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Agir pour les droit des salariés à l’assurance chômage en France : Manifestation Samedi 7 décembre, 14h à Paris
Yonne Lautre
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Agir pour les droit des salariés à l’assurance chômage en France : Manifestation Samedi 7 décembre, 14h à Paris30 octobre 2019, par Yonne Lautre
L’Unédic revisitée
Extension du domaine de la misèreLe document de travail de l’Unédic (septembre 2019) est trop peu connu. Il ne sied guère à Madame Pénicaud . Pour cause : c’est « une tuerie ! » selon la CFDT qui, pourtant, c’est fait une réputation de syndicat plutôt réaliste et modéré.
Allons-y-voir. C’est du lourd, le caractère répressif et disciplinaire est fort visible, douloureusement sensible pour des centaines de milliers de demandeurs d’emploi qui, paupérisés stratégiquement seront réduits à se convertir par force en quémandeurs d’emploi. C’est étudié pour.Sur la première année (nov. 19/ oct. 20) ce sont environ 710 000 demandeurs d’emploi qui seront impactés par la réforme de l’Unédic. Ce qui représentent 27 % des ouvertures de droits sur cette période.
Le changement radical et vachard consiste à allonger la durée du boulot pour avoir droit à de maigres allocations pour recherche. C’est étudié pour.
Il faudra, dès novembre, avoir, travaillé 6 mois sur 24 mois, auparavant c’était plus large, bien que modérément généreux : il suffisait de 4 mois sur 28.
Les travailleurs précaires, intérimaires contraints, saisonniers d’ été et d’hiver,… devront attendre longtemps avant de toucher le p’tit pécule de l’Unédic.
C’est étudié pour. Il s’agit d’alléger le chômeur pour le contraindre à traverser la rue pour faire le trottoir… Extension du domaine de la misère. Les actionnaires hilares de se rouler par terre !Disséquons un peu la vacherie répressive. Détails et démembrement.
Environ 200 000 demandeurs verront l’ouverture de leur droit retardé d’un an ou plus, ou n’auraient plus aucun droit. Ajoutons grosso-modo, 210 000 « chanceux » qui seraient gratifiés d’un virement avant un an, tardif, mais à saisir – vite.
Pour 300 000 verront la durée de leur droit baisser de 50 %, ce à partir d’avril 2020.
Quelques reliquats : 9 à 10 % n’auront tout simplement plus de droit dans l’année qui suit, parce qu’ils n’auront pas réussi à travailler 6 mois sur les 24 derniers mois (cf. plus haut) . C’est étudié pour.
Ceux qui toucheront encore, les veinards, toucheront moins donc peu.
Car, sachant qu’on sait compter chez les « tachéro-macronistes », le salaire de référence est vicieusement modifié, c’est sur le salaire mensuel moyen que seront calculées les allocs. Environ 16 % des demandeurs devront accepter des allocs diminuées jusqu’à 50 %.
C’est étudié pour.Sont exigées de drastiques économies : 3,4 milliards sur 2019/2020.
Il y a un déficit à l’Unédic, le saviez-vous ?
Mouais… Un excellent ouvrage, fort bien documenté fait le point sur la question.
Publié par AC !, c’est dire si c’est sérieux ! « Pour une sécurité sociale chômage », éd. Syllepse, 2019. *
En refaisant les comptes nous nous sommes rendus compte : le déficit, c’est étudié pour.Secrétariat AC !
* Vous pouvez acquérir ce décisif bouquin pour 8 euros, franco de port. C’est donné !
AC ! Agir ensemble contre le chômage !Qui sème la misère récolte la colère !
Manifestation appelée par la Cgt, AC ! ,...Samedi 7 décembre, 14 h République
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Agir pour les droit des salariés à l’assurance chômage en France : Comment Macron a menti sur l’une de ses promesses phare9 mars 2018, par Yonne Lautre
Au printemps 2017, Emmanuel Macron promettait une ouverture du droit au chômage aux salariés démissionnaires s’il était élu président. Une promesse marquante, dans une époque de burn-outs et de stress au travail. Mais les vieilles pratiques politiciennes ont la vie dure, et entre les promesses et la réalité, il y a parfois un gouffre... Découvrez comment Emmanuel Macron a menti à ses électeurs, et informez-en vos proches en partageant cette vidéo et en les taguant dans les commentaires.
https://www.youtube.com/watch?v=rWJCbSFJ49E -
Agir pour les droit des salariés à l’assurance chômage en France : Collectif Unedic - Appel unitaire pour le mercredi 14 février8 février 2018, par Yonne Lautre
NON À LA DESTRUCTION DE L’ASSURANCE CHÔMAGE
Depuis le 11 janvier ont commencé les concertations concernant la réforme de
l’assurance chômage. Cette réforme est la nouvelle étape du gouvernement pour
détruire les droits des salarié‐es et les conquêtes sociales du mouvement ouvrier.
