21 février 2019 CONFÉRENCE DE SERGE LATOUCHE SUR LA DÉCROISSANCE À PRIMEVÈRE CE 22 FÉVRIER

conférence (1h30) : vendredi 17h00, salle jaune

Intervenant-e(s) : Serge Latouche est auteur de nombreux livres dont “Les précurseurs de la décroissance. Une anthologie” aux éditions du Passager clandestin, Le passager clandestin

Il y a cinq raisons principales pour s’intéresser aux précurseurs de la décroissance : donner une plus grande légitimité au nouveau projet de société porté par les « objecteurs de croissance », rendre justice aux auteurs qui l’ont inspiré, édifier et éduquer ses jeunes partisans, montrer que les conceptions de la décroissance ne sont pas réductibles à une doxa monolithique et impliquent une grande tolérance et, enfin, renverser nos manières de penser. Il s’agit de découvrir que derrière ce slogan provocateur, se construit une vison riche et diversifiée et pas du tout monolithique, dogmatique ou sectaire. Serge Latouche est professeur émérite d’économie, auteur, objecteur de croissance et directeur de la collection « Les précurseurs de la décroissance », au sein de la maison d’édition « Le passager clandestin », où il a publié récemment “Les précurseurs de la décroissance. Une anthologie”.
http://salonprimevere.org/salon_programme_rencontre-4_les-precurseurs-de-la-decroissance


6 février 2019 Serge Latouche : « La décroissance »

Tout notre système économique repose sur l’idée de croissance. Pour investir, se développer, lutter contre le chômage, rembourser la dette, améliorer nos conditions de vie, il faudrait encore de la croissance, toujours de la croissance… Mais comment « croître » indéfiniment dans un monde fini ? Quand toutes les ressources naturelles arrivent à épuisement ? Et si l’idée de croissance n’était qu’une croyance parmi d’autres ?
Serge Latouche déconstruit méthodiquement une idéologie qui n’est qu’une hypothèque sur l’avenir. Il rappelle qu’à l’inverse le projet de la décroissance n’est pas un retour à l’âge de pierre ! En remettant en cause le productivisme et la philosophie de l’Homo œconomicus, il entend poser les conditions d’un changement profond de notre système de valeur.
La décroissance ? Un art de vivre bien, sobrement, en accord avec le monde, un art de vivre avec art.
https://www.puf.com/content/La_d%C3%A9croissance


14 décembre 2018 Serge Latouche : « La décroissance vise le travailler moins pour travailler mieux »

#UrgenceClimat. L’économiste de formation et théoricien de la décroissance prône d’entamer un sevrage à notre toxicodépendance à la consommation, passant par une rupture radicale, un changement de civilisation.
https://www.lemonde.fr/climat/article/2018/12/13/serge-latouche-la-decroissance-vise-le-travailler-moins-pour-travailler-mieux_5397115_1652612.html


4 novembre 2018 Serge Latouche : « Il faut décoloniser les sciences »

Professeur émérite d’Economie Politique à l’Université Paris-Sud, l’économiste Serge Latouche développe, depuis les années 1960, une critique radicale du développement et de la croissance économique. Selon lui, la science, devenue technoscience au sortir de la Seconde Guerre mondiale, avec l’alliance − inédite dans l’Histoire − des scientifiques et des techniciens, a joué, et joue plus que jamais de nos jours, un rôle moteur dans l’expansion du capitalisme thermo-industriel. « Le Mal », selon cet « objecteur de croissance », qui en appelle à la « dissidence » face à un système « insoutenable » menant tout droit au « suicide de l’espèce humaine ».
https://sciences-critiques.fr/serge-latouche-il-faut-decoloniser-les-sciences/


10 octobre 2017 Serge Latouche : La mégamachine et la destruction du lien social

J’ai coutume de dire que nous sommes embarqués sur un bolide qui fonce à toute allure, mais qui a perdu son chauffeur. Cet engin me paraît condamné à se fracasser sur un obstacle ou à disparaître dans un précipice, à un moment ou un autre de sa course folle.

