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Ferme-usine des 1000 vaches dans la Somme à Drucat : Condamnation des 6 militant.e.s de la Conf’ à verser 120.000 € de « dédommagements » au propriétaire
Yonne Lautre
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Ferme-usine des 1000 vaches dans la Somme à Drucat : Condamnation des 6 militant.e.s de la Conf’ à verser 120.000 € de « dédommagements » au propriétaire13 septembre 2018, par Yonne Lautre
Agriculture industrialisée, alimentation dénaturée… environnement saccagé !
L’ultime épisode du procès de la ferme-usine des 1000 vaches s’est tenu ce 13 septembre à Amiens. Cinq militants et une militante de la Confédération paysanne poursuivis au civil pour leur action syndicale de démontage ont été condamnés à verser 120.000 € de « dédommagements » au propriétaire de la ferme-usine. Ils avaient pourtant été reconnus par la cour d’Appel comme participant à « une action collective de lanceurs d’alerte ». Ces six militant.e.s avaient été pris au hasard parmi l’ensemble des acteurs présents le jour de l’action !
Une fois de plus ont été jugés des syndicalistes engagé.e.s dans la construction d’un modèle agricole résolument moderne et ouvert sur le futur en ce qu’il défend depuis plus de 30 ans un monde respectueux de la nature et des Hommes. La répression syndicale envers ces porteurs d’espoir est inacceptable, alors même que d’autres se permettent des centaines de milliers d’euros de dégâts sur des biens publics chaque fois qu’ils manifestent. Ceux-là ne sont jamais poursuivis et ne remettent pas en question le modèle dominant porté par le syndicat majoritaire qui sous-tend et entretien le désarroi des paysan.ne.s.
A quatre mois des élections professionnelles agricoles, soutenir le combat des militant.e.s de la Confédération paysanne contre l’industrialisation de l’agriculture est un moyen pour nous, les citoyen.ne.s d’affirmer haut et fort le monde que nous voulons pour nos enfants, nos petits enfants... pour demain !
Si vous partagez nos convictions, un don en ligne est possible en suivant ce lien :
https://www.helloasso.com/associations/les-amis-de-la-confederation-paysanne/formulaires/5/widget
Vous pouvez également en parler autour de vous pour motiver tous les paysan.ne.s désabusés d’aller voter en janvier prochain.
La Confédération paysanne sera toujours aux côtés des plus faibles pour plus de justice sociale, économique, alimentaire et environnementale.-
Ferme des 1000 vaches : “On veut faire payer la Confédération Paysanne pour son action de lanceur d’alerte”13 septembre 2018, par Yonne Lautre
Le tribunal correctionnel d’Amiens a rendu sa décision. Plus de 100.000 euros de condamnation pour Dominique Henry et quatre autres prévenus. Les militants de la Confédération Paysanne s’étaient mobilisés contre la ferme des 1000 vaches dans la Somme.
https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/ferme-1000-vaches-plus-100000-euros-condamnation-dominique-henry-quatre-autres-prevenus-1540134.html
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Ferme-usine des 1000 vaches : Procès des 1000 vaches jeudi 31 mai à Amiens : Appel à soutien23 mai 2018, par Yonne Lautre
Le 31 mai se tiendra à Amiens le troisième round du procès de la ferme-usine des 1000 vaches. Six militants de la Confédération paysanne sont poursuivis au civil pour leur action syndicale de démontage d’éléments de la salle de traite en mai 2014. Une action collective et non violente d’alerte de la société sur les dangers de l’industrialisation de l’agriculture.
Lors de l’audience en appel, la justice a reconnu cet acte comme « relevant d’une action de lanceurs d’alerte ». Pourtant, après l’audience pénale, la ferme-usine réclame près de 200.000 € de « dédommagement » aux militants !
Quelle mauvaise blague ! Alors qu’un paysan sur quatre gagne moins de 600 € par mois, on va demander à des syndicalistes de dédommager une ferme-usine, qui se gave sur le dos de tous les paysans ! Cette ferme-usine qui affiche clairement que sa production principale est celle de fumier et de lisier destinés à la méthanisation, plaçant le lait comme un sous-produit des déjections animales, est le symbole même de la dérive qui, avec la connivence des industriels de la filière laitière, met les paysannes et les paysans sur la paille. 1000 vaches dans un hangar, ce n’est pas notre conception du bien-être animal.
