déroule depuis plus d’un an au Cameroun, opposant le pouvoir de Yaoundé aux leaders des mouvements fédéralistes et sécessionnistes de la minorité anglophone des régions du nord-est et sud-ouest du pays – soit 20 % d’une population en majorité francophone –, il n’est pas toujours facile de cerner les enjeux de cette crise qui s’aggrave au fil des mois.
Des informations récentes indiquent qu’environ 40 000 personnes ont déjà fui au Nigéria voisin. Et il y a quelques jours, la fête de la jeunesse célébrée le 11 février a été endeuillée par la mort de trois gendarmes et la disparition d’un sous-préfet à Kembong et à Batibo, dans les régions anglophones. Ce bilan vient s’ajouter aux chiffres déjà enregistrés de 17 civils au moins et de 19 militaires qui ont trouvé la mort depuis le début de la crise.
https://theconversation.com/pourquoi-le-cameroun-se-dechire-t-il-91443
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Au Cameroun, les réfugiés de Boko Haram luttent pour le reboisement de leur camp16 janvier 2018, par Yonne Lautre
Dans le nord du Cameroun, l’afflux de dizaines de milliers de réfugiés fuyant Boko Haram menace un environnement déjà fragile et crée des tensions avec les habitants. Pour lutter contre la déforestation, certains déplacés se mobilisent pour reboiser et proposent des solutions de rechange à la coupe de bois.
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Cameroun : Corée du Nord en Afrique centrale4 janvier 2018, par Yonne Lautre
Colonie allemande depuis 1884, le Cameroun passa sous contrôle militaire français et anglais en 1916. Après la fin de la Première Guerre mondiale, il fut placé sous le protectorat de la Société des Nations qui confia des mandats d’administration aux Français et aux Anglais. L’ouest, bordant la frontière avec le Nigeria, fut placé sous la tutelle anglaise, le centre, le sud, l’est et le nord, c’est-à-dire les quatre cinquièmes du territoire et les trois quarts de la population, sous tutelle française. Le 1er janvier 1960, le Cameroun français accède à une pseudo-indépendance entièrement pilotée par la France à travers sa créature Hamadou Ahidjo. On est alors en pleine guerre de répression des indépendantistes de l’Union des populations du Cameroun.
https://france.attac.org/nos-publications/les-possibles/numero-15-automne-2017/dossier-nationalites-et-frontieres/article/coree-du-nord-en-afrique-centrale -
La guerre du Cameroun, un demi-siècle de censure et d’oubli24 février 2017, par Yonne Lautre
Parmi les épisodes refoulés de l’historiographie coloniale, la guerre que la France a menée au Cameroun dans les années 1950 et 1960 occupe une place à part. Il s’agit même d’un cas d’école puisque personne ou presque, en France, n’en connait l’existence. Cette guerre secrète, qui a pourtant fait des dizaines de milliers de victimes, est passée inaperçue à l’époque où elle se déroulait et les traces qu’elle a laissées ont été méthodiquement effacées. Au Cameroun également, la mémoire de ce conflit eut du mal à se transmettre : la victoire de la France et de ses auxiliaires camerounais a permis l’installation d’une féroce dictature, qui s’est empressée d’effacer la mémoire du combat anticolonialiste dont elle a pourtant récolté les fruits.
par Thomas Deltombe -
Cameroun Brèves Un projet de palmeraie menace la forêt tropicale et ses habitants.7 décembre 2016, par Yonne Lautre
Pas de plantation d’huile de palme dans cette forêt !
