6 avril 2017 Syrie : ni Assad, ni Daech ! A Dijon, vendredi 7 avril à 17 h00 rassemblement à la préfecture

Arrêt immédiat de tous les bombardements en Syrie !
 
Levée immédiate de tous les sièges, départ de Syrie de toutes les forces armées étrangères !
 
Libération immédiate de tous les prisonniers politiques !
 
Mobilisation internationale pour l’aide humanitaire et l’accueil des réfugiés, notamment en France !
 
C’est au peuple syrien et à lui seul de décider de son avenir, et d’obtenir le jugement des responsables des crimes de guerre, qui torturent, gazent, massacrent impunément la population.

 
 Nous appelons à rejoindre les rassemblements de protestation contre le martyre de Khan Cheikhoun, et à soutenir les collectifs de solidarité avec le peuple syrien. Pour faire entendre ces exigences : :

A Dijon, vendredi 7 avril à 17 h00 rassemblement à la préfecture
 

à l’appel de ATTAC 21, Mouvement de la Paix 21,Union Syndicale Solidaires 21 , Ensemble !,
Nouveau Parti Anticapitaliste 21 , Parti de Gauche 21.


26 février 2016 Agir contre les guerres : Le Collectif organise un rassemblement politique, artistique et festif samedi 27 février de 14H à 18H à Paris

Le Collectif organise un

rassemblement politique, artistique et festif

samedi 27 février

de 14H à 18H

à Paris

rotonde Stalingrad (métro Stalingrad)

avec des contributions politiques, poétiques, chantées, musicales et picturales.

Parmi les artistes présents : Magou Samb, Antoine Anani, Sahel Ménilmontant, Georges Guta, Michel Randria, Zyriab, Ameth Sissoko, Amara, Yves Petident ainsi que de nombreuses troupes de clowns, fanfares, des poètes et gens de théâtre.

http://collectifantiguerre.org/?lang=fr


11 février 2016 Collectif ni guerres ni état de guerre : Texte fondateur

La France était en guerre bien avant les attentats du 13 novembre, lesquels ont largement servi de prétexte à intensifier ces engagements militaires. Les guerres de pillage pour le contrôle des ressources n’ont pas manqué depuis le début des années 2000, en Irak, en Afghanistan, en Libye, au Mali, en Centrafrique. Ces conflits doivent être désignés par leur nom : ce sont des guerres d’ingérence impérialiste. La France n’a aucun « rôle positif » dans ces interventions, malgré ses prétentions puisées à l’ancien répertoire colonial.

Les interventions militaires que mène l’État français sont très largement invisibles dans les médias. Le peu qui en est dit impose un consentement au nom d’une logique sécuritaire, avec ou sans habillage humanitaire ; le discours belliciste entend anesthésier et tétaniser la population. Pourtant, comment ne pas rappeler les désastres que sèment ces guerres, les millions de morts, de blessés et de déplacés, la misère, le désespoir jetant les populations sur les routes, tandis que s’enrichissent les profiteurs de guerre, les multinationales vendeuses d’armes – la France tenant en la matière le quatrième rang mondial. Ce sont aussi des dépenses colossales, qui détournent l’argent public de dépenses sociales, culturelles et écologiques vitales. De surcroît, l’État qui mène ces guerres, en pompier pyromane, nous entraîne dans une spirale infernale ayant pour effet de renforcer la haine qui débouchera sur d’autres attentats. Les « Rafale » tuent des civils aussi innocents que ceux du Bataclan. Ces bombardements sont des bombes à retardement.

La guerre devient désormais un moyen de gouverner – et de gouverner par la peur. L’état de guerre proclamé justifie la privation croissante des libertés et des mesures directement inspirées de l’extrême droite comme la déchéance de nationalité. Cette situation, d’une extrême gravité, passe pourtant pour une évidence dans le discours politique dominant, comme s’il s’agissait de banaliser la guerre et de nous habituer à cet état martial et sécuritaire. Car l’état d’urgence vise à museler les colères et les luttes : cette guerre est aussi une guerre sociale.

Nous nous opposons aux guerres d’ingérence et de spoliation - donc à tous les impérialismes. Mais nous sommes en France et c’est donc en France que nous pouvons nous battre en priorité contre « notre » propre impérialisme. Nous pouvons le faire concrètement, sans abstraction ni proclamation : parce que les questions géopolitiques qui se jouent parfois à des milliers de kilomètres ont des résonnances fortes, ici, dans nos quartiers. C’est pour cela que la lutte de notre collectif passe par le combat contre le racisme antimusulman, contre les inégalités et les discriminations, le soutien aux migrants et aux sans-papiers, l’opposition aux mesures d’exception et au contrôle généralisé des populations qui ciblent en priorité les personnes musulmanes ou supposées telles, les quartiers populaires et les mouvements sociaux.

