Rubriques > Énergies, Ressources, Transports, Pollutions > Nucléaire > France > Coût exorbitant du nucléaire >

Le nucléaire ne survit plus que par la triche : Le nouveau solaire deux fois moins cher que l’EPR

Arrêtons les frais !

29 octobre 2018 Le tout-nucléaire, une voie sans issue

Le gouvernement doit trancher sur le sort des réacteurs français, alors que l’industrie nucléaire paraît dépassée. Elle n’est plus compétitive par rapport aux énergies renouvelables et sa fiabilité est mise en question.
https://www.marianne.net/societe/le-tout-nucleaire-une-voie-sans-issue


10 octobre 2018 Nucléaire français : la fuite en avant ou l’effondrement

La loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte (LTECV) publiée au Journal Officiel du 18 août 2015, vise à préparer l’après pétrole et à instaurer un modèle énergétique robuste et durable. En ce qui concerne le nucléaire, elle s’est fixé comme objectif de réduire sa part dans la production d’électricité à 50 % à l’horizon 2025. La part du nucléaire étant de l’ordre de 75% actuellement, c’est donc environ un tiers du parc qui doit être arrêté pour atteindre cet objectif, soit environ 19 réacteurs sur 58. A priori les plus anciens.

Or, le combustible MOx, qui permet de recycler le plutonium extrait à l’usine de retraitement d’Orano à La Hague, est utilisé dans les réacteurs les plus anciens du parc. Leur arrêt à l’horizon 2025 aura donc un impact énorme sur l’activité de cette usine et de celle de Melox qui fabrique le combustible. Cela mérite que l’on s’y attarde, surtout quand un débat national sur le plan de gestion des matières et déchets radioactifs est en préparation.
https://www.acro.eu.org/nucleaire-francais-la-fuite-en-avant-ou-leffondrement/


13 septembre 2018 "L’industrie nucléaire en pleine déroute"

Vieillissement du parc mondial, chute des commandes, casse-tête du démantèlement, l’industrie nucléaire s’inquiéte. https://lexpansion.lexpress.fr/actualite-economique/l-industrie-nucleaire-en-pleine-deroute_2034754.amp.html


2 novembre 2017 Nucléaire et finance : le pouvoir des lobbys contre la démocratie

Le secteur de la finance et celui de l’énergie nucléaire sont deux piliers du capitalisme français. Malgré leurs différences apparentes, ils ont de nombreux points communs, à commencer par leur imbrication étroite avec l’appareil d’État, leur dépendance envers le soutien des pouvoirs publics, et leur capacité à étouffer les alternatives. À l’occasion du Forum social mondial antinucléaire, une note publiée conjointement par l’Observatoire des multinationales et Attac France dresse le portrait de ces deux puissants lobbys qui pèsent de tout leur poids sur la politique française.
http://multinationales.org/Nucleaire-et-finance-le-pouvoir-des-lobbys-contre-la-democratie


28 mai 2017 Les contre-vérités du nucléaire

La France s’acharne à présenter l’énergie nucléaire comme une industrie sûre (malgré les accidents), non polluante (malgré les déchets), capable de produire une électricité à bas prix (malgré l’effondrement économique de la filière), comme la solution pour assurer notre indépendance énergétique. Des arrangements avec la réalité que FNE décode.

http://www.fne.asso.fr/node/11221


15 mars 2017 En France, sortir du nucléaire coûterait cher, y rester aussi

Dans l’Hexagone, où la fission de l’atome fournit les trois quarts de l’électricité, une sortie complète du nucléaire, prônée par les candidats de gauche à l’élection présidentielle Benoît Hamon et Jean-Luc Mélenchon, coûterait 217 milliards d’euros d’ici à 2035. C’est le chiffre choc avancé, lundi 13 mars, par l’Institut Montaigne.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/energies/article/2017/03/15/en-france-sortir-du-nucleaire-couterait-cher-y-rester-aussi_5094659_1653054.html


10 mars 2017 Le nouveau solaire deux fois moins cher que l’EPR

À 62,50 euros le mégawattheure, le solaire distance désormais sensiblement l’éolien, dont le coût est estimé en moyenne à 80 euros.

