« Choisis ta banque ! » Le guide éco-citoyen des Amis de la Terre
En octobre, j’agis pour le climat avec mon argent.
« Choisis ta banque ! » Le guide éco-citoyen des Amis de la Terre
En octobre, j’agis pour le climat avec mon argent.
Selon un rapport d’une coalition d’ONG, les soixante plus grandes banques du monde ont apporté 3 800 milliards de dollars de financement aux entreprises du secteur du charbon, du pétrole et du gaz depuis l’Accord de Paris sur le climat en 2015. Malgré la pandémie de Covid-19 qui réduit la consommation d’énergie, le financement global reste sur une tendance à la hausse. En 2020, les financements étaient plus élevés qu’en 2016 ou 2017, un fait que les auteurs du rapport qualifient de « choquant ».
https://up-magazine.info/planete/transition-energetique/85647-choquant-les-grandes-banques-ont-apporte-3-800-milliards-de-dollars-aux-combustibles-fossiles/
Les banques ont continué de largement financer les entreprises des énergies fossiles en 2020, même si la pandémie de Covid a entraîné une petite baisse du volume de crédit sur la deuxième partie de l’année. Sauf pour trois banques françaises qui, selon le rapport « Banking on climate chaos », ont fait progresser leurs octrois de crédit. Mais BNP Paribas explique qu’elle veut soutenir les majors pétrolières engagées vers la réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre.
https://www.novethic.fr/actualite/finance-durable/isr-rse/financement-des-energies-fossiles-les-ong-epinglent-le-manque-d-ambition-des-banques-149661.html
Les banques françaises financent plusieurs projets, industries et entreprises exploitant massivement les énergies fossiles comme le charbon, le pétrole et le gaz de schiste. Aujourd’hui, l’empreinte carbone des banques est colossale et face à l’urgence climatique, la plupart des banques françaises annoncent des projets et des chartes de principes pour réduire leur empreinte carbone et devenir des banques plus éco-responsables.
Oxfam International et Les Amis de la Terre dressent un constat alarmant concernant l’empreinte carbone des banques
https://www.lemondedelenergie.com/banques-eco-responsables/2019/12/24/
Un rapport d’Oxfam et des Amis de la Terre souligne que les quatre principaux établissements français continuent de soutenir activement les investissements dans les énergies fossiles.
https://www.lemonde.fr/economie/article/2019/11/28/les-banques-francaises-accusees-de-participer-activement-au-rechauffement-climatique_6020800_3234.html
Dans le contexte actuel, les banques irresponsables d’un point de vue climatique et social devraient se voir réprimées sévèrement par nos dirigeants. En l’absence d’action de leur part, nous avons le pouvoir, en tant que citoyens consomm’acteurs, de signifier notre désaccord : ensemble, changeons massivement de banque !
https://resistanceinventerre.wordpress.com/2019/10/24/rebellion-des-consommateurs-quittons-massivement-les-banques-irresponsables/
L’entreprise allemande RWE est le premier pollueur en Europe. Ses centrales à charbon émettent plus de 100 millions de tonnes de CO2 par an, soit l’équivalent des émissions cumulées de la Suède, de la Suisse et du Portugal [1]. On évalue que la pollution de l’air qu’elles génèrent sont déjà responsables de 1 880 morts prématurées et 1 320 hospitalisations chaque année [2].
À 400 km de Paris, en Rhénanie, le géant du charbon exploite le plus grand gisement de lignite – la forme la plus sale de charbon – du monde. Ces mines à ciel ouvert de Hambach et Garzweiler y couvrent une surface de 75 km2, soit plus que la taille de la ville de Lyon, et alimentent deux des cinq centrales les plus polluantes du continent, Neurath et Niederaussem [3].