Nous avons l’opportunité de stopper définitivement un projet de plantation industrielle d’huile de palme au Cameroun. Malgré les pressions de ses investisseurs new-yorkais et de diplomates US sur les autorités, populations locales et ONG écologistes ont réussi jusqu’ici à limiter la déforestation. Écrivons au gouvernement camerounais.
https://www.sauvonslaforet.org/petitions/1074/pas-de-plantation-d-huile-de-palme-dans-cette-foret
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Le Cameroun parmi les pays les plus prisés pour ses terres1er septembre 2016, par Yonne Lautre
Selon une récente étude de Thinking Africa, le pays fait partie des plus convoités par des « prédateurs » étrangers avec 0,7 million d’hectares de ses terres cédés
Des études nationales et de rapports de l’Union africaine, de l’ONU et de la Banque mondiale, font savoir que, depuis l’an 2000, l’Afrique a cédé à des étrangers des terres arables à hauteur de 100 milliards de dollars. Parmi les pays concernés, figure le Cameroun.
L’Afrique brade ses terres, dénoncent les uns ; les investissements agricoles étrangers stimulent le développement, admettent les autres.
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Infrastructures, développement et ressources naturelles en Afrique : Quelques exemples du Cameroun30 août 2016, par Yonne Lautre
Dans un monde caractérisé par une croissance en berne, l’Afrique est généralement présentée comme le continent de l’avenir, avec une croissance moyenne autour de 5%, qui est restée constante, même pendant la crise financière mondiale. Le potentiel du continent est en effet élevé, avec des ressources naturelles diversifiées et faiblement exploitées : ressources extractives, bois d’œuvre, terres arables pour l’agriculture, etc. Le développement d’infrastructures est cependant nécessaire pour espérer assister à l’attraction escomptée des investissements sur le continent. Inspirés par l’exemple des dynamiques économies des nouveaux pays industrialisés d’Asie, d’Amérique du sud voire d’Afrique, de nombreux pays du continent aspirent à leur tour à devenir des économies émergentes à échéance d’une génération
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Signature des APE : Le Cameroun à l’heure des regrets ?26 février 2016, par Yonne Lautre
Ayant signé, à titre intérimaire, l’Accord de partenariat économique (APE) avec l’Union européenne, le Cameroun s’en mord les doigts.
Comme le démontre d’ailleurs un rapport présenté le 16 février dernier à Libreville.
Le Cameroun a-t-il fait le bon choix en signant l’accord d’étape vers un Accord de partenariat économique (APE) avec l’Union européenne ? La firme en conseil Presciptor a tenté de répondre à cette question à travers son rapport « Le Cameroun face à l’Accord de partenariat économique avec l’Union européenne : menace ou opportunité », présenté le 16 février dernier à Libreville. -
Cameroun : Achille Mbembe : « A quand l’ouverture de nos archives à nous ? »13 août 2015, par Yonne Lautre
Connu à l’international comme un éminent théoricien de la postcolonie, philosophe, Achille Mbembe est aussi Professeur d’histoire et de sciences politiques à l’université Witwatersrand à Johannesburg en Afrique du Sud. En 1996, l’universitaire a publié aux éditions Karthala : « La naissance du maquis dans le Sud-Cameroun (1920-1960) ». Journalducameroun.com l’a sollicité pour parler des années sombres de la France au Cameroun, après la reconnaissance faite par François Hollande à Yaoundé de la « répression » organisée « en pays Bamiléké » et de l’ouverture des archives françaises. Entretien dense, sans concessions, avec des propositions sur l’avenir.
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Relations Chine-Cameroun : la question foncière divise15 janvier 2015, par Yonne Lautre
Le patron de la diplomatie chinoise a rencontré le ministre des Relations extérieures lors d’une audience ce 13 janvier 2014 à Yaoundé. Les sujets qui fâchent n’ont pas été éludés !
