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Stockage des déchets nucléaires en Europe : un tombeau encombrant ? sur ArteTV jusqu’au 12/12/2022

25 février 2019 La Suède à la peine avec ses déchets nucléaires

La Suède a été le premier pays au monde à ouvrir en 1988 un site de stockage définitif des déchets radioactifs « à vie courte ». Trente ans plus tard, le doublement du site se heurte à des résistances tandis que l’enfouissement du combustible nucléaire, encore plus sensible, est très critiqué.
https://reporterre.net/La-Suede-a-la-peine-avec-ses-dechets-nucleaires


6 février 2019 Déchets nucléaires : le gouvernement britannique cherche désespérément une solution

La Grande-Bretagne a repoussé pendant des années la question du devenir de ses déchets radioactifs. Pour y remédier, le gouvernement actuel a lancé une opération de séduction des communes rurales pour les inciter à accueillir le site de la future poubelle nucléaire.
https://reporterre.net/dechets-nucleaires-le-gouvernement-britannique-cherche-desesperement-une-solution


18 décembre 2018 En Allemagne, la gestion des déchets radioactifs dans l’impasse

Fin 2022, l’Allemagne devrait en avoir fini avec la production d’électricité d’origine nucléaire. Mais le sort des déchets radioactifs les plus dangereux n’est absolument pas réglé alors que le temps presse.
https://reporterre.net/En-Allemagne-la-gestion-des-dechets-radioactifs-dans-l-impasse


27 décembre 2017 En Finlande, le premier cimetière de déchets radioactifs au monde

Mis à part le portail de sécurité à l’entrée du terre-plein et les camions garés devant un grand bâtiment de tôle jaune et vert, rien ne trahit la présence du site d’Onkalo (« la caverne », en finnois). Pourtant, c’est bien ici, au bord de la Baltique, à un jet de pierre de la centrale nucléaire d’Olkiluoto, où le français Areva achève péniblement la construction de son réacteur EPR, que la Finlande a décidé d’enterrer, pour l’éternité, ses déchets les plus radioactifs. Ils devront y rester enfouis pour au moins cent mille ans, le temps qu’ils deviennent enfin inoffensifs.
http://www.lemonde.fr/energies/article/2017/12/27/en-finlande-le-premier-cimetiere-de-dechets-radioactifs-au-monde_5234897_1653054.html


11 juin 2016 En Finlande, un tombeau nucléaire pour l’éternité

Percé dans la roche sur les rives de la mer Baltique, le tombeau d’Onkalo est censé accueillir, pour l’éternité, un siècle de déchets nucléaires produits par les centrales finlandaises.

À un jet de pierre du futur réacteur EPR conçu par le géant français de l’atome Areva, Onkalo ("caverne" en finnois) sera le premier site au monde d’enfouissement permanent de déchets nucléaires à haute activité en couche géologique profonde.

http://information.tv5monde.com/en-continu/en-finlande-un-tombeau-nucleaire-pour-l-eternite-111613


6 février 2016 Que faire de nos déchets nucléaires ?

En France comme en Allemagne, plusieurs milliers de tonnes de matériel hautement radioactif sont produites année après année et continuent d’émettre des rayons pendant des centaines de milliers d’années. L’Allemagne a opté pour la sortie du nucléaire, mais une question cruciale n’a toujours pas trouvé de réponse : que faire des résidus ?

http://future.arte.tv/fr/dechets-nucleaires


3 février 2016 En Allemagne aussi, les déchets nucléaires s’accumulent sans solution fiable

Alors que l’accident mortel à Bure, la semaine dernière, montre la fragilité du projet d’enfouissement des déchets nucléaires, l’Allemagne se débat elle aussi avec ces rebuts. La solution naguère présentée comme excellente s’est révélée désastreuse.

http://www.reporterre.net/En-Allemagne-aussi-les-dechets-nucleaires-s-accumulent-sans-solution-fiable


5 septembre 2015 Villar de Cañas lutte pour devenir l’entrepôt nucléaire de l’Espagne

Tout allait bon train à Villar de Cañas, un minuscule village de la province de Cuenca depuis que le gouvernement espagnol avait décidé, fin 2011, d’y installer le premier site de stockage temporaire centralisé de résidus nucléaires de haute activité d’Espagne (ATC). Des terrains avaient été achetés, des infrastructures avaient été construites. Mais depuis deux mois c’est l’incertitude la plus totale, car le nouveau président de la région de Castille-La Manche, Emiliano García-Page, élu en mai dernier, a décidé de saborder le projet, dénonçant une atteinte à l’environnement.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/09/04/villar-de-canas-lutte-pour-devenir-l-entrepot-nucleaire-de-l-espagne_4745891_3244.html


3 décembre 2022

Par Rédaction Yonne Lautre

Le samedi 3 décembre 2022

Mis à jour le 12 décembre 2022