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Agir pour l’égalité / la parité femmes-hommes en France : Lundi 8 mars 2021 : Pourquoi faire une grève féministe ?
Yonne Lautre
Articles de cet auteur
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8 mars : journée internationale des droits des femmes6 mars 2021, par Yonne Lautre
La journée internationale des droits des femmes, célébrée le 8 mars dans de nombreux pays, est une occasion de faire un point de la situation des femmes, de faire entendre nos revendications et d’agir pour mettre fin aux discriminations dont elles sont victimes.
https://www.mrap.fr/8-mars-journee-internationale-des-droits-des-femmes.html?debut_articles_rubriqueb=%40860 -
Agir pour l’égalité / la parité femmes-hommes en France : Dimanche 7 mars de 13h à 17h rassemblement du mouvement autonome des femmes, à Paris / Lundi 8 mars 2021 : Pourquoi faire une grève féministe ?5 mars 2021, par Yonne Lautre
RECTIFICATIF ULTIME
Compte tenu de la situation sanitaire, il ne peut y avoir d’expression artistique lors de notre rassemblement.
Sous nos masques, la colère gronde !
Cette année, le 8 mars, journée internationale de mobilisation pour les droits des femmes, se déroule dans un contexte particulier : crise sanitaire, sociale et économique.
De ce fait, les femmes ont toujours des milliers de raisons pour manifester, gréver et crier haut et fort leur colère.
La crise sanitaire a mis en lumière le rôle fondamental des femmes dans la société mais les premières de corvée ne sont toujours pas reconnues, notamment par des salaires et des carrières revalorisés. Les femmes sont parmi les plus touchées par la pauvreté et la précarité, effets de la crise économique et sociale engendrée par la COVID et de la politique gouvernementale.L’augmentation des violences au sein du couple en période de confinement et tout récemment les témoignages concernant l’inceste et les violences sexistes et sexuelles appellent à une mobilisation générale de la société pour qu’enfin les victimes soient écoutées et entendues ! Mais force est de constater que les dénis de justice s’accumulent et qu’il a fallu que des milliers de témoignages affluent après la parution du livre de Camille Kouchner pour qu’une loi fixant un seuil d’âge pour le « consentement » soit proposée.
Concernant l’avortement, l’obstruction de parlementaires réactionnaires a fait échouer la proposition de loi d’allongement des délais, de suppression de la clause de conscience spécifique et permettant aux sages femmes de pratiquer une IVG instrumentale.
Pour faire entendre la colère des femmes, On arrête Toutes, collectif de mobilisation pour la grève féministe, organise le dimanche 7 mars de 13h à 17h un rassemblement féministe place de la République à Paris. Ce rassemblement est soutenu par une trentaine d’associations féministes et affirmera sa solidarité avec les femmes du monde entier. Nous préparerons toutes ensemble la grève féministe du 8 mars. Cette grève féministe qui touche à tous les domaines où les femmes sont reléguées à un rôle subalterne, opprimées, exploitées, violentées, invisibilisées : travail salarié mais aussi violences, vie politique, travail domestique, expression artistique et culturelle, etc.
Et le 8 mars On Arrête Toutes appelle à manifester avec les associations féministes et les organisations syndicales de Port Royal à République.
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Les « zones blanches » de la parité en politique : la nouvelle loi sera-t-elle efficace ?8 mars 2021, par Yonne Lautre
En France, de nombreuses « zones blanches » persistent, où les femmes et les hommes ne sont numériquement pas à égalité dans les espaces politiques. La nouvelle loi peut-elle y remédier ?
https://theconversation.com/les-zones-blanches-de-la-parite-en-politique-la-nouvelle-loi-sera-t-elle-efficace-156062
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8 mars : les premières de corvées en grève feministe !4 mars 2021, par Yonne Lautre
Le 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes, les femmes sont appelées à l’action et à la grève dans le monde entier. De grandes grèves féministes ont déjà eu lieu en Espagne, en Argentine, en Belgique, en Suisse, en Islande, en Pologne…-Et si en France on s’y mettait ? ✊🏻
Et si, ce 8 mars, on manifestait partout en France pour montrer notre détermination ? Exigeons la cohérence entre les discours et les actes : la revalorisation de nos métiers, l’égalité salariale, la fin des violences.