Il nous faut donc nous organiser, riposter par une résistance à la hauteur de ce que nous subissons, à la hauteur des guerres qui se font contre les populations, contre nous et en notre nom. C’est pourquoi nous avons décidé de lancer un Collectif contre la guerre, qui
• exige l’arrêt immédiat des interventions militaires françaises, le retrait des bases militaires, la fin des traités et alliances (OTAN…) ;
• dénonce le marché des ventes d’armes qui irrigue entre autres les pires dictatures ;
• combat la militarisation de la société, le quadrillage des territoires et des esprits par le complexe militaro-sécuritaire ;
• soutient le droit à l’autodétermination des peuples, apporte sa solidarité aux forces de résistance et d’émancipation.

Nous voulons élargir ce comité, nationalement et localement, à toutes les organisations et toutes les personnes qui se retrouvent dans ce combat.
Pour tout contact et signature : antiguerre16 gmail.com


4 février 2016 Réunion du collectif contre la guerre Mercredi 3 février 2016 Bourse du travail Paris

Face au silence généralisé, se faire entendre, se faire comprendre

Nous étions une bonne centaine pour cette réunion du collectif contre la guerre, de sensibilités diverses. Nous sommes parti.e.s du constat que les interventions militaires sont très largement invisibles dans les médias. Le peu qui en est dit impose un consentement au nom d’une logique sécuritaire, avec ou sans habillage humanitaire ; la population apparaît comme anesthésiée et tétanisée par le discours belliciste. L’une de nos priorités est donc de mettre la question au cœur du débat politique et dans la société ; pour cela, tout à la fois, d’avancer un argumentaire précis et adapté à la situation nouvelle, de récolter et diffuser des informations sur les opérations militaires et leurs effets concrets sur les populations touchées, et d’être accessibles. Il est donc important
• d’expliquer clairement qui sont les profiteurs de guerres et qui sont celles/ceux qui les subissent ;
• de mettre en relation les effets destructeurs des guerres sur les populations (morts de masse, misère, population jetée sur les routes) et le fait que c’est la France qui frappe militairement et/ou vend les armes de ces destructions ;
• de souligner que ces bombes qui tombent « là-bas » sont aussi, pour « ici », des bombes à retardement.
Nous souhaitons donc donner au Collectif contre la guerre une vraie présence populaire, dans nos villes et nos quartiers, par la mise en place de collectifs locaux en particulier.

Articuler état de guerre et état d’urgence

Nous mesurons aussi que, si la mobilisation contre l’état d’urgence progresse, comme en témoigne le succès des manifestations qui ont eu lieu ce samedi 30 janvier un peu partout en France, l’axe de la lutte contre la guerre n’y est pas largement partagé. Bien sûr, il faut avancer sur cette question, dans les collectifs existants, débattre pour convaincre de la nécessaire articulation entre état de guerre et état sécuritaire. Comme nous le scandions dans la manifestation samedi : « Contre la guerre ! Contre l’état d’urgence ! Contre les causes et les conséquences ! » Pour autant, il ne s’agit évidemment pas de « forcer » le passage : si notre collectif peut être présent et visible dans les rassemblements organisés contre l’état d’urgence, c’est dans le respect des discussions en train de se mener.

Pour un collectif fédérateur

Si donc la guerre n’est que très peu présente dans le discours médiatique mais aussi, plus largement, en termes sociaux et politiques, des points d’appui existent, importants. Par exemple, la confédération CGT vient de publier un communiqué qui dénonce clairement la guerre, les ventes d’armes par la France, et demande notamment le retrait de la France de l’OTAN. Il est donc essentiel que de nombreuses organisations, politiques, syndicales, associatives, rejoignent le collectif en commençant par signer sa plateforme. Ce doit être une de nos priorités dans les semaines à venir : mobiliser nos réseaux pour faire signer largement. C’est un moyen décisif pour passer à un stade supérieur de la mobilisation.