Les gains de compétitivité du solaire ne sont pas un vain mot. Jeudi, les résultats du quatrième appel d’offres photovoltaïque lancé par la Commission de régulation de l’énergie (CRE) se sont soldés par un prix moyen de rachat de l’électricité - il correspond au seuil de rentabilité des installations - autour de 62,50 euros le mégawattheure (MWh), soit deux fois moins que l’EPR de Flamanville (Manche). La production du réacteur nucléaire de nouvelle génération actuellement en chantier devrait « sortir » aux environs de 120 euros le MWh.

http://www.lefigaro.fr/societes/2017/03/10/20005-20170310ARTFIG00010-le-nouveau-solaire-deux-fois-moins-cher-que-l-epr.php


14 janvier 2017 Il serait temps de mettre un terme aux privilèges de l’industrie nucléaire

Triste jour pour la sûreté nucléaire. L’ASN a donné son accord au redémarrage de neuf des douze réacteurs concernés par des anomalies majeures et offre un délai supplémentaire à EDF pour remettre en état le réacteur n°2 de Paluel. Ces décisions sont d’autant plus choquantes que le nucléaire donne à voir qu’il n’est pas en capacité de répondre à nos besoins...
https://blogs.mediapart.fr/guillaume-blavette/blog/130117/il-serait-temps-de-mettre-un-terme-aux-privileges-de-lindustrie-nucleaire


17 novembre 2016 EDF asphyxié par le nucléaire, selon Greenpeace

Les comptes d’EDF ne reflètent pas la réalité de la situation financière de l’entreprise. C’est le constat qui ressort d’une étude rédigée par le cabinet AlphaValue, à la demande de Greenpeace, rendue publique aujourd’hui. AlphaValue montre, à partir de l’analyse d’hypothèses et de données publiques, qu’EDF sous-provisionne dans ses comptes les dépenses liées au démantèlement et à la gestion des déchets nucléaires, mais aussi que les investissements prévus par l’entreprise ne sont pas compatibles avec ses capacités financières.

http://bourse.lefigaro.fr/indices-actions/actu-conseils/edf-asphyxie-par-le-nucleaire-selon-greenpeace-5924571


26 août 2016 « La stratégie nucléaire française basée sur l’EPR n’a pas d’avenir »

Flamanville toujours en rade, Hinkley Point remis en cause… Les projets d’EPR, réacteur nucléaire de 3ème génération la perle de notre industrie de l’atome, cumulent les déconvenues. L’analyste Mycle Schneider, 57 ans, spécialiste de la politique nucléaire, décrypte ce qui ressemble de plus en plus à une impasse industrielle. Notre interlocuteur est l’auteur principal du World Nuclear Industry Status Report publication annuelle indépendante – et critique – qui fait référence sur les tendances de l’industrie nucléaire dans le monde.
http://www.capital.fr/bourse/actualites/la-strategie-nucleaire-francaise-basee-sur-l-epr-n-a-pas-d-avenir-1158832


21 août 2016 Nucléaire : une bombe financière et fiscale à retardement

Pendant des décennies l’Etat et le lobby nucléaire ont servi un mensonge à la population, notamment sur le faible coût supposé de la production d’électricité par la destruction atomique. Aujourd’hui la manipulation se révèle aussi au travers du fiasco financier et économique de EDF et de Areva dont la maison-mère est le Commissariat à l’Energie Atomique. Le nucléaire est moins compétitif financièrement que les énergies renouvelables. Dans les 3 domaines du prix, de l’indépendance énergétique et de l’emploi c’est le fiasco. Pour maintenir à flot les producteurs de la bombe atomique et l’illusion d’une modernité technologique, EDF-Areva et l’Etat prennent des risques que les contribuables devront assumer. Un patron livre son analyse...
http://coordination-antinucleaire-sudest.net/2012/index.php?post/2016/08/20/Nucl%C3%A9aire-%3A-une-bombe-financi%C3%A8re-et-fiscale-%C3%A0-retardement


15 août 2016 Le nucléaire en faillite

Chaque jour qui passe, ou presque, apporte son lot de révélations sur la faillite de la filière nucléaire française. Toute puissante des décennies durant, elle a bâti des centrales à tire-larigot sans se préoccuper ni du coût de leur démantèlement une fois en bout de course ni du stockage de leurs déchets. Trop occupée à asseoir et conforter ses positions au sein de l’élite politico-industrielle du pays, elle s’est débrouillée pour que la question du coût et de la faisabilité du démantèlement et des déchets soit léguée aux générations futures, espérant que l’évolution de la technologie permettrait d’y faire face. On voit où cette politique nous mène aujourd’hui, alors que la catastrophe de Fukushima et la crise économique ont gelé tous les projets d’avenir : effondrement d’Areva - longtemps fleuron national -, difficultés d’EDF à monter le seul contrat en vue, celui d’Hinckley Point (Grande-Bretagne), et surtout casse-tête du démantèlement des centrales et du stockage des déchets par manque d’argent provisionné.
http://www.liberation.fr/france/2016/08/14/faillite_1472413