Ce 8 mars, arrêtons le travail, arrêtons de prendre soin, arrêtons nos études, faisons la grève féministe et retrouvons-nous dans la rue.
Parce que si les femmes s’arrêtent, le monde s’arrête !
Y a-t-il une action près de chez vous ? Retrouvez toutes les actions qui auront lieu le 8 mars dans toutes la France sur notre carte interactive !Et si vous organisez une action, pensez à l’ajouter à la carte en utilisant notre formulaire !
http://www.grevefeministe.fr/#carteactionsComment se mobiliser ?
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le 8 mars, et comment se mobiliser : toutes les réponses sont sur le tuto sur notre site !
http://www.grevefeministe.fr/#kitmilitant -
Agir pour l’égalité / la parité femmes-hommes en France : Dimanche 7 mars de 13h à 17h rassemblement festif et politique du mouvement autonome des femmes, à Paris / Lundi 8 mars 2021 : Pourquoi faire une grève féministe ?28 février 2021, par Yonne Lautre
Sous nos masques, la colère gronde !
Cette année, le 8 mars, journée internationale de mobilisation pour les droits des femmes, se déroule dans un contexte particulier : crise sanitaire, sociale et économique.
De ce fait, les femmes ont toujours des milliers de raisons pour manifester, gréver et crier haut et fort leur colère.
La crise sanitaire a mis en lumière le rôle fondamental des femmes dans la société mais les premières de corvée ne sont toujours pas reconnues, notamment par des salaires et des carrières revalorisés. Les femmes sont parmi les plus touchées par la pauvreté et la précarité, effets de la crise économique et sociale engendrée par la COVID et de la politique gouvernementale.
L’augmentation des violences au sein du couple en période de confinement et tout récemment les témoignages concernant l’inceste et les violences sexistes et sexuelles appellent à une mobilisation générale de la société pour qu’enfin les victimes soient écoutées et entendues ! Mais force est de constater que les dénis de justice s’accumulent et qu’il a fallu que des milliers de témoignages affluent après la parution du livre de Camille Kouchner pour qu’une loi fixant un seuil d’âge pour le « consentement » soit proposée.
Concernant l’avortement, l’obstruction de parlementaires réactionnaires a fait échouer la proposition de loi d’allongement des délais, de suppression de la clause de conscience spécifique et permettant aux sages femmes de pratiquer une IVG instrumentale.Pour faire entendre la colère des femmes, On arrête Toutes, collectif de mobilisation pour la grève féministe, organise le dimanche 7 mars de 13h à 17h un rassemblement festif et politique du mouvement autonome des femmes, place de la République à Paris. Ce rassemblement, soutenu par une trentaine d’associations féministes, alternera des prises de parole et des moments d’expressions artistiques, danses, chorales, théâtre, tout en affirmant sa solidarité avec les femmes du monde entier. Nous préparerons toutes ensemble la grève féministe du 8 mars. Cette grève féministe qui touche à tous les domaines où les femmes sont reléguées à un rôle subalterne, opprimées, exploitées, violentées, invisibilisées : travail salarié mais aussi violences, vie politique, travail domestique, expression artistique et culturelle, etc.
Et le 8 mars On Arrête Toutes appelle à manifester avec les associations féministes et les organisations syndicales de Port Royal à République.
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Agir pour l’égalité / la parité femmes-hommes en France : 8 mars 2021 : Pourquoi faire une grève féministe ?28 février 2021, par Yonne Lautre
Le comité 8 mars dévoile le thème de sa campagne annuelle du 8 mars 2021 :
Écoutons les femmes. La pandémie a mis en évidence la nécessité d’agir pour une égalité durable. C’est dans cette période historique que nous demandons « Écoutons les femmes » et soyons protagonistes d’un changement attendu depuis trop longtemps.
https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2021/01/29/8-mars-2021/ -
Covid-19 : dans les médias, des femmes trop souvent invisibles ou stéréotypées18 janvier 2021, par Yonne Lautre
Le traitement des informations en ces temps de crise est assez révélateur des dynamiques sociales qui traversent notre société. Prenons l’exemple des rapports sociaux de sexe. La crise actuelle aurait pu mettre en exergue le fait que beaucoup de professions nécessaires au maintien de la structure de la société sont encore fortement sexuées, comme celles du maintien de l’ordre, de la sécurité ou du transport, du côté des professions à majorité d’hommes, ou celles en lien avec la santé, le social, l’éducation ou les services à la personne, du côté des professions à majorité de femmes.