Une fois de plus on juge les syndicalistes plutôt que de s’en prendre aux vrais responsables de la crise. Cette répression syndicale est inacceptable, la ferme-usine demande des sanctions financières disproportionnées afin de museler les opposants.
Pour soutenir le combat des militants de la Confédération paysanne contre l’industrialisation de l’agriculture vous pouvez faire un don en ligne en suivant ce lien :
https://www.helloasso.com/associations/les-amis-de-la-confederation-paysanne/formulaires/5/widget
Vous pouvez aussi envoyer un chèque à l’ordre des Amis de la Confédération paysanne – 104 rue Robespierre 93170 BAGNOLET - en mentionnant au dos « Contre l’industrialisation de l’agriculture ».
66% de votre don est déductible de vos impôts (dans la limite de 20% du revenu imposable) Lorsque le don excède la limite de 20%, l’excédent peut être reporté sur les 5 années suivantes. Même une petite somme est utile ! -
Ferme-usine des 1000 vaches : Procès des 1000 vaches jeudi 22 Mars à Amiens, devant le palais de justice, à 09h00 : inscrivez-vous au bus Conf BFC3 mars 2018, par Yonne Lautre
Procès des 1000 vaches
Le jeudi 22 Mars,
unis contre l’industrialisation de l’agriculture et la répression syndicale
La Confédération paysanne et ses partenaires organisent un bus au départ de la Franche-Comté qui prendra du monde au passage en Bourgogne.
Inscrivez-vous ici dès que possible (avant le 15 mars pour qu’on sache si le nombre d’inscrits est suffisant pour l’organisation du bus) ou appelez la confédération paysanne de Franche-Comté (03 81 26 05 97, sans hésitez à laisser un message qui sera rapidement consulté) :
Le 22 mars aura lieu le procès des 6 de la conf’ devant le tribunal d’Amiens, afin de déterminer les sanctions financières dont les militants devront s’acquitter pour dédommager la ferme-usine des 1000 vaches.
Quelle mauvaise blague ! Alors qu’un paysan sur quatre gagne moins de 600 euros par mois, on va demander à des syndicalistes de dédommager une ferme-usine, qui se gave sur le dos de tous les paysans !
Une fois de plus on juge les syndicalistes plutôt que de s’en prendre aux vrais responsables de la crise. Cette répression syndicale est inacceptable, la ferme usine demande des sanctions financières disproportionnées. Elles n’ont qu’un seul but : museler les opposants, pourtant qualifiés par la justice de « lanceurs d’alerte ».
Nous allons faire de cette journée, ensemble, une grande journée de mobilisation contre l’industrialisation de l’agriculture et en soutien aux militants, contre la répression syndicale.
RDV le 22/03, à Amiens, devant le palais de justice, à 09h00
Départ du bus dans la soirée du 21 au 22, retour dans la nuit du 22 au 23.
Arrivée à Amiens prévue à 7h30 et pour le retour, départ d’Amiens autour de 16h – 17h (fonction de l’heure d’arrivée le matin car les chauffeurs doivent faire une coupure de 9 h).
Horaires prévus (les horaires définitifs vous seront envoyés qlq jours avant le départ).
Départ de Lons le Saunier (gare SNCF) à 21h30
Arrêt 1 : Poligny (parking Intermarché, au rond-point) à 21h50
Arrêt 2 : Besançon (entrée d’autoroute n°3 Franois sur l’A36) à 22h35
Arrêt 3 : Dole (entrée d’autoroute n°2 Dole Authume sur l’A36) à 23h35Arrêt 4 : Dijon (entrée d’autoroute N°5 Til-Châtel sur l’A31) à 0h30
Arrivée à Amiens à 7h30RETOUR :
Départ d’Amiens à 17h (ou un peu plus tôt si la coupure de 9h le permet)
Arrêt 1 : Dijon (entrée d’autoroute N°5 Til-Châtel sur l’A31) à 23h45Arrêt 2 : Dole (entrée d’autoroute n°2 Dole Authume sur l’A36) à 00h45
Arrêt 3 : Besançon (entrée d’autoroute n°3 Franois sur l’A36) à 01h45
Arrêt 4 : Poligny (parking Intermarché, au rond-point) à 2h30
Arrivée à Lons le Saunier à 2h50Participation financière demandée.