La politique d’Emmanuel Macron part du principe que pour relancer l’économie française, la solution privilégiée doit
être de précariser le travail et de sanctionner les salarié‐es privés d’emploi. Selon le gouvernement, la solution à la
crise économique passe par une dégradation des conditions de vie des chômeuses et chômeurs alors même qu’ils
et elles sont déjà les premières victimes du système économique.
On voudrait nous faire croire que les chômeuses et chômeurs sont responsables de leur situation
et que le système d’assurance chômage est une des causes de la récession économique.
Alors même que des solutions alternatives, comme la réduction du temps de travail et la transition écologique,
seraient des moyens efficaces pour lutter contre le chômage, nous devons par tous les moyens nous opposer à la
violence des réformes en cours qui n’auront d’autres conséquences que d’appauvrir et précariser, encore et
toujours, les millions de chômeuses et chômeurs, ainsi que l’ensemble des salarié‐es de ce pays.PLUS DE LA MOITIÉ DES CHOMEUSES ET CHOMEURS
NE TOUCHENT DÉJÀ AUCUNE ALLOCATION CHÔMAGE !
Les concertations avec certaines organisations syndicales ne visent qu’à donner un semblant de légitimité à ce qui va
sans aucun doute être une nouvelle et sans précédente régression du système social français. Un des éléments
caractéristiques de ces concertations est de ne jamais donner la parole aux premiers concernés de ces réformes : les
chômeuses et chômeurs.
Contre cette politique violemment antisociale, nous exigeons :- l’élargissement de l’accès à l’indemnisation, avec comme référence le Smic, à tous les chômeurs et chômeuses,
- le maintien du système actuel de l’assurance chômage, avec des cotisations reposant sur la valeur ajoutée totale de l’entreprise,
- la gestion démocratique de l’assurance chômage,
- l’arrêt des contrôles et sanctions à l’encontre des chômeurs, chômeuses et précaires.
SOYONS EN MESURE DE NOUS FAIRE ENTENDRE, TOUTES ET TOUS ENSEMBLE, CHÔMEUSES, CHÔMEURS, SALARIÉ-ES, PRÉCAIRES, AVEC OU SANS PAPIERS
LE 14 FÉVRIER 2018 à 11H30, LOCAL DE L’APEIS, BOURSE DU TRAVAIL DE SAINT‐DENIS au 9 / 11 RUE GENIN, LIGNE 13, ARRÊTS ST DENIS / PORTE DE PARIS
SOUTIENS : SNU POLE EMPLOI FSU, SUD EMPLOI, FSU IDF, ECONOMISTES ATTERRES, SOLIDAIRES, CNT, JOC, REPUBLIQUE ET SOCIALISME, GDS, FEMMES EGALITES, CGT, CGT POLE EMPLOI, CGT CHOMEURS, SYNDICAT ASSO, ATTAC, DAL, FEMMES CONTRE LES PRECARITES, ALTERNATIVE LIBERTAIRE, PCOF, PG, FI, PCF, ENSEMBLE.
Paris, le 6 février 2018 -
Pétition à Madame la ministre du Travail : La convention assurance chômage du 14 avril ne doit pas être agréée !!21 avril 2017, par Yonne Lautre
Des organisations de chômeurs (AC ! ; APEIS CGT‐Chômeurs...) ont lancé une pétition adressée à la Ministre du travail pour lui demander de ne pas agréer la convention assurance chômage du 14 avril signée par le MEDEF la CFDT et FO.
La CGT a refusé de la signer parce que le milliard d’économies est supporté entièrement par les chômeurs séniors ou précaires en CDD alors que le patronat ne participe pas à l’effort financier.
En effet, cette convention reprend la plupart des demandes du MEDEF, à savoir
- elle réduit de 3 à 2 ans la durée d’indemnisation chômage des séniors de 50-55 ans
- elle réduit les indemnités chômage de tous les autres salariés précaires
* qui ont travaillé moins de 12 mois
* divise par deux les indemnités de ceux qui ont travaillé moins de 6 mois.
* ne prend en compte pour la durée travaillé que les jours effectivement travaillés (exclut les journées en arrêt maladie)
* supprime le régime intérimaire (plus favorable au salarié que les CDD)
Le MEDEF a rejeté la demande de tous les syndicats de taxer les CDD courts, pour inciter les entreprises à embaucher en CDI ou en CDD long.