Cette situation n’est pas due à la technique seulement, ni au système technicien au sens étroit du terme, aussi je me propose d’élargir le sujet qui m’était proposé à la fois du côté de la cause et du côté des effets : du côté de la cause en glissant de la technique à la mégamachine techno-socio-économique, du côté des effets en voyant les conséquences destructrices non seulement sur les cultures nationales mais aussi sur le politique, et finalement sur le lien social aussi bien au Nord qu’au Sud.

La mégamachine infernale

Lewis Mumford, et plus encore Cornélius Castoriadis, nous ont appris que la plus extraordinaire machine inventée par le génie humain n’est autre que l’organisation sociale elle-même. Après la métaphore de l’organisme, celle de la machine a été reprise ad nauseam pour parler de la société. Au vrai, avec la vision cartésienne de l’animal machine, les deux métaphores renvoient à une même vision mécaniste de la société.

L’entreprise de rationalisation a toujours visé ultimement, à travers l’ordre technique ou l’ordre économique, l’organisation de la Cité. Frank Tinland remarque, à juste titre, à propos de la technoscience, qu’on a toujours à faire en fait à un triangle techno-économico-scientifique (1). La dynamique techno- économique planétaire a pris l’allure d’un macrosystème décentralisé assez différent de la mégamachine centralisée (comme l’Etat pharaonique ou la phalange macédonienne visés par Lewis Mumford), mais que je qualifierais volontiers d’infernale. Ceci mérite d’être précisé. Il s’agit d’une part d’identifier cette machine, d’en spécifier les caractéristiques et d’autre part de montrer en quoi peut se justifier le qualificatif d’infernal.

La machine humaine

Le caractère machinique du fonctionnement du monde contemporain se manifeste à la fois par la montée de la société technicienne et du système technicien, mais aussi par le fait que les hommes eux-mêmes sont devenus des rouages d’un gigantesque mécanisme. De plus en plus on peut parler d’une cybernétique sociale (2). Cela se marque dans un premier temps par l’émancipation par rapport au social de la technique et de l’économie, puis, dans un deuxième temps, par l’absorption du social dans le techno- économique.

http://1libertaire.free.fr/SLatouche03.html


3 mars 2016 Serge Latouche : La décroissance, un projet pour en finir avec l’économisme ?


22 février 2015 Serge Latouche : Cornélius Castoriadis ou l’autonomie radicale

Pour une société autonome et une sortie du capitalisme

Toujours sur la brèche, Serge Latouche dirige depuis 2013 la collection Les précurseurs de la décroissance éditée par Le Passager Clandestin [1]. Déjà auteur de son premier titre, Jacques Ellul, contre le totalitarisme technicien, il propose, en ce printemps 2014 : Cornélius Castoriadis ou l’autonomie radicale.
Cornélius Castoriadis est né en 1922 à Istanbul, passe son enfance à Athènes, s’engage très jeune dans le mouvement communiste et gagne la France en décembre 1945. Il fut philosophe, sociologue (il enseigna à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales), économiste auprès de l’O.C.D.E et psychanalyste. Il décèdera à Paris en 1997. Adhérent du parti communiste internationaliste, il créa dès 1946, en compagnie de Claude Lefort, la revue mythique Socialisme ou Barbarie qui produira un ensemble de textes critiques sur le marxisme, le socialisme et le trotskysme.

