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Agir contre les autorisations d’OGM en Europe : En 2019, la Commission européenne a autorisé la commercialisation de 70 OGM !

26 janvier 2017 Vote de la France contre les demandes d’autorisation de trois maïs génétiquement modifiés pour la culture

Le 27 janvier, les États membres seront amenés à se prononcer sur l’autorisation de culture de trois maïs génétiquement modifiés : une première autorisation pour les maïs transgéniques Bt11 et 1507 et un renouvellement d’autorisation pour le maïs MON810.
Nous demandons instamment au gouvernement français de voter contre ces autorisations lors des votes et de manifester clairement son refus lors des discussions prévues.

http://www.fnab.org/images/stories/espace_presse/Courrier_commun_vote_contre_autorisation_3_OGM-MEEM.pdf


3 janvier 2013 Agir contre les autorisations d’OGM en Europe Brèves cyberaction N° 515 : Evaluation des OGM

L’Agence Européenne de Sécurité des Aliments (AESA, ou EFSA en Anglais) évalue les dossiers d’autorisation d’OGM et produit des Lignes Directrices qui indiquent aux industriels qui demandent une autorisation pour un OGM ce qu’ils doivent produire comme étude.

Les anciennes Lignes Directrices ayant été jugées insuffisantes par l’ensemble des Etats-Membres européens, l’AESA a produit un projet de nouvelles Lignes Directrices qui devraient, en plus, devenir un règlement (qui s’imposerait donc aux pétitionnaires).

Ces nouvelles Lignes Directrices apportent des améliorations, certes encore insuffisantes, mais néanmoins significatives. Malheureusement, comme Inf’OGM l’a publié ( http://www.infogm.org/spip.php?article5292 ), le texte actuel propose que s’il y a « équivalence en substance », alors, il n’est pas nécessaire de procéder à d’autres études, notamment toxicologiques et environnementales. Autant dire qu’en fait d’amélioration, on supprime de facto toute évaluation des OGM en dehors de rares cas où la production d’une substance toxique par l’OGM serait d’emblée identifiée !

L’ action demande donc qu’il soit clairement obligatoire, pour toute demande d’autorisation d’OGM, de fournir au moins une étude de comparaison substancielle, une étude toxicologie sub-chronique et une étude d’alimentarité, le tout avec des protocoles valides, notamment statistiquement. Ceci est un MINIMUM. Ne laissons pas la Commission Européenne publier des Lignes Directrice, ou encore pire, un règlement, qui situerait les exigences en dessous !

En résumé soit nous perdons et 50 OGM pourraient être autorisées automatiquement en France soit nous gagnons et les OGM déjà autorisées devraient repasser par la case Evaluation.

Autant dire qu’il y a URGENCE à mobiliser activement.

http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/evaluation-ogm-557.html


3 janvier 2013 La Pologne interdit deux cultures transgéniques

Le gouvernement polonais a interdit, mercredi, des cultures de maïs et de pomme de terre transgéniques, selon un communiqué officiel publié à l’issue du conseil des ministres.

Le cabinet du Premier ministre, Donald Tusk, a adopté deux arrêtés interdisant la culture de la pomme de terre Amflora du groupe BASF et du maïs Mon 810 du groupe Monsanto, deux organismes génétiquement modifiés (OGM) autorisés dans l’Union européenne. Les deux arrêtés entreront en vigueur le 28 janvier 2013.

http://www.lafranceagricole.fr/actualite-agricole/ogm-la-pologne-interdit-deux-cultures-transgeniques-66504.html


29 octobre 2012 Agir contre les autorisations d’OGM en Europe Brèves Quand la jurisprudence de l’Aquila s’appliquera aux OGM

L’apparente polémique autour des OGM cache un sujet éminemment trivial : l’organisation de l’irresponsabilité pénale et même civile de tous les acteurs.

Ces acteurs savent que le NK603 n’aurait jamais du être autorisé compte tenu des irrégularités de procédure et surtout des anomalies déjà apparentes dans l’étude sur les rats à 90 jours. Comment donc couvrir la responsabilité de ceux qui l’ont autorisé ? En conspuant l’étude de Gilles Eric Séralini et en oubliant que la faiblesse statistique de cette étude est moindre que celle qui a servi de base à l’autorisation... ce qu’un juge ne manquerait pas de relever. Ce sont donc les mêmes ou leurs soutiens qui se chargent de critiquer l’étude de Séralini, leurs intérêts étant conjoints. Si en effet, Gilles Eric Séralini a raison, ils ont tort et les conditions plus que suspectes dans lesquelles les anomalies statistiques ont été traitées deviennent un risque personnel pour eux.

http://www.huffingtonpost.fr/corinne-lepage/ogm-alimentation-nk603_b_2022094.html?utm_hp_ref=france


27 décembre 2019

Par Rédaction Yonne Lautre

Le vendredi 27 décembre 2019

Mis à jour le 27 décembre 2019