Selon un rapport publié par des ONG de lutte pour le climat, 33 grandes banques internationales, dont des françaises, continuent de financer massivement les énergies fossiles. Une tendance « alarmante », en complète contradiction avec les engagements internationaux visant à contenir le changement climatique.
https://reporterre.net/Climat-les-banques-investissent-toujours-plus-dans-les-energies-fossiles
Pour espérer rester sous la barre fatidique des 2°C de réchauffement, il va falloir laisser dans le sol un tiers de nos réserves de pétrole, la moitié de nos réserves de gaz et plus de 80 % de nos réserves de charbon. Les banques ont un rôle central dans l’atteinte de ses objectifs en orientant leurs financements vers des énergies propres. Or, depuis la COP21 et la signature de l’Accord de Paris, celles-ci ont augmenté leurs soutiens aux projets d’énergies fossiles.
https://www.novethic.fr/actualite/environnement/climat/isr-rse/infographie-depuis-la-cop21-les-grandes-banques-francaises-ont-encore-investi-124-milliards-d-euros-dans-les-energies-fossiles-147095.html
Une nouvelle conférence internationale sur le climat s’ouvre le 3 décembre en Pologne, à Katowice. A cette occasion, deux rapports des Amis de la Terre et d’Oxfam France font le point sur les investissements des grandes banques françaises dans le secteur énergétique [1]. Leur conclusion est sans appel : BNP Paribas, la Société générale, le Crédit agricole et les autres continuent, trois ans après l’Accord de Paris, à financer massivement les énergies sales fortement émettrices de gaz à effet de serre, tandis que leur soutien aux énergies renouvelables patine. Et ce, alors même qu’il ne se passe pas un mois sans que ces mêmes grandes banques annoncent un nouvel engagement « vert » ou lancent un nouveau produit financier « décarboné ».
Charbon, pétrole et gaz bien plus financés que les énergies renouvelables
Dans une note publiée ce matin, Les Amis de la Terre appellent les banques françaises à revoir immédiatement leurs politiques charbon, pour une exclusion ferme des entreprises qui développent de nouveaux projets dans ce secteur. L’ONG dénonce la faiblesse des engagements actuels de BNP Paribas, Société Générale, Crédit Agricole et Natixis, qui depuis 2016 ont accordés plus de 10 milliards d’euros de financements à ces entreprises qui parient ouvertement contre le respect de l’Accord de Paris sur le climat, soit une augmentation de 52% par rapport aux trois années qui ont précédé la COP21.
http://www.amisdelaterre.org/Rapport-trois-ans-apres-la-COP21-les-banques-francaises-financent-toujours-plus.html
Selon les rapports d’Oxfam et des Amis de la Terre, les grands établissements de l’Hexagone ont réduit leurs financements dans l’éolien et le solaire.
Trois ans après l’Accord de Paris pris lors de la COP21, les banques françaises continuent de financer massivement les énergies fossiles : sur 10 euros, 7 euros vont à ces énergies climaticides, et seulement 2 euros aux énergies renouvelables[1].
« Banques et changement climatique » : découvrez la responsabilité des banques au travers d’un rapport de la Clinique juridique de l’environnement
Au profit de Greenpeace France, 26 étudiants en Master 2 de droit international et européen de l’environnement, sous la responsabilité de doctorantes et de chargée de recherches au CNRS, de l’Université d’Aix-en-Provence, ont travaillé durant l’année 2017-2018 sur une analyse juridique de la responsabilité des banques finançant des activités impactant le changement climatique.
En prévision du One Climate Finance Day qui se tiendra mardi 12 décembre, une dizaine d’ONG ont organisé à Montreuil le procès de ces acteurs économiques pour dévoiler leur double discours.
https://reporterre.net/Le-monde-de-la-finance-est-accusee-d-aggraver-le-changement-climatique
Alors que la Semaine du climat s’ouvre aujourd’hui à New York, les Amis de la Terre rappellent aux banques françaises qu’il ne leur reste plus qu’un peu plus de deux mois d’ici le Climate Finance Day du 11 décembre pour avancer sur des politiques climatiques ambitieuses. Deux ans après la COP21 et l’adoption de premières mesures de réduction de leurs soutiens au charbon, les banques doivent urgemment étendre les mesures d’exclusion aux autres énergies fossiles extrêmes. Afin d’éviter un nouveau scandale tel que celui autour du Dakota Access Pipeline, la priorité doit aller aux projets de pipelines de sables bitumineux et de terminaux d’exportation de gaz de schiste prévus outre-Atlantique et notamment au Texas, dernièrement ravagé par l’ouragan Harvey.
