9 janvier 2017 Les coûts cachés du démantèlement des plates-formes de la mer du Nord
Le montant du nettoyage de la mer du Nord vient d’être revu à la hausse. De quoi mécontenter le ministre des finances britannique et les indépendantistes écossais.
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Le montant du nettoyage de la mer du Nord vient d’être revu à la hausse. De quoi mécontenter le ministre des finances britannique et les indépendantistes écossais.
Alors que la conférence de Pau sur l’exploitation pétrogazière en eau profonde s’est achevée jeudi, l’industrie prépare la bataille à venir des énergies fossiles océaniques. La dangerosité écologique de ces forages inquiète les défenseurs de la nature, qui se revendiquent « citoyens de la nation océan ».
http://www.reporterre.net/Les-compagnies-petrolieres-lorgnent-les-oceans-au-mepris-du-climat
L’ambitieux complexe d’exploration pétrolière en eaux profondes géré par Petrobras au large de Rio promettait richesses et prospérité. C’est aujourd’hui l’une des opérations de forage les plus périlleuses au monde qui préoccupe autant les économistes que les défenseurs de l’environnement.
Il y a 4 ans, l’explosion de la plateforme pétrolière Deepwater provoquait une catastrophe écologique. Aujourd’hui, les régions sinistrées aux Etats-Unis, celles situées autour du golfe du Mexique, s’apprêtent à recevoir leur part des dédommagements versés par le pétrolier BP. Une indemnisation mise en place dans le cadre d’une loi votée en 2012. Mais sa mise en œuvre se révèle complexe. Avec le risque, déjà identifié par plusieurs associations, de gaspiller cette manne financière dans des projets bien loin de la restauration de l’écosystème.
Assis sur un banc à l’abri des rafales de vent au milieu des roches volcaniques et des cendres noires, dans le patio de la fondation Cesar-Manrique dont il est porte-parole, Alfredo Diaz a promis de ne pas aborder le projet des explorations pétrolières au large des îles Canaries. Il préfère raconter l’histoire de son île si singulière, Lanzarote, ravagée par l’éruption volcanique du Timanfaya en 1730. Et celle de la fondation, bâtie sur une coulée de lave et consacrée à la diffusion de valeurs culturelles et environnementales.
Une dizaine d’espèces marines portent encore les stigmates de la marée noire liée à l’explosion de la plate-forme pétrolière Deepwater Horizon, le 20 avril 2010, dans le golfe du Mexique. Une compilation des études scientifiques, réalisée par la National Wildlife Federation (NWF), estime que la restauration des écosystèmes est loin d’être achevée.
http://www.journaldelenvironnement.net/article/deepwater-4-ans-apres,45007?xtor=EPR-9
Dans leur très grande majorité, les sources de pétrole encore intactes se situent au large, de plus en plus loin des rivages et de plus en plus profond. L’accès aux champs offshore devient un enjeu vital pour nombre pays pétroliers majeurs.
Engagé depuis février dans un méga-procès civil sur l’explosion de sa plate-forme pétrolière Deepwater Horizon en 2010 (onze morts, une marée noire catastrophique), BP tente de contre-attaquer en dénonçant des abus dans l’indemnisation des victimes, et mettant en avant les milliards de dollars déjà versés pour faire face à la catastrophe.
L’explosion de la plateforme Deepwater Horizon en 2010 a entraîné le déversement de quantités phénoménales de pétrole dans le Golfe du Mexique. Près de 50 000 travailleurs ont été mobilisés pendant des mois par le pétrolier pour participer aux opérations de nettoyage. Certains d’entre eux se plaignent aujourd’hui de graves troubles de la santé.
Les opérations pétrolières et gazières en haute mer se déroulent en l’absence de règles en matière de responsabilités et d’indemnisations en cas de pollution. Une directive sur les forages offshore tente de mettre fin à ce vide juridique.
Une nouvelle directive européenne va renforcer les exigences de sécurité sur les plateformes de gaz et pétrole offshore. Mais c’est surtout en Afrique que les questions de réglementation, notamment en cas de sinistre transfrontalier, se posent avec le plus d’acuité.
