En ces temps d’Etats généraux de l’alimentation (EGA), quels sont les leviers à disposition des collectivités pour initier un changement d’alimentation dans les assiettes et les champs ? Une publication détaille un certain nombre de pistes.
C’est parce qu’ils veulent manger des produits de qualité, protéger des activités non délocalisables, préserver les ressources naturelles, agir à leur échelle face au changement climatique et mettre leur grain de sel dans les pratiques agricoles que les citoyens sont de plus en plus nombreux à solliciter leurs élus sur la question alimentaire. Depuis une décennie, la demande ne fait que croître en ordre dispersé, et « chaque territoire construit sa voie, sa propre gouvernance, à son rythme », constate le Cerema[1] dans une publication, qui s’appuie sur une enquête nationale auprès de 38 collectivités sur les systèmes alimentaires durables territorialisés (SADT). Un chemin mal balisé, semé d’embûches et avec de fortes implications idéologiques.
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http://www.journaldelenvironnement.net/article/la-fourche-et-la-fourchette-outils-de-transition-ecologique,85828