Anti-impérialisme et internationalisme concrets

Nous sommes conscient.e.s du fait que, au sein du collectif, nous ne sommes pas à 100 % d’accord sur un certain nombre de questions. On peut être contre la guerre par pacifisme ; on peut l’être aussi par antimilitarisme révolutionnaire ; on peut être contre la guerre tout en reconnaissant le droit de légitime défense et de résistance des populations agressées. Mais dans tous les cas, il s’agit de mettre l’accent sur les populations civiles victimes de ces guerres. Nous nous opposons aux guerres d’ingérence et de spoliation - à ce titre à tous les impérialismes. Mais nous sommes en France et c’est donc en France que nous pouvons nous battre en priorité contre « notre » propre impérialisme. Nous pouvons le faire concrètement, sans abstraction ni proclamation : parce que les questions géopolitiques qui se jouent parfois à des milliers de kilomètres ont des résonnances fortes, ici, dans nos quartiers. C’est pour cela que la lutte de notre collectif passe par le combat en soutien aux migrants, contre les inégalités et les discriminations frappant les personnes racisées et les sans-papiers, contre l’islamophobie, contre les mesures d’exception et le contrôle généralisé des populations qui cible en priorité les personnes musulmanes ou supposées telles. Cet internationalisme passe aussi par la diffusion des expériences d’organisation et de lutte menées ailleurs : par exemple, les récentes manifestations pour le retrait des troupes françaises au Burkina Faso (l’une des têtes de pont de l’opération Barkhane).

Nous nous opposons à la politique impérialiste ce qui suppose

• d’exiger l’arrêt immédiat des interventions militaires françaises ;
• de rappeler que cette ingérence passe aussi par des bases militaires, dans une « Françafrique » continuée, véritable prolongement de l’ancienne situation coloniale ;
• de dénoncer les ventes d’armes, un marché bien juteux qui irrigue entre autres des régimes dictatoriaux ;
• de combattre la militarisation durable de la société, qui débouche sur un véritable complexe militaro-sécuritaire, sur un quadrillage des espaces et des esprits.

Instrumentalisation du « terrorisme » et détournements de fonds

Cette guerre se mène officiellement au nom du « terrorisme », mot fourre-tout et réalité instrumentalisée. Car c’est bien sous ce prétexte que, depuis les années 2000, ont été menées les guerres d’Irak et d’Afghanistan, la sale guerre russe en Tchétchénie, la répression des populations kurdes, la criminalisation de la résistance palestinienne. Cette instrumentalisation, nous la dénonçons, sans pour autant être acritiques à l’égard des organisations qui résistent dans les régions concernées. Ce sont aussi des dépenses colossales, qui détournent l’argent public de priorités sociales vitales. C’est enfin un déni absolu de démocratie, puisque cette politique militaire se mène officiellement en notre nom mais sans que jamais nous soyons consulté.e.s. Qu’on lui accorde ou non crédit, le Parlement n’a pas même son mot à dire dans ces prises de décision arbitraires, mises en œuvre au nom des intérêts bien compris de l’Etat impérialiste et des multinationales à qui profite le marché de la guerre.

Perspectives pratiques

• Nous nous réunirons le mercredi 10 février à 19H (Bourse du travail) pour finaliser la plateforme du collectif ; cette plateforme sera largement diffusée pour signatures dans le plus grand nombre possible d’organisations, associations, etc. [Nous enverrons très vite par mail un premier projet de plateforme à discuter collectivement].
• Plusieurs échéances pour le collectif

présence ce vendredi 5 février à 17H métro Assemblée nationale ;
après-midi politique et festive du collectif le samedi 27 février place Stalingrad : distribution de tracts, discussions, musique et repas partagés ;
présence du collectif lors de la manifestation du 8 mars ;
présence également lors des rassemblements et manifestations anti-état d’urgence les 11 et 12 mars ;
organisation d’une manifestation anti-guerre, dans le cadre de la semaine « Sortir du colonialisme », le 19 mars. • Nous envisageons également, à moyen terme (mai ?) l’organisation d’une grande rencontre mobilisant chercheurs.ses et militant.e.s sur la question de la guerre et de la politique sécuritaire. • Un site sera lancé prochainement qui nous servira d’instrument et de boîtes à outils pour développer et diffuser notre argumentaire. • L’argent est le nerf aussi de notre combat contre la guerre. Ce mercredi, 138 euros ont été récoltés auprès des participant.e.s (frais liés à la confection de la banderole ; nous en aurons besoin également pour sono ...). A suivre et à poursuivre !