Communiqué de presse.
Bonn, le 28 juin 2012.
Réunion plénière - Commission OSPAR pour la protection de l’Atlantique du Nord-Est. logo rdb
Plus de transparence pour l’offshore et moins de lumière
A la fois très loin de la Guyane et tout près, les Etats-membres de la Commission OSPAR pour la protection de l’Atlantique du Nord-Est réunis à Bonn ont abordé l’industrie offshore avec Robin des Bois comme poisson-pilote. La zone de compétence de cette Commission internationale s’étend des eaux arctiques au Portugal.
Transparence
Environ 1.300 installations offshores pétrolières et gazières sont implantées dans l’espace OSPAR, principalement en Mer du Nord et en Mer de Norvège. Pionnier dans le domaine de l’industrialisation de la mer, ce secteur profite de son isolement géographique. Robin des Bois a proposé aux Etats-membres d’OSPAR de cartographier précisément les plates-formes et d’associer à chacune une fiche d’identité comprenant les dates clefs, la profondeur d’eau, la profondeur du forage dans le sous-sol océanique, le pavillon (certaines installations de forage dans la zone OSPAR sont sous pavillon Panama ou Iles Marshall), les noms des sociétés impliquées (propriétaires, opérateurs, exploitants, sous-traitants…), les accidents survenus sur site (incendies, rejets d’hydrocarbures…) et les principaux rejets chroniques. Cette proposition n’a pas été accueillie favorablement par la délégation du Royaume-Uni, ni par l’Association internationale des producteurs de pétrole et de gaz (OGP). La transparence ça coûte cher à mettre en place et toutes ces informations sont par ailleurs disponibles sur des banques de données payantes, disent-ils. Ces arguments n’ont pas convaincu. La France, la Suède, l’Espagne, l’Allemagne ont soutenu la proposition de Robin des Bois. L’ONG sera exceptionnellement invitée à la prochaine réunion du comité d’experts offshore d’OSPAR pour détailler le projet et les modalités de mise œuvre envisageables. Jusqu’alors et depuis très longtemps, la France est représentée au sein de ce comité d’experts par TOTAL. Le changement est-il pour maintenant ?
A la demande de Robin des Bois, le Royaume-Uni présentera son analyse de l’accident de la plate-forme gazière de TOTAL sur le champ d’Elgin au large de l’Ecosse lors du prochain Comité Industrie Offshore d’OSPAR, malgré les réticences du chef de la délégation anglaise qui estime « qu’il n’y a pas eu de pollution » (1). Cette analyse sera débattue par les délégués des autres Etats-membres. Il aura fallu à TOTAL presque 2 mois à partir du 25 mars 2012 pour colmater les fuites, sans garantie de pérennité. En Arctique où l’exploitation offshore se développe, les moyens d’intervention seront beaucoup plus longs à mettre en œuvre ou inopérants.
Pollution lumineuse
Les plates-formes offshore sont aussi des pièges pour les oiseaux migrateurs. Les projecteurs de lumières dignes d’un stade de foot un soir de grand match fusent dans les ciels nuageux et attirent les oiseaux qui migrent préférentiellement la nuit pour éviter les prédateurs. Ils tournent, se cognent contre les superstructures, se fatiguent, tombent blessés ou morts sur les caillebotis ou dans la mer (2). 58 espèces sont impactées. Les Etats-membres d’OSPAR n’ont pas réussi à se mettre d’accord pour imposer en période critique (mauvaise visibilité et période de migration) une réduction de l’intensité lumineuse sur les installations. Le principal opposant est … le Royaume-Uni. Le sujet a été maintenu dans le plan de travail d’OSPAR grâce au sauvetage de l’Allemagne, de la Suède et des Pays-Bas. Dans un premier temps un questionnaire va être envoyé aux opérateurs pour qu’ils déclarent leurs observations des vols d’encerclement et des mortalités. Robin des Bois a appelé les Etats à la vigilance : les réponses doivent être circonstanciées et les opérateurs peuvent unilatéralement prendre des mesures de réduction de la pollution lumineuse. Celles-ci, sur une plate-forme allemande en Mer de Wadden, ont déjà prouvé leur efficacité pour protéger les oiseaux tout en préservant la sécurité des travailleurs.