Légalement, cette convention peut ne pas être agrée par le gouvernement.
Signez et faites signer cette pétition qui sera portée à la ministre le 3 mai !
Quelque soit le choix du gouvernement et le résultat des élections, il faut envoyer un signal fort au prochain président : les travailleurs n’acceptent pas que leurs droits aux indemnités chômage soient réduits !
C’est au patronat de payer sa part : réduction du temps de travail et embauches correspondantes, suppression des exonérations de charges et taxation plus forte des CDD courts !
Attention NDLR : Si nous soutenons cette pétition, nous attirons votre attention sur la question du site qui en est le support. Voir nos articles Pétitions citoyennes sur internet : questions entre sites marchands et sites citoyens et Quelles pétitions signer sur internet ?. Lire aussi : Pétitions par mail : signer ou ne pas signer ? et Pétitions citoyennes sur internet : et si on relocalisait ?
(Note de la Rédaction de Yonne Lautre) -
ZERO EURO d’économie sur les droits des chômeurs et précaires !28 mars 2017, par Yonne Lautre
Alors que la séance de négociation du jeudi 23 mars dernier laisse encore les chômeurs et précaires sans réponse, il nous semble utile de redire que la proposition patronale/du Medef pour l’assurance chômage est une menace pour les droits des salarié-es au chômage ou en emploi précaire et un refus de répondre au déficit social de l’Unedic.
Alors que moins de 50% des chômeurs officiels sont indemnisés par l’assurance chômage, percevant pour la plupart des allocations inférieures au seuil de pauvreté, le patronat attaque les droits, c’est-à-dire la capacité de résistance à la précarité de l’emploi, pour tenter d’échapper à ses obligations, en l’occurrence payer le coût de cette précarité qu’il exige, et ainsi prétendre réduire le déficit de l’assurance chômage de 1,2 milliard d’€uros.
Cette proposition est aussi une attaque majeure contre l’ensemble des droits sociaux des salarié-es. Le MEDEF et ses alliés voudront demain appliquer la conversion des durées d’emplois au calcul des retraites pour faire des économies.
AC !, APEIS, CGT Chômeurs et le MNCP rappellent qu’il n’y aurait pas de déficit de l’UNEDIC sans les 10% reversés chaque année directement à Pôle Emploi. C’est pourquoi nos organisations exigent :
une indemnisation pour toutes les formes de chômage et de précarité sur la base du SMIC,
un financement qui prendrait en compte les bénéfices, les dividendes et les produits financiers et pas seulement la masse salariale,
des cotisations patronales dégressives et dissuasives qui intégreraient le recours ou non aux licenciements et à la précarité comme variable d’ajustement de leurs profits
pas de recul des droits pour les plus de 50 ans (maintien des 36 mois)
un système de concertation des organisations de chômeurs dans les négociations qui les concernent.
La représentation des chômeurs dans les instances qui les concernent.Dans le cas où un accord avec recul des droits pour les chômeurs et précaires serait signé, les organisations AC !, APEIS, CGT Chômeurs et MNCP considèrent que le gouvernement devra faire face à ses responsabilités et refuser l’agrément de cet accord.
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Les chômeurs ne comptent pas pour du beurre19 octobre 2016, par Yonne Lautre
Lettre ouverte à la ministre du Travail Myriam El-Khomri et au Premier ministre Manuel Valls concernant la reprise des négociations de la convention assurance chômage
Madame la ministre du Travail, Monsieur le Premier ministre,
Depuis septembre 2016, vous réunissez les organisations patronales et syndicales dans les locaux de votre ministère pour relancer les négociations sur l’assurance chômage. Pendant ce temps, le Medef et votre gouvernement continuent leur campagne de désinformation en pointant le déficit de l’Unedic. C’est pourquoi nous souhaitons vous rappeler plusieurs éléments, indispensables à la reprise des négociations :
1/ Le nombre des chômeurs et précaires ne cesse d’augmenter. Selon les derniers chiffres publiés, le nombre d’inscrits à Pôle emploi (France entière) est de 3,8 millions en catégorie A, 5,8 millions pour les catégories A, B et C, et 6,6 millions toutes catégories confondues, sur une population active évaluée à 29,5 millions d’individus. Soit un chômage de plus de 12 % en catégorie A, de 19 % en catégorie A, B et C, de 22 % toutes catégories confondues ! Actuellement, moins d’un chômeur sur deux est indemnisé, 30 % des chômeurs n’ont pas de revenus personnels, 80 % perçoivent moins que le Smic.
2/C’est le détournement d’une partie des ressources de l’Unedic pour financer Pôle emploi - suite au désengagement de l’Etat - qui crée le déficit.