https://theconversation.com/covid-19-dans-les-medias-des-femmes-trop-souvent-invisibles-ou-stereotypees-141947 -
À partir de ce 4 novembre, à 16h16, les femmes travaillent bénévolement jusqu’à la fin de l’année6 novembre 2020, par Yonne Lautre
C’est un décompte qui souligne la persistance des inégalités entre les femmes et les hommes. Selon le calcul du collectif féministe les Glorieuses, les femmes françaises vont commencer à travailler gratuitement jusqu’à la fin de l’année à partir de 16h16 aujourd’hui. Alors que les femmes sont payées 15,5 % de moins que les hommes, le collectif demande un vrai plan de relance féministe au gouvernement qui pourrait « corriger des centaines d’années de discriminations économiques ».
https://www.novethic.fr/actualite/social/discrimination/isr-rse/a-partir-d-aujourd-hui-les-femmes-travaillent-benevolement-jusqu-a-la-fin-de-l-annee-149165.html -
Agir pour l’égalité / la parité femmes-hommes en France : Pétition pour un plan de relance économique féministe : #4Novembre16h1628 octobre 2020, par Yonne Lautre
Pour corriger les inégalités économiques structurelles dont les femmes sont aujourd’hui victimes en France, la newsletter Les Glorieuses s’engage avec le #4Novembre16h16 et fait cinq propositions pour un plan de relance économique féministe.
Conditionner l’accès aux marchés publics, l’obtention des subventions publiques et celui des prêts garantis par l’Etat au respect de l’égalité salariale au sein de sa structure.
Renforcer l’Index de l’égalité en créant un certificat d’égalité obligatoire des entreprises.
Valoriser les salaires des métiers où les femmes sont les plus nombreuses comme les métiers du soin.
Intégrer les femmes aux décisions liées au plan de relance.
Soutenir un congé paternité équivalent au congé maternité.#4Novembre16h16
https://lesglorieuses.fr/campagnes-politiques/4novembre16h16/
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Les femmes en politique : une bataille loin d’être gagnée14 octobre 2020, par Yonne Lautre
Il est toujours ardu de se faire une place dans l’univers politique lorsqu’on est une femme. On assisterait même à une « réaction conservatrice » — un retour de bâton après l’obtention de victoires. Écolos, insoumises, communistes... Elles témoignent dans Reporterre.
https://reporterre.net/Les-femmes-en-politique-une-bataille-loin-d-etre-gagnee -
Les jeunes femmes sont les premières concernées par le retrait de l’État en milieu rural16 septembre 2020, par Yonne Lautre
Les soudaines phases d’intérêt politique pour les jeunes ruraux aboutissent habituellement sur des mesures « volontaristes » qui prennent le cadre urbain comme référence et supposent de se projeter vers la ville pour vivre sa jeunesse et se réaliser.
Ces injonctions unilatérales à la « mobilité » ou à « l’ouverture » pâtissent du manque de connaissances sur des groupes juvéniles que l’on a longtemps uniformisés sous l’image d’une société paysanne immuable.
Les jeunesses urbaines, plus visibles, font alors office de point de comparaison avec les jeunesses rurales, selon un principe de définition par le manque. Par ce prisme, on tend à méconnaître les conditions d’existences et les visions du monde des jeunes ruraux, mais surtout on gomme les fractures qui existent au sein même de ce large groupe.
La crainte de la « sale réputation »
https://theconversation.com/les-jeunes-femmes-sont-les-premieres-concernees-par-le-retrait-de-letat-en-milieu-rural-143425 -
Pour les femmes, la flexibilité des horaires de travail se paye au prix fort10 août 2020, par Yonne Lautre
L’inégale répartition entre les hommes et les femmes dans la prise en charge des tâches domestiques et familiales constitue la caractéristique toujours actuelle de l’environnement extra-professionnel des femmes.
Les femmes actives font face à une « double journée » de travail, c’est-à-dire qu’elles cumulent dans une même journée obligations professionnelles et familiales/domestiques. Or de nombreux travaux francophones ont montré la difficulté à articuler travail professionnel et travail domestique pour les femmes.