Les Amis de la Terre France relaient le rapport “Miser sur le changement climatique” que viennent de publier BankTrack, Rainforest Action Network, Sierra Club et Oil Change International, et qui fait état des financements des grandes banques internationales aux énergies fossiles extrêmes depuis 2014. La conclusion principale est que si les montants globaux diminuent en 2016, les banques continuent de soutenir le développement de ces énergies les plus risquées pour le climat et les droits des populations. Les banques françaises ne font exception ni pour les sables bitumineux et gaz de schiste, comme le démontre leur implication dans de nombreux projets soutenus outre-Atlantique par l’administration Trump, ni pour le charbon dont elles continuent de soutenir la croissance via des financements aux entreprises.
Une délégation d’Amérindiens a fait le déplacement pour assister aux assemblées générales des banques françaises cette semaine. Ils dénoncent les projets de gaz de schiste qu’elles financent et qui détruisent leur environnement.
http://www.francetvinfo.fr/meteo/climat/cop21/des-amerindiens-s-invitent-aux-assemblees-generales-des-banques-francaises_2205588.html
Accompagnés de Juan Mancias, le chef de la tribu Esto’k Gna du Sud Texas, de Rebekah Hinojosa de l’organisation locale Save RGV from LNG, et des deux défenseurs de l’eau Rachel Heaton et Nataanii Means, tous mobilisés contre la construction de projets d’énergies fossiles aux Etats-Unis, les Amis de la Terre France et BankTrack se sont rendus aux Assemblées générales des banques françaises.
Nous avons appelé les banques françaises à s’engager pour le climat et les droits des populations autochtones et à ne pas être complices de la politique anti-climat de Trump, dans un contexte international où l’administration américaine pourrait annoncer le retrait des Etats-Unis de l’Accord de Paris et démantèle de manière systématique les réglementations environnementales et climatiques.
http://www.amisdelaterre.org/Reactions-aux-AG-des-banques-francaises.html
Après le Dakota Access Pipeline et le Keystone XL, les peuples autochtones luttent aussi contre la construction de trois terminaux de gaz de schiste dans le sud du Texas, et appellent, entre autres, BNP Paribas et la Société générale à se retirer de ces projets.
http://www.liberation.fr/planete/2017/05/25/gazoducs-les-amerindiens-portent-la-resistance-dans-les-banques-francaises_1571303
Forts de mois de résistance sur leurs terres menacées par les grandes infrastructures d’énergies fossiles, Juan et les Défenseurs Amérindiens sont venus en France interpeller celles qui se positionnent pour financer ces projets : BNP Paribas et Société Générale.
Cette cyberaction va envoyer un courrier électronique à arnaud.fraboul bnpparibas.com | frederic.oudea socgen.com
Avec les éléments suivants :
Sujet : Pas d’argent pou les fossiles
Message : Madame, Monsieur
En solidarité avec les populations amérindiennes, je vous demande de ne pas cautionner la politique anti-climat de Donald Trump et de vous engager, lors de vos AG à ne pas financer les projets de transport d’énergies fossiles prévus outre-Atlantique
Attentif à vos décisions, recevez l’expression de ma vigilance citoyenne.
https://www.cyberacteurs.org/cyberactions/pasdargentfacilepourlesfossiles-1467.html
Lundi 22 mai 2017 - Ce matin, 6 défenseurs amérindiens et 35 militant-e-s des Amis de la Terre et d’ANV-COP21 ont construit un pipeline à l’intérieur de l’agence Société Générale 11 boulevard Malesherbes à Paris. Une action visant à dénoncer le soutien des banques françaises dans la construction de nouvelles infrastructures de transport d’énergies fossiles non conventionnelles aux États-Unis. Ils assisteront demain à leurs Assemblées générales afin d’appeler les banques à ne pas être complices de la politique anti-climat de l’administration Trump et à renoncer à ces projets dans le respect des droits des peuples autochtones.
Dans l’époque mondialisée qui est la nôtre, même à des milliers de kilomètres de distance, l’enrichissement des uns peut causer la perte des autres. La future construction de nouveaux pipelines en Amérique du nord en est la plus parfaite et la plus terrible démonstration : investies dans le projet, deux banques françaises sont désormais dans la ligne de mire des Indiens concernés. Du coup, un chef local a décidé de nous adresser ce message à nous, les Français…
http://positivr.fr/chef-indien-gaz-schiste-message-banques-francaises/
fr
Climat
Climat, Réchauffement & Catastrophes « naturelles (...)
Banques climaticides
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