3/ Le déficit cumulé de l’Unedic serait de 33 milliards d’euros ? Mais chaque année, plus de 50 milliards de cadeaux sociaux et fiscaux sont transférés aux entreprises via le CICE et le pacte de responsabilité mis en place par votre gouvernement.
4/ Manuel Valls déclare vouloir faire en 2017, 1,7 milliards d’économies sur le dos des chômeurs ! Est-ce donc la seule réponse du gouvernement socialiste à la précarité : fragiliser les plus précaires, faire payer les chômeurs ? Pour nous, il s’agit clairement de mesures antisociales, et il n’en est pas question !
5/ Depuis l’ouverture des négociations, certaines solutions sont rappelées par les associations de chômeurs et certaines organisations syndicales (CGT, FSU, Solidaires) qui permettraient d’augmenter les ressources de l’Unedic : augmentation des cotisations patronales, taxation supplémentaire des contrats courts, déplafonnement des cotisations pour les hauts salaires !
6/ Ces propositions sont systématiquement écartées par le patronat qui cherche à faire peser les conséquences du système économique sur le coût du travail et les droits des chômeurs. Mais les vrais responsables du chômage, ce sont les grandes entreprises qui sont aux manettes de l’économie. Alors que la part des dividendes ne cesse de croître, le nombre des chômeurs et précaires explose.
Enfin, Madame la ministre, Monsieur le Premier ministre, puisque le gouvernement souhaite la reprise des négociations, nous souhaitons lui rappeler qu’il ne peut y avoir de négociations légitimes sans la présence de toutes les parties, y compris les premiers concernés : les chômeurs et les précaires.
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Agir pour les droit des salariés à l’assurance chômage en France : jeudi 16 juin à 14h face au MEDEF à Paris10 juin 2016, par Yonne Lautre
Communiqué de Presse – :
AC ! - APEIS - MNCP - CGT-Chômeurs - RECOURS RADIATION –- US Interim CGT - US-SOLIDAIRES -– SNU TEFI POLE EMPLOI - FSU -– SUD-EMPLOIParis, le vendredi 10 juin 2016
Le droit des salariés
à l’assurance chômage
attaqué par le patronatRéduire le montant des allocations, les durées garanties d’indemnisation, la durée maximale d’indemnisation de 2 ans à 17 mois, passer de quatre à six mois la durée minimum d’emploi pour ouvrir des droits,, restructurer le statut senior, rendre dégressive les allocations des chômeurs-euses soi-disant démotivé-es dans leur recherche d’emploi, limiter l’accès des chômeurs à la formation,... voilà ce que propose le patronat. Ces amputations de droits seraient encore plus sévères pour les salariés les plus précaires, des secteurs publics ou privés. Ils veulent ainsi faire porter sur les salariés 800 millions d’’euros d’’économies de l’’assurance chômage, annoncées par le gouvernement à la commission européenne.
Ce jour, nous ignorons la stratégie des employeurs : proroger d’un an la convention en cours, refiler le sale boulot au gouvernement ou une fois de plus remettre en cause les droits des salarié-es.
Les propositions du patronat du privé doivent être rejetées en bloc. La priorité doit être l’indemnisation de toutes les formes de chômage et de précarité par la garantie d’un revenu individuel ayant pour référence au minimum le SMIC mensuel et la continuité des droits sociaux, à une juste répartition des richesses.
Nous appelons les chômeurs et précaires intermittents, intérimaires, vacataires... à renforcer les mobilisations contre la loi travail, particulièrement le mardi 14 juin, et tous les salarié-es à rejoindre jeudi 16 juin les initiatives pour l’indemnisation juste de toutes les formes de chômage et la précarité et la continuité des droits sociaux.
Un emploi, c’’est un droit ! un revenu, c’’est un dû !
Revalorisation immédiate des revenus de tous les précaires !
Garantie d’un revenu décent pour tous !
Libre choix de son emploi et de sa formation !
Paris, le vendredi 10 juin 2016
Paris Ile de France :
rendez-vous jeudi 16 juin à 14h face au MEDEF
55, avenue Bosquet M° Ecole militaireLogo Collectif UNEDIC
AC ! Agir ensemble contre la Chômage ! - APEIS Association Pour l’Emploi, l’Information et la Solidarité – MNCP Mouvement National des Chômeurs et des Précaires – CGT-Chômeurs - RECOURS RADIATION –- Union syndicale de l’Interim CGT - US-SOLIDAIRES -– SNU TEFI POLE EMPLOI - FSU - – SUD-EMPLOI
En ligne sur http://www.ac-chomage.org/spip.php?article2295
fr
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