On vous donnera pour information le prix de revient du déplacement par voyageur en fonction du nombre d’inscrits et des dons reçus. Vous donnerez ce que vous pourrez, en essayant d’approcher ce montant.
Pour les paysans adhérents à la Confédération paysanne, le coût du trajet est pris en charge par la Conf nationale.
Si vous ne pouvez pas vous déplacer ce jour-là !
Vous pouvez participer au transport en envoyant un don à la Confédération paysanne de Bourgogne-Franche-Comté ou bien encore remplacer votre voisin ou voisine pour l’aider à participer à la journée de mobilisation.Confédération paysanne de Bourgogne-Franche-Comté et de l’ARDEAR Bourgogne-Franche-Comté
19 grande rue - 25800 Valdahon - 03 81 26 05 97
Site Internet : http://bourgognefranchecomte.confederationpaysanne.fr
Joignable les lundi - mardi et jeudi de 9h30 à 17h30 -
Ferme-usine des 1000 vaches : « Ce modèle agricole ne profite à personne »4 octobre 2017, par Yonne Lautre
Veillée devant les abattoirs, journée mondiale contre le transport d’animaux vivants, vidéos de mise à mort, libérations d’animaux… les modes d’action du mouvement animaliste se diversifient. Le Salon européen des professionnels de l’élevage, du 4 au 6 octobre à Clermont-Ferrand, offre une occasion supplémentaire d’interpeller frontalement le monde agricole, et les éleveurs en particulier. Entretien avec Emilie Pujol, cofondatrice et présidente de Earth Resistance, une jeune association anti-spéciste et écologiste.
http://www.journaldelenvironnement.net/article/ce-modele-agricole-ne-profite-a-personne,86692
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Ferme-usine des 1000 vaches : rassemblement dimanche 10 septembre 2017 à partir de 9h3019 août 2017, par Yonne Lautre
Un grand rassemblement anti-usine des 1000 vaches est organisé le 10 septembre. Les opposants entendent maintenir la pression afin que ce modèle d’agriculture ne se développe pas en France.
http://www.lagedefaire-lejournal.fr/lusine-1000-vaches-bouge/
Le rendez-vous est fixé à 9h30 devant la salle polyvalente de Drucat, qui sera suivi d’un sit-in sur la route départementale D928 menant à l’usine. Des débats, des prises de paroles, des concerts, des animations se succéderont ensuite tout au long de la journée.
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La justice valide l’augmentation du cheptel de la ferme des « 1 000 vaches »2 juillet 2017, par Yonne Lautre
Le tribunal administratif d’Amiens a jugé que l’absence de réponse dans un délai de deux mois de la préfecture valait acceptation tacite du projet d’accroissement.
http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/06/29/la-justice-valide-l-augmentation-du-cheptel-de-la-ferme-des-1-000-vaches_5153289_3244.html -
Ferme-usine des 1000 vaches : urgent // interpellez le gouvernement maintenant26 février 2017, par Yonne Lautre
FERME-USINE DES 1000 VACHES :
ILLÉGALE MAIS PAS CONDAMNABLE ?!!!Depuis maintenant deux ans, la ferme-usine dite des 1000 vaches située à Drucat dans la Somme est illégale. Cette installation classée a été autorisée le 1er février 2013 pour l’exploitation d’un élevage de 500 vaches. Or, après enquête, il s’est avéré que cette ferme-usine parquait non pas 500 mais 850 vaches, constat effectué il y a maintenant plus de deux ans !!!
500 vaches, c’est trop… 850, c’est plus que trop !!!
