Un « sommet des peuples » ainsi qu’une semaine d’action globale internationale se dérouleront en parallèle de la réunion de l’OMC. « Des chefs d’entreprise, des ministres, des chanceliers et même des présidents seront à Buenos Aires. Pour quoi faire ? Pour exiger plus de ‘liberté’ pour leurs entreprises, plus de ‘facilité’ pour exploiter les travailleurs, les paysans, les indigènes, les terres et les territoires. En d’autres termes, moins de ‘freins’ au pillage des multinationales », dénonce la Via Campesina, qui appelle « les mouvements sociaux et les organisations de la société civile de la planète à se mobiliser et à coordonner leurs résistances ». Et de critiquer plus largement : « Depuis ses débuts en 1995, l’OMC a favorisé le capitalisme dans sa forme la plus brutale », en encourageant la libéralisation des marchés nationaux et la multiplication des accords de libre-échange entre les pays et les blocs régionaux.
Un « sommet des peuples » ainsi qu’une semaine d’action globale internationale se dérouleront en parallèle de la réunion de l’OMC. « Des chefs d’entreprise, des ministres, des chanceliers et même des présidents seront à Buenos Aires. Pour quoi faire ? Pour exiger plus de ‘liberté’ pour leurs entreprises, plus de ‘facilité’ pour exploiter les travailleurs, les paysans, les indigènes, les terres et les territoires. En d’autres termes, moins de ‘freins’ au pillage des multinationales », dénonce la Via Campesina, qui appelle « les mouvements sociaux et les organisations de la société civile de la planète à se mobiliser et à coordonner leurs résistances ». Et de critiquer plus largement : « Depuis ses débuts en 1995, l’OMC a favorisé le capitalisme dans sa forme la plus brutale », en encourageant la libéralisation des marchés nationaux et la multiplication des accords de libre-échange entre les pays et les blocs régionaux.
https://www.bilaterals.org/?l-omc-continue-a-faire-des-ravages&lang=en