LIRE LA SUITE : http://www.larevuedesressources.org/cornelius-castoriadis-ou-l-autonomie-radicale,2731.html


16 décembre 2014 Serge Latouche "Renverser nos manières de penser"

Un livre d’entretiens passionnants avec Serge Latouche, professeur émérite d’économie, par Daniele Pepino, Thierry Paquot et Didier Harpagès. Avec comme fil conducteur l’itinéraire intellectuel de Serge Latouche, cet ouvrage donne une excellente synthèse sur "Comment changer et renverser nos manières de penser". 190 pages petit format. Paru en novembre 2014.
Présentation de l’éditeur. « Jetant un regard rétrospectif sur mon parcours intellectuel, autour d’un objet envahissant et problématique, l’économie, il m’apparaît que mes efforts ont visé à produire ce que les Grecs appelaient une metanoïa, c’est-à-dire un renversement de la pensée. Aujourd’hui, il nous faut renverser nos manières de penser. Parce que le monde n’est plus vivable ainsi, que nous le savons mais restons pris dans les schémas capitalistes et productivistes, il nous faut réinventer notre imaginaire pour trouver une nouvelle perspective existentielle. Qui passera par l’après-développement, la décroissance et l’éco-socialisme. »

http://www.ecologiste.org/contents/fr/p207_Serge_Latouche._Renverser_nos_mani%C3%A8res_de_penser.html


18 juillet 2013 Serge Latouche "La décroissance permet de s’affranchir de l’impérialisme économique"

Dans un entretien avec Reporterre, Serge Latouche rappelle l’histoire de la décroissance, et prend ses distances avec la gauche.

Serge Latouche est professeur émérite d’économie et un des principaux inspirateurs du mouvement de la décroissance. On avait envie de le revoir, pour retracer les racines de la décroissance, entre Club de Rome, Illich et Gorz, et savoir où il en est par rapport au pouvoir, aux économistes altermondialistes, et à la gauche.

http://www.reporterre.net/spip.php?article4546


1er juin 2013 Face à l’obsolescence programmée, la décroissance émerge comme un horizon de sens Entretien avec Serge Latouche

Serge Latouche est pro­fesseur émérite d’économie à l’Université Paris-Sud XI (Orsay). Il est l’un des con­tribu­teurs his­toriques de la Revue du MAUSS et l’un des fon­da­teurs de la “Revue d’étude théorique et poli­tique de la décrois­sance” Entropia. Il dirige depuis 2013 la col­lec­tion “Les précurseurs de la décrois­sance” aux éditions Le Pas­sager clan­des­tin. Fig­ure de proue de la décrois­sance con­viviale et de l’après-développement, il dénonce l’économisme et l’utilitarisme des sci­ences sociales. Il se bat con­tre la notion de développe­ment durable qu’il définit comme une impos­ture et une inep­tie. Il est notam­ment l’auteur du Pari de la décrois­sance (Fayard) et de Pour une société d’abondance fru­gale (Mille et une nuits). Il vient de pub­lier Bon pour la casse, Les déraisons de l’obsolescence pro­gram­mée aux éditions Les liens qui libèrent. C’est le pre­mier livre en France qui relate l’histoire de ce phénomène sin­gulier de l’économie capitaliste.

http://www.institutmomentum.org/2013/04/face-a-lobsolescence-programmee-la-decroissance-emerge-comme-un-horizon-de-sensentretien-avec-serge-latouche-2/


4 février 2013 Serge Latouche Brèves jeudi 07 février à 19 h 30 à Auxerre // Bon pour la casse, les déraisons de l’obsolescence programmée

Jeudi 7 février à 18 h 30

Rencontre avec

Serge Latouche

Maison Paul Bert - Auxerre

Vous vous demandez pourquoi les appareils qui nous entourent tombent si souvent en panne ? Avec son dernier livre, "Bon pour la casse", Serge Latouche vous apporte la réponse, et vous explique le concept d’obsolescence programmée, inventée par des théoriciens de l’économie qui ont constaté que plus un produit est fiable, moins on le vend souvent. Alors pour doper la croissance, mieux vaut fabriquer des appareils conçus pour tomber en panne. Cet essai magistral remonte aux origines de cette idée et de son application pour démontrer de manière incontestable à quel point l’économie actuelle a renoncé à toute morale. Salutaire !

Penseur et économiste, Serge Latouche est l’un des principaux artisans du concept de "décroissance" dont vous avez probablement entendu dire tout et n’importe quoi.

Aujourd’hui, pourquoi ne pas vous faire votre propre idée ?