A lire en ici aussi :
https://www.change.org/p/a-toutes-et-tous-a-qui-sert-leur-guerre

Attention NDLR : Si nous soutenons cette pétition, nous attirons votre attention sur la question du site qui en est le support. Voir nos articles Pétitions citoyennes sur internet : questions entre sites marchands et sites citoyens et Quelles pétitions signer sur internet ?. Lire aussi : Pétitions par mail : signer ou ne pas signer ? et Pétitions citoyennes sur internet : et si on relocalisait ?
(Note de la Rédaction de Yonne Lautre)


7 septembre 2013 Syrie : Stop à la barbarie Non à une intervention armée, non la participation de la France Solidarité avec les forces de paix et de démocratie

Il y a deux ans, encouragé par les Révolutions arabes, un soulèvement
populaire, pacifiste exigeait la démocratie et plus de justice sociale en
Syrie. Le régime syrien de Bachar El Assad a répondu par une répression
féroce refusant toute possibilité de dialogue et provoquant une escalade
sanglante.
Aujourd’hui, on assiste à une guerre civile épouvantable dans laquelle sont
impliquées des puissances et des forces politiques diverses(notamment,
l’Arabie-Saoudite, Etats Unis, Hezbollah, Iran, Qatar, Russie, Turquie...)

Le bilan en est effroyable pour le peuple syrien : plus de 100 000 morts, 2
millions de réfugiés, 4 millions de déplacés de l’intérieur dont la moitié
sont des enfants, un pays dévasté.
L’utilisation d’armes chimiques dans un quartier de Damas, en violation de
la Convention Internationale de 1925 contre les armes chimiques, le 21 août
2013, a fait franchir à la Syrie un nouveau pallier dans l’horreur.

Le MRAP condamne avec la plus grande fermeté la répression barbare menée par
le régime de Bachar El Assad et assure les démocrates syriens de son entière
solidarité.

Aujourd’hui, seuls la France et les Etats Unis envisagent une intervention
militaire pour "punir" le régime syrien. Le MRAP affirme son opposition à
cette intervention. Le MRAP déplore la paralysie de l’ONU, notamment par le
droit de veto au Conseil de Sécurité.

Une telle intervention militaire, outre qu’elle se situerait de ce fait, en
dehors de la légalité internationale, ferait également courir le risque
d’une nouvelle escalade de la violence, d’un embrasement régional favorisant
un recours sans limite aux armes de destruction massive, notamment
chimiques. Ajouter la guerre à la guerre serait la pire des solutions.

Contrairement à ce que l’on veut faire croire à l’opinion publique, le choix
n’est pas entre une intervention militaire dont on a vu les conséquences en
Afghanistan, en Irak, en Lybie et le silence passif face aux atrocités
commises.

Le MRAP estime qu’il n’y a pas d’autre voie qu’une solution politique. Des
pressions diplomatiques vigoureuses et des sanctions économiques et
politiques doivent s’exercer sur le régime syrien et ses alliés pour obtenir
un cessez le feu et la mise en œuvre d’une transition démocratique.

Dans l’immédiat "la communauté internationale" doit organiser de toute
urgence l’aide aux populations réfugiées.

Le MRAP demande la saisine du Tribunal international pour les crimes de
guerre et les crimes contre l’humanité commis. Il réclame l’application
pleine et entière de la Charte des Nations Unies qui passe par une réforme
fondamentale du Conseil de Sécurité et la suppression du droit de veto des
membres permanents .

Paris le 7 septembre 2013


1er septembre 2013 SYRIE : OUI AUX SOLUTIONS POLITIQUES ET DIPLOMATIQUES, NON A UNE INTERVENTION ARMEE

Pour cette lettre aux parlementaires et cette pétition au Président, il suffit de remplir ce formulaire. Vous serez automatiquement ajouté à la liste
et un email sera envoyé de votre part aux députés et sénateurs du département choisi, ainsi qu’à l’Elysée.
N’hésitez pas à personnaliser les messages.

http://www.mvtpaix.org/utils/petitionSyrie2013.php


31 août 2013 Agir contre les guerres : Pétition Non à une intervention militaire de la France en Syrie

L’utilisation d’armes chimiques, dont ont témoigné de nombreux médecins dans un quartier de Damas le 21 août 2013, a fait franchir à la Syrie un nouveau palier dans l’horreur. Depuis deux ans, la confrontation provoquée par le régime de Bachar Al Assad, qui a refusé d’entendre les revendications populaires de démocratie, affiche un bilan effroyable : 100 000 morts, plusieurs millions de réfugiés, dont un million d’enfants, un pays dévasté, des villes détruites, une population prise en otage par les affrontements internes soutenus par les différents Etats de la région.