En cela, les horaires flexibles peuvent être considérés a priori comme un moyen de mieux organiser le « temps de travail » des femmes (c’est-à-dire la somme des temps de travail professionnel et domestique) et ainsi leur difficulté à concilier vie professionnelle et vie privée.
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Revaloriser les métiers à prédominance féminine : c’est le moment ! Entretien avec Rachel Silvera14 juillet 2020, par Yonne Lautre
Après la crise sanitaire et le confinement, la revalorisation des métiers à prédominance féminine est à l’ordre du jour, comme en atteste le reportage de « Cash investigation » du 19 mai consacré à l’égalité professionnelle, tandis qu’une pétition de chercheuses et de syndicalistes revendiquant la revalorisation des « emplois et carrières à prédominance féminine » recueille près de 65 000 signatures et que 6 conseillères régionales de Nouvelle-Aquitaine publient une tribune demandant à ce que « les subventions et marchés publics » soient conditionnés à l’égalité salariale et « les emplois majoritairement occupés par des femmes » revalorisés, entre autre[1].
http://www.contretemps.eu/revaloriser-metiers-predominance-feminine-entretien-silvera/ -
Agir pour l’égalité / la parité femmes-hommes en France : 81% des maire·sse·s élu·e·s (dans les communes de plus de 1000 habitant·e·s) sont des hommes7 juillet 2020, par Yonne Lautre
Maintenant que les nouveaux élu·e·s municipales et municipaux ont désigné ces derniers jours leur maire ou mairesse, Osez le Féminisme ! tire le bilan des municipales 2020 : une parité qui avance trop doucement et beaucoup d’hommes agresseurs ou complices encore élus en toute impunité !
Les municipales 2020 ont livré au moins une bonne nouvelle : la moitié des 10 plus grandes villes en France seront dirigées par des femmes : Paris, Marseille, Strasbourg, Nantes, Lille. Nous ne comptions que trois mairesses dans ces villes en 2014.
Mais cette avancée ne doit pas masquer une parité qui progresse peu dans un contexte de sexisme structurel en politique. 81% des maire·sse·s élu·e·s (dans les communes de plus de 1000 habitant·e·s) sont des hommes, contre 84% de maires en 2014. Nous sommes très loin d’une véritable parité. Les élections municipales n’ont brisé ni le plafond de verre, ni le plancher collant causés par la cooptation entre hommes : les femmes sont toujours sous-représentées en politique. Sans parler de la sous-représentation encore plus criante des élues racisées.
https://mailchi.mp/osezlefeminisme/bilan-des-municipales-2020?e=69ca4072db -
Le partage des tâches domestiques et familiales ne progresse pas29 mai 2020, par Yonne Lautre
80 % des femmes font la cuisine ou le ménage au moins une heure chaque jour, contre 36 % des hommes. Depuis 2003, l’évolution du partage des tâches dans la sphère privée semble au point mort. Une analyse d’Anne Brunner, de l’Observatoire des inégalités.
https://www.inegalites.fr/Le-partage-des-taches-domestiques-et-familiales-ne-progresse-pas -
Pétition L’après Covid-19 : Revalorisez les emplois féminisés !29 avril 2020, par Yonne Lautre
Si tous les soirs nous applaudissons le travail du personnel soignant et de toutes les personnes qui assurent la continuité de nos vies quotidiennes, n’oublions pas que la majorité de ces emplois sont très féminisés. Ce sont des infirmières (87 % de femmes) et aides-soignantes (91 % de femmes), mais aussi des aides à domicile et des aides ménagères (97 % de femmes), des agentes d’entretien (73 % de femmes), des caissières et des vendeuses (76 % de femmes), ce sont encore des travailleuses sociales et des enseignantes. Ces métiers sont dits « de femmes » ; il s’agit d’éduquer, soigner, assister, nettoyer, écouter, servir… bref, de faire appel à des « compétences présumées innées », si « naturelles » quand on est femme…
https://www.change.org/p/emmanuel-macron-revalorisez-les-emplois-féminisésAttention NDLR : Si nous soutenons cette pétition, nous attirons votre attention sur la question du site qui en est le support. Voir nos articles Pétitions citoyennes sur internet : questions entre sites marchands et sites citoyens et Quelles pétitions signer sur internet ?. Lire aussi : Pétitions par mail : signer ou ne pas signer ? et Pétitions citoyennes sur internet : et si on relocalisait ?
