Condamné à rembourser les 400 millions (440 si l’on compte les intérêts) qu’il a reçu grâce à l’arbitrage truqué d’Adidas, Tapie croit avoir trouvé l’astuce pour échapper à la mise en vente de ses biens. Le 15 mai, devant le tribunal de commerce de Paris, ses avocats ont présenté « un plan de sauvegarde« , par lequel il s’engage à rembourser ses dettes… dans un délai de sept ans. C’est-à-dire d’ici 2024, l’année où il soufflera sa 84ème bougie.
Condamné à rembourser les 400 millions (440 si l’on compte les intérêts) qu’il a reçu grâce à l’arbitrage truqué d’Adidas, Tapie croit avoir trouvé l’astuce pour échapper à la mise en vente de ses biens. Le 15 mai, devant le tribunal de commerce de Paris, ses avocats ont présenté « un plan de sauvegarde« , par lequel il s’engage à rembourser ses dettes… dans un délai de sept ans. C’est-à-dire d’ici 2024, l’année où il soufflera sa 84ème bougie.