Une intervention militaire des états-Unis et de leurs alliés, dont la France, ferait courir le risque d’une nouvelle escalade de la violence, d’un embrasement régional favorisant un recours sans limites aux armes de destruction massive, notamment chimiques. Ajouter la guerre à la guerre serait la pire des solutions. Nous exigeons que la France ne participe pas à une intervention militaire en Syrie.

Le conflit en Syrie est devenu une crise géopolitique internationale. Une pression diplomatique vigoureuse doit s’exercer pour obtenir l’arrêt des hostilités et la mise en oeuvre d’une transition démocratique garantissant l’intégrité du pays. Un sommet réunissant sous la responsabilité de l’ONU les parties en conflit et les principales puissances impliquées pourrait tracer les contours d’un règlement politique. Il n’y a pas d’autre voie.

http://www.humanite.fr/non-a-une-intervention-militaire-de-la-france-en-syrie


31 août 2013 Syrie : 64% des Français opposés à une intervention militaire

Près de deux Français sur trois (64%) sont opposés à une intervention militaire en Syrie d’une coalition internationale incluant la France, selon un sondage BVA pour i-Télé-CQFD et Le Parisien-Aujourd’hui en France publié samedi.

http://www.liberation.fr/monde/2013/08/31/syrie-64-des-francais-opposes-a-une-intervention-militaire_928485


30 août 2013 « Monsieur le Président, envoyez juste un SMS à Assad »

Davantage que le lâchage des Britanniques, c’est le fait de savoir si le Congrès sera consulté sur l’intervention en Syrie qui intéresse les journaux ce vendredi.

http://www.liberation.fr/monde/2013/08/30/monsieur-le-president-envoyez-juste-un-sms-a-assad_928355


30 août 2013 L’onde de choc du vote de Londres, par Jean-Paul Pierot

Après sept heures de débats, les députés britanniques ont pris une décision qui a fait l’effet d’une bombe. il était 22 heures jeudi a Londres lorsque le speaker de la Chambre des communes annonça que 285 voix contre 272 venaient de refuser le principe d’une intervention militaire en Syrie.

http://www.humanite.fr/monde/londe-de-choc-du-vote-de-londres-par-jean-paul-pie-547925


22 janvier 2013 Agir contre les guerres Brèves Stop GUERRE au MALI - Des CHOIX pour la PAIX

La guerre au Mali : des choix à faire pour la PAIX !

Politique de la canonnière et en retour renforcement des extrémismes, déploiements de personnels des plans "vigipirate" et accoutumance des personnes au "tout policier ",
ou investissement résolu dans les démarches politiques, diplomatiques ;

Militarisation de la planète ; (gros) coups de pouce à l’industrie de l’armement et du nucléaire,
ou investissement dans tous les champs d’éducation et de formation, y compris dans les pays en développement ;

Utilisation de la recherche à des fins militaires (en matière de miniaturisation et de sophistication des équipements militaires)
ou investissement dans des équipements de santé et de développement international solidaire et durable entre autres...

Matraquage des esprits par/dans les médias sur "l’unité nationale" derrière le président et appui des pays de l’OTAN ?

ou investissement de la France pour que sa VOIX rejoigne celles des peuples qui luttent contre les politiques néo-coloniales, d’expansion, de néolibéralisme, de pillage des ressources locales, en Afrique, au Moyen-Orient, en Amérique du sud.......... ;

La France n’a pas à être "en guerre" par la seule volonté d’un seul homme .

La France "en Guerre" , ce n’est pas le changement !

En ces temps d’ austérité imposés par le capital , nous choisissons les investissements précités qui conduisent fondamentalement à la PAIX... sans le bruit des armes !

http://www.petitions24.net/stop_guerre_au_mali_-_des_choix_pour_la_paix


24 novembre 2012 Signez la Cyber-Lettre : Pour une paix juste et durable, Reconnaissance de l’Etat palestinien

Israël-Palestine : face à l’impasse permanente de la solution militaire,
soutenons la fin des hostilités et la reconnaissance de l’Etat palestinien

Signez la cyber-pétition en ligne

Les récents événements survenus à Gaza inquiètent considérablement l’opinion française. On ne peut que constater l’impasse permanente de la solution militaire qui a conduit 163 Palestiniens et 6 Israéliens à trouver la mort en une semaine.

Le soutien, à l’assemblée générale des Nations unies, le 29 novembre prochain, de la reconnaissance de l’Etat de Palestine peut constituer un pas décisif pour éviter un nouvel embrasement au proche-orient.