(Note de la Rédaction de Yonne Lautre) -
Cuisine, ménage, enfants... Le confinement exacerbe les inégalités hommes-femmes21 avril 2020, par Yonne Lautre
Pour les femmes, la vie familiale confinée n’est pas toujours facile : ménage, cuisine, enfants... En fait, le confinement ne fait qu’accentuer un déséquilibre déjà existant dans les couples hétérosexuels. D’autant que la période n’est pas propice au déclenchement de discussions houleuses.
https://reporterre.net/Cuisine-menage-enfants-Le-confinement-exacerbe-les-inegalites-hommes-femmes -
Coronavirus : pendant le confinement, la charge mentale des femmes explose17 avril 2020, par Yonne Lautre
Le confinement est une période particulièrement difficile pour les femmes, leur charge mentale explose. Les témoignages en ce sens se multiplient sur les réseaux sociaux. Entre le télétravail, l’éducation des enfants, la cuisine, le ménage... la gestion est particulièrement difficile. D’autant que s’ajoute également la charge émotionnelle, qui consiste à s’assurer du bien-être de son foyer, parfois au détriment du sien.
https://www.novethic.fr/actualite/social/droits-humains/isr-rse/coronavirus-la-charge-mentale-des-femmes-explose-avec-le-confinement-148426.html -
Agir pour l’égalité / la parité femmes-hommes en France : « Le salaire c’est juste révélateur d’un épiphénomène. » L’entretien avec la sociologue Carmen Diop5 novembre 2019, par Yonne Lautre
Nous sommes le 5 novembre. À partir du 16h47 ce jour, les femmes en France commencent à travailler bénévolement jusqu’à la fin de l’année, du fait des inégalités salariales. Selon Eurostat, l’écart de rémunération en France entre les femmes et les hommes est de l’ordre de 15,4%. Pour endiguer cet écart, nous proposons au Gouvernement d’adopter trois mesures qui ont fait leurs preuves dans les pays où cet écart est plus faible : une transparence des salaires au sein des entreprises, un congé paternité équivalent au congé maternité post accouchement et un certificat d’égalité salariale. Pour soutenir ce combat, nous vous proposons de signer cette pétition. Pour découvrir toutes les actions que nous pouvons mener à chaque niveau, je vous propose le numéro d’hier de la newsletter économie des Glorieuses, écrit par Arièle Bonte. Pour soutenir la grève des femmes de l’hôtel Ibis, nous vous proposons ce mug, dont l’ensemble des bénéfices sera reversé au mouvement.
https://lesglorieuses.fr/carmen-diop-les-jours-je-lutte -
Agir pour l’égalité / la parité femmes-hommes en France : pour une santé féministe des filles et des femmes8 avril 2019, par Yonne Lautre
75% des femmes ont été culpabilisées
par un.e professionnel.le de santé au moins une fois
65% des femmes n’ont pas été crues
par un.e professionnel.le de santé au moins une fois
87% des femmes ont déjà été gênées
par le comportement d’un.e professionnel.le de santéLes filles et les femmes ne sont pas soignées de la même manière que les hommes et les garçons, elles sont moins prises au sérieux, et leurs douleurs sont moins bien prises en charge.
Pour une vraie santé féministe, retrouvez tout le contenu de la campagne sur le site dédié : articles, témoignages, podcasts, vidéos...
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Avec son « index de l’égalité » le gouvernement permet aux entreprises de continuer à discriminer les femmes20 mars 2019, par Yonne Lautre
Depuis le 1er mars, les grandes entreprises sont obligées de publier un « index de l’égalité salariale », une note sur 100 censée évaluée leur bonne ou médiocre performance en matière de non discrimination entre hommes et femmes. Une note trop basse peut être synonyme de sanctions financières. Problème : cet index est fait pour que la plupart des entreprises aient d’excellentes évaluations, quelle que soit l’ampleur des inégalités en leur sein. Une invention gouvernementale qui permet de masquer des discriminations persistantes.
https://www.bastamag.net/Avec-son-index-de-l-egalite-le-gouvernement-permet-aux-entreprises-de-continuer
fr
En savoir plus sur ce Monde qui se réchauffe, se dérègle (...)
Droits
Droits des Femmes
France
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