Voir aussi
Le plein de risques en Guyane, en Normandie et en Arctique, communiqué du 22 juin 2012
Faire le plein de risques au large de la Guyane, communiqué du 20 juin 2012
Un oeil sur la Mer, communiqué du 18 août 2011
Contact à Bonn : Charlotte Nithart + 33 6 10 98 13 87.
(1) : Cauchemar en Mer du Nord, communiqué Robin des Bois du 2 avril 2012.
(2) : Mégatombe de rouge-gorges en Mer du Nord, communiqué Robin des Bois du 7 mars 2011.
A Aberdeen, la ville pétrolière du nord-est de l’Ecosse, personne ne veut en entendre parler. Malgré la récente fuite de gaz survenue sur la plate-forme Elgin de Total, l’industrie pétrolière est vent debout contre la tentative de Bruxelles de revoir les règles de sécurité des forages en mer du Nord. Et le gouvernement britannique l’appuie : Charles Hendry, le secrétaire d’Etat britannique à l’énergie, devait se rendre à Aberdeen, lundi 11 juin, pour y faire un discours affirmant une nouvelle fois son opposition aux propositions européennes.
Les plates-formes pétrolières forent toujours plus profond mais le droit des mers peine à encadrer leurs activités, selon l’IDDRI, qui a lancé en mars 2012 le projet "Pour une réglementation internationale de l’exploitation énergétique offshore".
Le 25 mars dernier, une fuite de gaz se produit sur la plate-forme d’Elgin, gisement producteur de gaz naturel et d’hydrocarbures liquides situé en mer du Nord britannique, à environ 240 km de la ville d’Aberdeen. Depuis lors, l’exploitant du site, Total, a travaillé à installer le matériel nécessaire pour stopper la fuite en question, et à forer un premier puits de secours. Initialement estimé à 2,0 kg /seconde (environ 200 000 m3/ jour), le débit de fuite du gaz avait progressivement diminué à 0,5 kg / seconde (soit environ 50 000 m3 / jour).
http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=5168
La multiplication par 5 du prix du pétrole entre 2003 et 2008, de 30 à 150 $, a envoyé au monde le message que la demande mondiale de carburants et de combustibles ne pourrait pas être satisfaite au 21e siècle comme elle le fut au 20e, c’est-à-dire à partir de ressources pétrolières abondantes, aisément accessibles, sans risques géopolitiques et techniques majeurs.
http://www.enerzine.com/10/13950+petrole---des-forages-en-mer-toujours-plus-p%20rofonds+.html
L’autorisation préfectorale de l’ouverture d’une nouvelle campagne déposée en mars dernier par Shell qui lui accordera quatre forages d’exploration et une campagne sismique a été avancée à demain, samedi. Initialement prévue mardi, elle prend de cours les opposants à l’ouverture des travaux pétroliers qui organisent leur mouvement de protestation.
La plateforme d’Elgin, au large de l’Ecosse, était le laboratoire et la vitrine de Total pour l’exploitation des hydrocarbures en grande profondeur. Mais des fuites avaient déjà entaché la production.
ABERDEEN (Royaume-Uni) - La torchère sur une plateforme de Total en mer du Nord évacuée à cause d’une fuite de gaz, et qui faisait craindre aux experts une possible explosion, est éteinte, a annoncé samedi un porte-parole du groupe pétrolier français.
Nous pouvons confirmer que la torchère a été éteinte, a déclaré à l’AFP ce porte-parole depuis Aberdeen, ville écossaise située à 240 km de la plateforme et où Total a mis en place une cellule de crise.