En mai 2016, la ministre de l’Ecologie a écrit au préfet de la Somme afin « de prendre toutes les dispositions nécessaires afin que les prescriptions de l’arrêté préfectoral d’autorisation de février 2013 soient respectées » c’est-à-dire le retour aux 500 vaches autorisées. Or, depuis cette date, rien ne semble avoir changé. L’illégalité perdure et la justice se hâte... lentement !!!
Malgré les actions de Novissen, association locale mobilisée contre cette ferme-usine, l’Etat semble accepter implicitement qu’un industriel puisse s’affranchir des règles les plus élémentaires du droit ; au vu et au su de tous !!!
Face à l’attentisme de l’Etat, Agir pour l’Environnement relaie un appel de Novissen visant à interpeller le premier Ministre ainsi que les ministres de l’Ecologie et de l’Agriculture. Interpellation dont le but unique est simple et explicite : exiger la fin de l’illégalité et poursuivre le combat contre les ferme-usines !
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Ferme-usine des 1000 vaches : refusons les bûches de Noël au lait des #1000vaches !3 décembre 2016, par Yonne Lautre
La ferme-usine des 1000 vaches, située à Drucat dans la Somme, est le symbole des dérives d’une industrialisation à marche forcée de l’agriculture.
Ce projet normalise une souffrance animale insoutenable et réduit le paysan au simple rôle d’exécutant soumis aux exigences d’une surproduction chronique.
La taille disproportionnée de la ferme rend tout respect des animaux illusoire. Les vaches seront parquées dans un univers concentrationnaire, bourrées d’antibiotiques. Ce projet consacre une logique où la malbouffe n’est que le prolongement du mal-être animal.
Entre 2000 et 2010, environ 40% des fermes laitières ont disparu en France alors même que la taille moyenne des troupeaux s’est accrue de 48% !
// MAIS QUI BLANCHIT LE LAIT DES 1000 VACHES ?
Des militants locaux ont enquêté et découvert que le lait des 1000 vaches était en partie collecté par la branche belge de la société Ysco, qui fabrique des glaces sous marque distributeur. De fait, il est plus que probable qu’une fois transformé, le lait des 1000 vaches se retrouve dans les rayons de nos supermarchés.
Parce que nous ne renoncerons pas à assurer un minimum de transparence, seul moyen d’assurer un choix éclairé du consommateur, il est nécessaire d’interpeller les hypermarchés qui pourraient être tentés d’écouler ce lait contesté, via des glaces, cônes, crèmes glacées et autres bûches de Noël.
Par son acte d’achat, chaque consommateur peut refuser un modèle agricole qui normalise la souffrance animale, amplifie la précarisation du monde agricole et conduit à vendre une nourriture de bien piètre qualité.
Dès à présent, interpellez les services « consommateur » des groupes :
Auchan
Intermarché Les Mousquetaires
Carrefour
Système U
Cora
E.Leclerc
Géant CasinoRefusons ensemble la maltraitance animale, dénonçons l’industrialisation de l’agriculture et soutenons l’agriculture paysanne !
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La ferme-usine des Mille vaches aggrave la crise dramatique de l’élevage laitier22 juin 2016, par Yonne Lautre
Mardi 21 juin, des paysans français et belges ont mené une action sur le lait de la ferme-usine des Mille vaches. Celui-ci est en effet exporté en Belgique, à un prix ridiculement bas. Cette action rappelle la gravité de la crise du lait : depuis la fin des quotas laitiers, une course effrénée à la production est lancée. Un producteur de lait européen sur cinq est menacé de disparition. Reportage.
