– La désorientation de l’orientation scolaire 21.05.24
Par Alexie Geers, Florence Legendre et Samuel Pinto, Sociologues
L’orientation scolaire post-bac a toujours suscité de l’appréhension pour les élèves et leurs familles. Il faut faire des choix importants dans un éventail de possibilités toujours plus large, parmi des filières de plus en sélectives, avec des outils de plus en plus opaques. Idem pour les professionnel.le.s chargé.e.s de les accompagner. De quelles manières le travail au quotidien de ces professionnel.le.s est-il bousculé par les dernières réformes et l’instauration d’outils tels que ParcourSup ?
https://aoc.media/analyse/2024/05/21/la-desorientation-de-lorientation-scolaire/
– Orientation post-bac : pourquoi les lycéens ruraux s’autocensurent 10.01.24
Alors que se profile une nouvelle saison d’inscriptions sur Parcoursup, la plate-forme de candidature dans l’enseignement supérieur, les critiques sur la sélection à l’université et la place des algorithmes dans l’orientation des lycéens ne faiblissent pas.
Si le poids de l’origine sociale sur les processus d’orientation et la reproduction des inégalités qu’il implique concentre l’attention, il faut souligner aussi l’influence des ancrages territoriaux sur les choix des adolescents.
https://theconversation.com/orientation-post-bac-pourquoi-les-lyceens-ruraux-sautocensurent-220231
– Parcoursup : les adolescents face au stress des choix d’orientation
Le choix d’orientation post-bac touche à des enjeux d’identité et il importe de ne pas éviter ce questionnement intime pour aider les adolescents à affronter l’inquiétude de l’avenir.
https://theconversation.com/parcoursup-les-adolescents-face-au-stress-des-choix-dorientation-203018
– Parcoursup détruit-il l’université publique ?
Pour Johan Faerber, auteur de Parlez-vous le Parcoursup ?, l’algorithme d’affectation et de sélection des jeunes aspirant à aller à l’université est avant tout un outil de gestion du manque d’investissement dans l’enseignement supérieur.
https://basta.media/vendredi-debat-parcoursup-detruit-il-l-universite-publique