La torchère s’est éteinte d’elle-même, ce à quoi nous nous attendions, a ajouté un autre porte-parole, Brian O’Neill, précisant que Total avait fait cette première observation vendredi à la mi-journée et qu’un vol de reconnaissance mené samedi matin avait permis de vérifier que la torchère était effectivement bien éteinte.
Terra Eco - 31 mars 2012
Quelle qu’en soit l’issue, la fuite de gaz survenue dimanche sur la plateforme gazière d’Elgin pèsera sur l’image et les projets du géant pétrolier français Total. Pas seulement parce que le réservoir Elgin-Franklin fournissait 7% du gaz produit au Royaume-Uni. Si bien que Total perd aujourd’hui entre 10 et 15 millions de dollars (entre 7,5 et 11 millions d’euros) par jour (perte de revenus, coûts d’intervention…). Pas seulement non plus parce que les investisseurs craignent un accident majeur à venir et que le titre de Total s’effondre en Bourse.
Par Sophie Chapelle (29 mars 2012)
Après le Golfe du Mexique, après les côtes de Rio, voici la mer du Nord. La plate-forme gazière de Total au large de l’Écosse menace d’exploser suite à une fuite massive et incontrôlée. A chaque fois, ces accidents se déroulent sur des forages de plus en plus profonds. Ou quand les compagnies pétrolières jouent aux apprentis sorciers pour aller chercher les ultimes ressources en hydrocarbures.
En mer du Nord, un nuage de gaz explosif s’est échappé d’une plate-forme de la compagnie Total.
– 28 mars 2012
Mercredi 28 mars, 11 h02 - liberation.fr
Une torchère brûlait toujours sur une plateforme de Total en mer du Nord évacuée en raison d’une fuite de gaz qui perdure depuis dimanche, a reconnu ce mercredi le groupe pétrolier français, tandis que des experts s’interrogeaient sur d’éventuels risques d’explosion.
« La torchère brûle, comme c’est normalement le cas sur une plateforme », a déclaré un porte-parole de la compagnie, Brian O’Neill, sans donner plus de détails.
Le géant pétrolier français Total luttait mardi contre une importante fuite de gaz sur une de ses plate formes en mer du Nord, qui a entraîné la mise en place d’une zone d’exclusion maritime et aérienne et l’évacuation par précaution de plus de 300 personnes.
La fuite sur la plate-forme du gisement d’Elgin, à environ 240 kilomètres au large de la ville écossaise d’Aberdeen, représente d’ores et déjà « le plus gros incident pour Total en mer du Nord depuis au moins dix ans », a indiqué à l’AFP un porte-parole de la compagnie de la compagnie, Brian O’Neill.
http://www.liberation.fr/monde/01012398574-total-perd-du-gaz-en-mer-du-nord
Une résolution** adoptée mardi à une large majorité par le Parlement Européen voudrait que l’exploitation de nouveaux champs pétroliers ou gaziers en Europe ne devrait être autorisée que moyennant présentation, par l’opérateur, d’un plan d’urgence et de moyens financiers suffisants pour réparer tout dommage causé à l’environnement
http://www.enerzine.com/10/12598+forage-offshore--plans-durgence-pour-toutes-les-operations+.html
Pendant que nos yeux sont rivés sur les centrales nucléaires, on fore au large des côtes de la Guyane pour trouver du pétrole. Les détails du projet.
La Préfecture de Guyane a donné son feu vert, le 3 mars dernier, au groupe britannique Tullow Oil pour sonder une potentielle nappe de pétrole sous les eaux guyanaises. Les tiges de forage, elles, tournent d’ores et déjà à plein régime. Offshore, environnement fragile... : le contexte n’est pas sans rappeler celui qui, en avril 2010, a englué les côtes du Golfe du Mexique, dans les eaux territoriales américaines, suite à l’explosion de la plate forme Deepwater Horizon de la compagnie BP, créant une marée noire catastrophique.
Exploration ou exploitation ?
Objet de toutes les convoitises, la haute mer est mal protégée. À la veille d’une nouvelle période de conquêtes des ressources marines, il est urgent d’améliorer la gouvernance de ce Res Nullius.