9 août 2016 Les dessous géopolitiques du nucléaire français

Faillite d’Areva, endettement record d’EDF, difficultés non surmontées du réacteur EPR : alors que la filière française de l’atome connaît une crise inédite et entre peut-être dans une nouvelle phase de son histoire, l’historienne américaine Gabrielle Hecht interroge les liens entre le système nucléaire français et l’identité nationale.
https://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/090816/les-dessous-geopolitiques-du-nucleaire-francais


30 juillet 2016 Le nucléaire ne survit plus que par la triche

La décision prise par le conseil d’administration d’EDF de se lancer définitivement dans la construction de Hinkley Point n’est possible que parce que le droit est constamment contourné et qu’en réalité, en France, le nucléaire est hors d’état de droit.

Tout d’abord, ce conseil d’administration est une parodie dans la mesure où les administrateurs soi-disant indépendants qui siègent au conseil, hormis le courageux Gérard Magnin dont le courrier de démission mérite d’être lu par tous, ne devraient pas y siéger en raison des conflits d’intérêts. En effet, soit ils ont fait toute leur carrière dans le nucléaire comme Madame Lewiner et n’ont donc rien d’indépendant par rapport à l’entreprise, soit ils vivent de commandes du nucléaire comme Philippe Crouzet, patron de Vallourec ou Bruno Lafon patron de Lafarge.

http://www.huffingtonpost.fr/corinne-lepage/nucleaire-hinkley-point-_b_11245864.html


29 juillet 2016 Pénalisé au 1S par un marché difficile, EDF allonge la durée de vie comptable de certains réacteurs

EDF a publié des résultats globalement en baisse au premier semestre, pénalisés par une concurrence accrue et la dégringolade des prix de l’électricité, même si son résultat net courant a bénéficié mécaniquement d’une modification comptable.

D’avril à juin, le géant français de l’électricité a vu son bénéfice net chuter de 17,2% à 2,08 milliards d’euros, pour un chiffre d’affaires en recul de 5,7% à 36,6 milliards d’euros.

http://www.romandie.com/news/724804.rom


9 juillet 2016 L’Agence des participations de l’État doit trouver 8 milliards d’euros pour "redresser la filière nucléaire française" (M.Vial)

"Nous allons injecter environ 5 milliards d’euros pour Areva, et le gouvernement va procéder à une augmentation d’EDF à hauteur de 3 milliards d’euros", a expliqué Martin Vial, directeur général de l’Agence des participations de l’État, invité de "L’interview éco", ce vendredi sur France Info.

http://www.franceinfo.fr/fil-info/article/l-agence-des-participations-de-l-etat-doit-trouver-8-milliards-d-euros-pour-redresser-la-filiere-804225


5 juillet 2016 Programmation pluriannuelle de l’énergie : le gouvernement continue de s’asseoir sur ses promesses !


Le Réseau "Sortir du nucléaire" dénonce un texte flou et notoirement insuffisant, qui enferme la France dans l’impasse nucléaire plutôt que d’amorcer une véritable transition.

Même l’insuffisante réduction de la part du nucléaire ne sera pas respectée


Alors que François Hollande, en tant que candidat puis Président de la République, s’était engagé à réduire la part du nucléaire à 50% d’ici 2025, objectif d’ailleurs inscrit dans la loi, c’est un fossé qui sépare ces promesses du texte de la PPE rendu public vendredi. En effet, la fourchette de réduction de production nucléaire proposée permettrait, au mieux, d’atteindre une part de 65% de nucléaire d’ici 2023 !

http://www.sortirdunucleaire.org/Programmation-pluriannuelle-de-l-energie-le


16 juin 2016 Nucléaire, arrêtons les frais !

En 2016 et plus que jamais, pas une semaine ne s’écoule sans qu’un nouveau scandale ne démontre le naufrage de l’industrie nucléaire en France. L’État lui apporte malgré tout un soutien financier toujours croissant avec l’aide de nos impôts. En ciblant plus particulièrement quatre projets extrêmement dangereux et coûteux, mobilisons-nous pour faire tomber ensemble les vitrines du lobby nucléaire !

Je refuse que mes impôts participent au financement
de projets dangereux, imposés et très coûteux !

http://sortirdunucleaire.org/Nucleaire-arretons-les-frais


19 janvier 2021

http://sortirdunucleaire.org/Nucleaire-arretons-les-frais

Par Rédaction Yonne Lautre

Le mardi 19 janvier 2021

Mis à jour le 19 janvier 2021