L’acquisition des terres arables camerounaises par les intérêts chinois n’a pas pu être évitée lors de l’audience et de la séance de travail bipartite animées par le ministre Moukoko Mbonjo et son hôte Wang Yi. Les responsables camerounais ont souligné leurs réserves vis-à-vis de la politique extérieure de l’Empire du milieu en Afrique notamment sur la question foncière. - See more at : http://farmlandgrab.org/post/view/24415#sthash.r8WGlXRg.dpuf
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Cameroun : le régime autoritaire cherche à intimider la population et augmente la dette21 décembre 2014, par Yonne Lautre
La loi « antiterroriste », adoptée début décembre 2014 par le Parlement au Cameroun et qui instaure la peine de mort, provoque une levée de boucliers chez les opposants et les mouvements sociaux locaux. Les opposants à la loi dénoncent en particulier l’article 2, qui déclare passible de la peine de mort quiconque « commet tout acte ou menace susceptible de causer la mort, de mettre en danger l’intégrité physique, d’occasionner des dommages corporels ou matériels, des dommages de ressources naturelles, à l’environnement ou au patrimoine culturel ». Le code pénal camerounais prévoit déjà la peine capitale pour les coupables de meurtres et d’assassinats, le texte de la loi y ajoute donc désormais les personnes qui ne commettent qu’une menace... On mesure la latitude que se donne le pouvoir pour renforcer brutalement la répression et criminaliser la protestation sociale.
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Pourquoi faut-il réaliser un audit citoyen de la dette du Cameroun ?30 août 2014, par Yonne Lautre
Indépendant en droit depuis 1960, le Cameroun a depuis lors été confronté à une augmentation exponentielle de sa dette publique extérieure, problème commun à de nombreux pays africains. Si l’on s’en tient aux chiffres officiels fournis par la Banque Mondiale, l’État camerounais affiche pourtant un visage de bonne santé économique : un taux de croissance de 4,9 % en 2014 et une inflation cantonnée à 1,9 % dans la même année.
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L’audit de la dette publique camerounaise, une nécessité démocratique6 mars 2014, par Yonne Lautre
Interview de Jean-Marc Bikoko par Françoise Wasservogel (CADTM France)
Jean-Marc Bikoko, tu as 57 ans, tu es Camerounais, enseignant, géographe et économiste. Tu as un long parcours de combats syndicaux. Peux-tu nous en dire un peu plus ?
En effet, syndicaliste depuis longtemps, je deviens d’abord Président du Syndicat National Autonome de l’Éducation et de la Formation (SNAEF), puis Président de la Centrale Syndicale du Secteur Public (CSP) en 2000. Depuis 2006, je suis le coordinateur de la Plate-forme d’Information et d’Action sur la Dette au Cameroun (PFIAD) dont l’objet est « d’informer les citoyens sur l’évolution et les caractéristiques de la dette du Cameroun, et les alerter pour des actions si nécessaires afin que plus jamais la situation du sur-endettement ne revienne ». La PFIAD regroupe 6 organisations (syndicats, société civile et représentations religieuses). Nous avons le projet de lancer un audit de la dette publique camerounaise de 1944 à 2013.
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Cameroun Exploitation sucrière : Le crime de SOSUCAM mis à nu29 août 2013, par Yonne Lautre
Ce que l’on pourrait désormais appeler SCANDALE, perpétré sur les populations riveraines des exploitations sucrières de Nkoteng et Mbandjock, fait resurgir la problématique sur le peu de crédibilité dont fait l’objet certaines entreprises qui glanent des lauriers à l’international alors que sur le terrain, elles gauchissent au quotidien les dispositions de leurs obligations légales et même les principes fondamentaux liés à leurs responsabilités en matière de Droits de l’Homme.
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Cameroun - Accaparement des terres : Le danger permanent29 août 2013, par Yonne Lautre
PIERRE CELESTIN ATANGANA ET BORIS BERTOL Selon un rapport de la Banque mondiale publié le 22 juillet dernier, le continent compte 202 millions d’hectares de terres encore inexploitées. Ces vastes étendues de surfaces arables constituent une source de convoitise de la part des multinationales tant de l’agro-industrie que de l’industrie des biocarburants ainsi que des opérateurs locaux dont le goût irréfragable pour l’accumulation pousse à l’indécence. Ces terres, socle sur lequel s’appuiera la banque agricole pour accorder les crédits aux exploitants de ce secteur, relèvent encore toutes du domaine national, c’est-à-dire ne sont pas immatriculées. Ce qui crée une insécurité foncière dans les villages et coins reculés d’Afrique centrale en général, et du Cameroun en particulier.
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