Une rencontre organisée en partenariat avec le Cercle Condorcet d’Auxerre

Tous nos rendez-vous à venir en ligne sur notre site à la rubrique "agenda".

Obliques
68 rue Joubert 89000 AUXERRE
tel : 03.86.51.39.29 / Fax : 03.86.52.11.83
www.librairie-obliques.fr

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9 janvier 2013 Serge Latouche Brèves jeudi 07 février à 19 h 30 à Auxerre // Bon pour la casse, les déraisons de l’obsolescence programmée

Des lunettes qui durent deux ans, un lave-linge conçu pour en durer trois, une imprimante incompatible avec votre nouvel ordinateur, une tablette vite surclassée par un modèle plus performant... Nos poubelles débordent, nos bennes à ordures saturent.

Responsable, l’obsolescence programmée, un phénomène né dans l’entre-deux-guerres aux Etats-Unis, et devenu depuis planétaire.

Le projet de Serge Latouche, professeur émérite à Paris-XI-Orsay, était d’abord d’écrire une préface à Made to Break ("Fait pour casser", Harvard Press, 2006), l’essai de l’Américain Giles Slade.

http://www.lemonde.fr/economie/article/2012/10/15/mortel-gaspillage_1775437_3234.html


3 janvier 2013 Serge Latouche Brèves jeudi 07 février à 19 h 30 à Auxerre // L’âge des limites

Jeudi 7 février 2013. 18h30 / 20h30 Salle Anna Maison Paul Bert
En partenariat avec la librairie Obliques
Serge LATOUCHE, penseur et économiste.
Serge Latouche est l’un des principaux artisans du concept de "décroissance". Vous vous demandez pourquoi les appareils qui nous entourent sont de moins en moins fiables ? Avec son dernier livre, "Bon pour la casse", Serge Latouche vous apporte la réponse.


31 décembre 2012 Serge Latouche Brèves jeudi 07 février à 19 h 30 à Auxerre // L’âge des limites

Au début des années 1930, lorsque Paul Valéry écrit l’une de ses plus fameuses phrases, « Le temps du monde fini commence », il constate que le temps de l’aventure, des découvertes des nouveaux continents et de leur conquête est terminé. Aujourd’hui, son expression « monde fini » nous renvoie à l’épuisement du monde : tout d’abord de son sol et de ses richesses minières et pétrolifères, à la pollution des eaux, de l’océan, de l’air... L’exploitation totale de notre biosphère ne peut plus être que l’annonce de la fin du monde. Si nous voulons éviter la catastrophe, il convient de rompre avec le projet de développement illimité que porte l’Occident et d’entrer dans une nouvelle ère : l’Âge des limites.

Serge Latouche montre comment le processus qui conduit à toujours repousser les limites se manifeste dans tous les domaines (non seulement économique et écologique, mais aussi politique et moral).

 Note de l’éditeur -

http://www.franceculture.fr/oeuvre-l-age-des-limites-de-serge-latouche


9 décembre 2012 Serge Latouche Brèves jeudi 07 février à 19 h 30 à Auxerre

Rencontre avec Serge Latouche
Vous vous demandez pourquoi les appareils qui nous entourent sont de moins en moins fiables ? Avec son dernier livre, "Bon pour la casse", Serge Latouche vous apporte la réponse.

Penseur et économiste, Serge Latouche est l’un des principaux artisans du concept de "décroissance" dont vous avez probablement entendu dire tout et n’importe quoi.
Aujourd’hui, pourquoi ne pas vous faire votre propre idée ?

http://www.librairie-obliques.fr/agenda.php?a=2013&m=2


2 mai 2012 Serge Latouche Brèves Notre Dame des Landes participe d’une lutte titanesque

"Dans la plupart de ces investissements d’infrastructures colossales, on trouve des pouvoirs publics instrumentalisés par les lobbies des firmes transnationales et les maffias du béton, selon la logique classique : privatiser les bénéfices et socialiser les pertes. "

Serge Latouche - 1er mai 2012

Lettre de soutien aux grévistes de la faim en lutte contre le projet d’aéroport de Notre Dame des landes.