Dans un rapport à paraître le 11 janvier, la Commission d’enquête sur l’explosion de la plateforme Deepwater Horizon affirme qu’un tel accident « pourrait bien se reproduire », « en l’absence de réforme d’envergure » dans les pratiques des exploitants et leur contrôle.
http://www.developpementdurablelejournal.com/spip.php?article7331
Réunis à Bergen en Norvège, les 15 pays européens membres de la convention Ospar pour la protection de l’Atlantique Nord-Est, ont rejeté le 24 septembre la proposition allemande de moratoire sur les forages pétroliers en eaux profondes dans cette zone.
Cette proposition visait à arrêter temporairement les nouveaux forages, afin d’éviter une catastrophe similaire à la marée noire survenue en avril, suite à l’accident de Deepwater Horizon dans le golfe du Mexique. Mais d’après l’organisation environnementale Greenpeace, l’Allemagne aurait retiré sa proposition ’’face à l’hostilité des pays pétroliers’’ de la région parmi lesquels la Norvège, la Grande-Bretagne et le Danemark.
Des activistes de Greenpeace occupent un bateau de forage géant appartenant à Chevron ancré à environ 1,5 km des îles Shetlands, au Royaume Uni, afin d’empêcher le lancement d’un forage en eaux profondes dans cette zone écologique sensible, frontière avec l’océan Atlantique.
Alors que BP a réalisé avec succès ce week-end une « ultime intervention » pour boucher définitivement son puits défectueux dans le Golfe du Mexique, Barack Obama annonce que les pétroliers devront désormais démanteler toutes les plateformes en fin de vie et sceller les conduits inactifs.
http://www.developpementdurablelejournal.com/spip.php?article7000
Une plateforme pétrolière a explosé jeudi 2 septembre dans le Golfe du Mexique, déjà lourdement meurtri par la pollution engendrée par la fuite de Deepwater Horizon. Une nouvelle catastrophe qui confirme les craintes des écologistes dans cette partie du monde où les forages sensibles en eau profonde se multiplient.
http://www.developpementdurablelejournal.com/spip.php?article6946
BP n’a pas fini de souiller le Golfe du Mexique qu’une autre compagnie pétrolière anglaise, Cairn Energy, débute de nouveaux forages dangereux. En Arctique, région jusque là non polluée par la prospection pétrolière, cette compagnie inexpérimentée vient (grâce à une concession) de forer un premier puits (et en prévoit 2 autres) de 300 à 500 mètres de profondeur.
Alors que BP et le gouvernement américain annoncent que la plus grande partie de la pollution pétrolière a « disparu » du Golf du Mexique, Greenpeace mobilise deux de ses trois navires pour faire un état des lieux et dénoncer le danger des forages en eau très profonde.
http://www.developpementdurablelejournal.com/spip.php?article6887
Sans surprise, la proposition du commissaire européen à l’Energie Günther Oettinger d’instaurer un moratoire sur les forages pétroliers en eaux profondes a été rejetée par le gouvernement de sa majesté. Une question d’ « intérêt national » selon ministre britannique de l’Energie Charles Hendry.
http://www.developpementdurablelejournal.com/spip.php?article6778
Alors que la fuite de pétrole du fond sous-marin du Golfe du Mexique continue de déverser ses 800 000 litres par jour, le forage du plus profond puits du Canada vient de démarrer.
Un consortium pétrolier (1), avec à sa tête Chevron Canada, a entrepris un forage en eaux profondes au large des côtes de Terre-Neuve.
http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=4220
Par Sophie Chapelle (3 mai 2010)
La plus grande plateforme pétrolière du monde, Atlantis, exploitée par BP dans le Golfe du Mexique, comporterait de nombreux défauts techniques. Selon le site d’information indépendant Truthout et des ingénieurs ayant travaillé pour BP, en cas de problème, ce forage pourrait provoquer demain une marée noire encore pire que celle qui menace aujourd’hui les côtes de Louisiane.