https://www.reporterre.net/La-ferme-usine-des-Mille-vaches-aggrave-la-crise-dramatique-de-l-elevage -
« Ferme des 1 000 vaches » : Ségolène Royal demande une nouvelle enquête5 mai 2016, par Yonne Lautre
Une nouvelle enquête publique concernant l’extension de 500 à 880 vaches laitières de la « ferme des 1 000 vaches », à Drucat, dans la Somme, a été demandée par Ségolène Royal, au préfet de la Somme, a fait savoir le ministère de l’environnement. La précédente, qui avait rendu son avis deux mois plus tôt, avait été vivement critiquée par les associations de défense de l’environnement.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/05/03/ferme-des-mille-vaches-segolene-royal-demande-une-nouvelle-enquete_4912853_3244.html -
« Ferme des mille vaches » : avis favorable de l’enquête publique pour l’extension24 février 2016, par Yonne Lautre
C’est finalement un avis favorable que l’enquête publique a rendu, lundi 22 février, sur l’extension de 500 à 880 vaches laitières de la ferme dite des « mille vaches », située à Drucat (Somme). La commission d’enquête, constituée de trois commissaires enquêteurs, a jugé, « à l’unanimité de ses membres, que les critiques et craintes formulées par les opposants ne sont pas véritablement fondées et ne reposent pas sur des bases scientifiques aujourd’hui réellement vérifiées ».
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2016/02/23/ferme-des-mille-vaches-avis-favorable-de-l-enquete-publique-pour-l-extension_4870481_3244.html -
Le tribunal administratif absout les illégalités de la ferme-usine des Mille vaches19 janvier 2016, par Yonne Lautre
Lundi 18 janvier, le tribunal administratif d’Amiens a autorisé la ferme-usine des Mille vaches, située à Drucat (Somme), à passer de 500 à 800 vaches. Il donne ainsi raison à l’exploitant, M. Walter, et au propriétaire, M. Ramery, contre l’État. Ecoeuré, Maître Grégoire Frison, l’avocat de l’association d’opposants Novissen, laisse exploser sa colère : « Il s’agit d’une décision inique, prise par un magistrat partial, au profit d’un industriel et aux dépens des petits éleveurs, qui se font rouler dans la farine ! »
http://reporterre.net/Le-tribunal-administratif-absout-les-illegalites-de-la-ferme-usine-des-Mille
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Mille vaches : une décision juridique cruciale est attendue d’ici une semaine10 janvier 2016, par Yonne Lautre
Pour les opposants, cela pourrait signifier une impasse juridique dans leur lutte contre la ferme-usine dite des Mille vaches à Drucat, dans la Somme. En juin dernier, Reporterre révélait que l’exploitation abritait près de 800 vaches, au lieu des 500 autorisées. Ont suivi des arrêtés de la Préfecture de la Somme, sommant la société de se mettre en règle. L’entreprise n’ayant pas obtempéré, elle devrait aujourd’hui, selon nos calculs, plus de 100.000 euros d’amende et d’astreintes aux autorités françaises. Mais l’exploitant refuse de payer ces sommes et demande la suspension des arrêtés de la préfecture : le 22 décembre dernier, il plaidait en ce sens devant le tribunal administratif d’Amiens.
http://www.reporterre.net/spip.php?page=redirect&id_article=8750
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Mille Vaches : ça rumine encore24 décembre 2015, par Yonne Lautre
Sanctionné pour ne pas avoir respecté l’autorisation concernant la taille du cheptel, l’exploitant de la ferme des 1000 Vaches, près d’Abbeville, a saisi le tribunal administratif.
http://www.courrier-picard.fr/region/mille-vaches-ca-rumine-encore-ia0b0n695186
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Ferme-usine des 1000 vaches : 500 vaches, c’est trop ! 880, c’est plus que trop !!9 novembre 2015, par Yonne Lautre
La semaine dernière, nous avons lancé une pétition et plus de 33000 personnes ont adressé un courrier électronique aux commissaires enquêteurs afin de leur demander de rejeter l’agrandissement demandé par Monsieur Ramery, industriel du BTP et promoteur de la ferme-usine dite des 1000vaches.
Aujourd’hui, nous révélons un sondage, commandé par Agir pour l’Environnement et réalisé par l’IFOP du 28 au 30 octobre 2015 auprès de 1022 personnes représentatives de la population française, qui relève que :
70% des Français se déclarent plutôt (31%) ou tout à fait (39%) opposés aux projets de fermes-usines.
