Répondant à l’appel du Premier ministre et du ministre de l’intérieur, le préfet de police de Paris a interdit la manifestation prévue le samedi 19 Juillet à 15h en faveur des victimes de l’offensive israélienne à Gaza. Par deux fois, du Niger, où son arrivée a été précédée par l’arrestation de citoyens trop curieux, qui avaient osé demander que l’on publie le contrat négocié avec AREVA pour l’exploitation des mines d’uranium, puis du Tchad, où il installait un nouveau dispositif pérennisant la présence militaire française dans le Sahel, le président de la République a justifié cette interdiction et menacé les contrevenants des lourdes peines prévues par la loi.
Répondant à l’appel du Premier ministre et du ministre de l’intérieur, le préfet de police de Paris a interdit la manifestation prévue le samedi 19 Juillet à 15h en faveur des victimes de l’offensive israélienne à Gaza. Par deux fois, du Niger, où son arrivée a été précédée par l’arrestation de citoyens trop curieux, qui avaient osé demander que l’on publie le contrat négocié avec AREVA pour l’exploitation des mines d’uranium, puis du Tchad, où il installait un nouveau dispositif pérennisant la présence militaire française dans le Sahel, le président de la République a justifié cette interdiction et menacé les contrevenants des lourdes peines prévues par la loi.
http://www.aurdip.fr/La-censure-comme-politique.html