Une telle posture de la France et de l’Europe peut être déterminante pour l’arrêt définitif des hostilités, la levée du blocus, le respect du droit international.
Elle serait alors un encouragement colossal pour les populations qui aspirent à voir leur territoire pacifié, qui ont fait le choix de la non-violence, et qui souffrent face à l’impunité d’une politique agressive de l’Etat d’Israël.

Le Mouvement de la Paix vous invite à prendre des initiatives larges pour mobiliser l’opinion publique, pour donner une chance à l’établissement d’une paix juste et durable au Proche-Orient.

http://www.mvtpaix.org/utils/petitionpalestine.php


18 novembre 2012 Israël-Palestine, l’impasse permanente de la solution militaire Le Mouvement de la Paix demande l’arrêt immédiat des hostilités à Gaza

Avec la reprise d’opérations ciblées sur la bande de Gaza, qui ont eu pour conséquence l’assassinat d’Ahmad Jabbari, chef de la branche militaire du Hamas, Israël prend la responsabilité d’une relance de la violence au Proche-Orient.

Une fois encore, c’est en premier lieu, la population de Gaza déjà soumise à un blocus illégal et inhumain depuis 2007 qui en subit les conséquences. La sécurité de la population d’Israël ne sera en rien améliorée, comme en attestent les injustifiables tirs de roquettes subis par les populations frontalières.

Le risque d’un nouvel embrasement au Proche-Orient est réel. Israël menace la population de Gaza d’une intervention terrestre et l’armée poste ses chars aux abords du mur qui l’entoure.

http://www.mvtpaix.org/communiques/2012/Gaza-2012.php


16 novembre 2012 Agir contre les guerres Brèves Gaza : nombreuses manifestations de soutien prévues en France

Le Parti communiste français a réclamé vendredi "des sanctions contre Israël", appelant à des rassemblements et des "initiatives de protestation" en France, notamment samedi à Paris, "contre cette nouvelle guerre contre le peuple palestinien". De nombreuses organisations, autour du Collectif National pour une Paix Juste et Durable entre Palestiniens et Israéliens, se joignent à l’appel.

http://www.humanite.fr/politique/gaza-nombreuses-manifestations-de-soutien-prevues-en-france-508867


29 décembre 2011 Contre les murs

Frédéric Niel - 29 décembre 2011

Des murs-miroirs pour nos angoisses

Publié pour le 50e anniversaire de la construction du Mur de Berlin, ce livre tente de comprendre pourquoi tant d’autres « Murs de la Honte » se multiplient à la surface de notre planète, contredisant les prophéties d’une « mondialisation heureuse ».

Aux lignes fortifiées qui coupent en deux la Corée, Chypre, le Cachemire ou le Sahara occidental, s’ajoutent des remparts de fer ou de béton anti-immigrants ou « anti-terroristes » bâtis par des démocraties comme les Etats-Unis face au Mexique, l’Espagne dans ses enclaves du nord du Maroc, ou Israël en Palestine. Leur utilité est contestée ? Qu’importe, puisque l’essentiel est ailleurs. Comme le dit un habitant de l’Arizona, son mur, « le gouvernement, en construisant son mur, ne contrôle pas la frontière, il contrôle ce que les Américains pensent de la frontière ».

http://reporterre.net/spip.php?article2400


17 décembre 2011 Agir contre les guerres Brèves 80 associations disent NON à la guerre contre la Syrie et OUI à une vrai médiation

Pétition de 80 Associations de plusieurs pays aux institutions internationales et regionals et aux gouvernements :

Non à une intervention militaire contre la Syrie ! Non à une autre tragédie comme la guerre Otan en Libye ! Médiation de paix pour rétablir les droits humains et la légalité Nous, soussignés organisations humanitaires ( ONG) pour les droits humains, vous exhortons à mobiliser les Nations Unies et la communauté internationale à prendre des mesures immédiates pour faire cesser toute intervention militaire étrangère contre la Syrie, et au contraire, d’agir de bonne foi pour une honnête médiation. Il est essentiel d’agir rapidement. Nous demandons d’agir de bonne foi pour rejoindre une vraie médiation pacifiques.

http://www.bbec.lautre.net/www/spip_truks-en-vrak/spip.php?article2306


15 avril 2021

http://www.mvtpaix.org/utils/petitionSyrie2013.php
http://www.humanite.fr/non-a-une-intervention-militaire-de-la-france-en-syrie

Par Rédaction Yonne Lautre

Le jeudi 15 avril 2021

Mis à jour le 10 mars 2024