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Ferme-usine des 1000 vaches : 500 vaches, c’est trop ! 880, c’est plus que trop !!4 novembre 2015, par Yonne Lautre
Michel Ramery et son salarié Michel Welter exploitent illégalement depuis plusieurs mois l’usine à vaches de Drucat Le Plessiel. Ils refusent de payer les amendes imposées par la Préfecture et ridiculisent l’Etat de droit en demandant aujourd’hui leur régularisation par une extension de troupeau de 500 à 880 vaches.
http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/vaches-extension-troupeau-1053.html
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Ferme-usine des 1000 vaches : 500 vaches, c’est trop ! 880, c’est plus que trop !!3 novembre 2015, par Yonne Lautre
A l’attention des Commissaires Enquêteurs,
Par arrêté préfectoral, une enquête publique a lieu du 02 novembre au 02 décembre en vue de porter l’effectif de l’élevage de la « SCEA Côte de la Justice » à 880 vaches et reconfigurer l’unité de méthanisation équipant le site.
■ Je n’accepte pas le développement d’une entreprise industrielle dangereuse pour les éleveurs locaux, la santé de la population et l’environnement ;
■ Je n’accepte pas le développement d’une entreprise industrielle qui est une véritable provocation en pleine préparation de la Conférence climatique de Paris ;
■ Je n’accepte pas le développement d’une entreprise industrielle illégale dont les promoteurs refusent de payer les amendes imposées par la loi.Toute extension du troupeau légal actuel signifierait :
✔ L’aggravation de la crise laitière déjà en surproduction ;
✔ L’aggravation de la condition animale avec toujours plus d’animaux vivant dans un espace clos et restreint dans des conditions concentrationnaires indignes ! L’opacité est toujours la règle et nous ne savons toujours rien du nombre de vaches mortes, malades…
✔ L’aggravation de la dégradation de l’environnement qui souffre déjà beaucoup avec de graves problèmes en Baie de Somme et selon l’Agence Régionale de la Santé, une mauvaise qualité physique de l’eau qui contient déjà trop de nitrates et de pesticides.
✔ L’aggravation du dérèglement climatique puisque chacun sait que ce type d’exploitation importe massivement des tourteaux de maïs-soja, contribuant massivement à la déforestation des forêts brésiliennes.Pour l’ensemble de ces raisons, je vous demande de bien vouloir rejeter la demande formulée par la « SCEA Côte de la Justice ».
Vous remerciant par avance de l’attention que vous accorderez à ce courriel, je vous prie d’agréer, l’expression de mes salutations les plus respectueuses.
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La ferme-usine des 1000 vaches bientôt autorisée à s’agrandir ?3 novembre 2015, par Yonne Lautre
Une nouvelle enquête publique s’ouvre ce 2 novembre, pendant un mois, concernant l’extension du cheptel de la ferme-usine dite des « mille vaches ». Elle porte sur l’autorisation de passer de 500 à 880 vaches laitières et « vise à assurer la complète information du public et le recueil de l’opinion et des suggestions de toutes les personnes intéressées par ce projet » [1]. Problème : selon un contrôle mené le 9 juin 2015 par la préfecture, la ferme-usine compte déjà 796 bêtes, alors que 500 vaches sont normalement autorisées.
http://www.bastamag.net/La-ferme-usine-des-1000-vaches-en-voie-de-regularisation
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A la ferme-usine des 1000 vaches, « on légalise l’irrégularité »21 octobre 2015, par Yonne Lautre
La ferme-usine des Mille vaches, dans la Somme, est toujours en irrégularité, mais n’a toujours pas payé l’amende à laquelle elle a été condamnée. Pourtant, une enquête publique sera bientôt lancée pour l’autoriser à passer de 500 à 880 vaches.
http://www.reporterre.net/A-la-ferme-usine-des-1000-vaches-on-legalise-l-irregularite
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Qu’Intermarché renonce au contrat signé avec la ferme des 1000 vaches !25 septembre 2015, par Yonne Lautre
En trois jours, plus de 35 000 personnes ont écrit au président d’Intermarché afin qu’il rompe le contrat qu’il a signé avec les promoteurs de la ferme-usine des 1000veaux. Et vous ?
Pour signer, c’est ici : http://stop-1000veaux.agirpourlenvironnement.org/