Cher(e)s Camarades,

En tant que théoricien de la « décroissance », ayant consacré ma vie professionnelle à dénoncer l’imposture de l’idéologie développementiste et les ravages des grand projets de développement, d’abord au Sud, puis maintenant en Europe, (Mégapont sur le détroit de Messine, train à grande vitesse dans le val de Suza, centrale à charbon de Civitàvecchia, projet d’usine de regazification du méthane dans les ports de l’Adriatique, Usines d’incinération de déchet, etc.), je ne peux que me sentir solidaire de votre combat. Dans la plupart de ces investissements d’infrastructures colossales, on trouve des pouvoirs publics instrumentalisés par les lobbies des firmes transnationales et les maffias du béton, selon la logique classique : privatiser les bénéfices et socialiser les pertes.

http://reporterre.net/spip.php?article2896


7 mars 2012 Serge Latouche Brèves La décroissance est une politique de gauche

"La seule possibilité pour échapper à la paupérisation au Nord, comme au Sud, est d’en revenir aux fondamentaux du socialisme sans oublier, cette fois, la nature : partager le gâteau de manière équitable."

Serge Latouche - 7 mars 2012

Que la décroissance soit un projet politique de gauche constitue pour moi à la fois une évidence et un paradoxe.

I. Une évidence

La décroissance constitue un projet politique de gauche parce qu’elle se fonde sur une critique radicale de la société consommation, du libéralisme et renoue avec l’inspiration originelle du socialisme.

http://reporterre.net/spip.php?article2602


2 mars 2012 Serge Latouche Brèves L’addiction à la croissance

Trois ingrédients sont nécessaires pour que la société de consommation puisse poursuivre sa ronde diabolique : la publicité, qui crée le désir de consommer, le crédit, qui en donne les moyens, et l’obsolescence accélérée et programmée des produits, qui en renouvelle la nécessité.

« Toute l’activité des marchands et des publicitaires consiste à créer des besoins dans un monde qui croule sous les productions. Cela exige un taux de rotation et de consommation des produits de plus en plus rapide, donc une fabrication de déchets de plus en plus forte et une activité de traitement des déchets de plus en plus importante. »
Bernard Marise

Notre société a lié son destin à une organisation fondée sur l’accumulation illimitée. Ce système est condamné à la croissance. Dès que la croissance se ralentit ou s’arrête, c’est la crise, voire la panique. On retrouve le « Accumulez ! Accumulez ! C’est la loi et les prophètes ! » du vieux Marx. Cette nécessité fait de la croissance un « corset de fer. L’emploi, le paiement des retraites, le renouvellement des dépenses publiques (éducation, sécurité, justice, culture, transports, santé, etc.) supposent l’augmentation constante du produit intérieur brut (PIB). « Le seul antidote au chômage permanent, c’est la croissance », martèle Nicolas Baverez, « déclinologue » proche de Sarkozy, rejoint en cela par beaucoup d’altermondialistes. A la fin, le cercle vertueux devient un cycle infernal...

http://au-bout-de-la-route.blogspot.com/2011/03/laddiction-la-croissance.html


22 janvier 2011 Serge Latouche Brèves : le réveil des Amérindiens

"Nous ne voulons pas le pouvoir parce que nous ne voulons pas être pris par lui, en revanche bien sûr, nous voulons que le pouvoir en place tienne compte de nos revendications (…) nous voulons faire pression sur le pourvoir, être un contre-pouvoir."

Décroissance et contre-pouvoirs Amérindiens

http://passerellesud.org/Serge-Latouche-le-reveil-des.html


16 février 2022

http://fr.wikipedia.org/wiki/Serge_Latouche
Pour une société de décroissance
En finir, une fois pour toutes, avec le développement

Par Latouche Serge

Le mercredi 16 février 2022

Mis à jour le 4 octobre 2023