Rubriques > Pour la démocratie, les droits, la justice sociale, la solidarité > Économie > Transnationales, Multinationales >

Multinationales & Transnationales en Europe : elles profitent aussi du travail forcé des Ouïghours

10 mars 2019 Oui, des multinationales privées financent bien des partis politiques européens

Uber, Bayer ou encore Disney financent les grands partis politiques européens par de généreuses contributions. Une pratique légale, mais qui pose question.
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/03/10/oui-des-multinationales-privees-financent-bien-des-partis-politiques-europeens_5434014_4355770.html


15 février 2019 Multinationales & Transnationales en Europe : Comment les États membres s’offrent à leurs multinationales

Dans un rapport souvent implacable, un groupe de chercheurs altermondialistes, le Corporate Europe Observatory, inventorie, au-delà du pantouflage et du lobbying plus classique, les interventions discrètes des gouvernements au détriment de l’intérêt général.
https://www.humanite.fr/union-europeenne-comment-les-etats-membres-soffrent-leurs-multinationales-667949


17 février 2018 Multinationales & Transnationales : « procédures bâillons » contre les ONG et les altermondialistes

Pour faire plier les organisations militantes, les grandes entreprises multiplient les « procédures bâillons », ces plaintes qui visent leurs portefeuilles.

C’est dans l’air du temps. Les ONG s’en prennent aux multinationales, les cadors du CAC 40 s’en prennent aux militants altermondialistes. Plaintes, contre-plaintes, chacun est dans son rôle. Nonobstant cette règle du jeu, émerge le concept de « procédure bâillon », en vue de faire taire l’adversaire sous les dommages et intérêts, les uns ayant sur ce point l’avantage financier sur les autres. Apple contre Attac, 150 000 euros réclamés par la multinationale, de quoi couper les vivres des impétrants, si ce n’est leur ardeur militante. Veolia contre la Fondation Danielle-Mitterrand, le marchand d’eau réclamant à chaque fois 5 000 euros dans de multiples procédures en diffamation - montant dépassant le petit budget annuel de cette association qui dénonce les coupures d’eau des usagers les plus modestes. Vinci contre Sherpa, le cador du BTP avait déposé une contre-plainte en diffamation contre cette association de juristes qui a eu l’outrecuidance de dénoncer les conditions de travail à l’occasion des chantiers du Mondial de foot 2022 au Qatar. Equilibre de la terreur sur ce point, Vinci renonce à poursuivre Sherpa le temps que la justice française ne tranche leur différend sur le « travail forcé » dont l’accuse l’ONG. Justice qui vient de botter en touche sur ce point…
https://www.farmlandgrab.org/post/view/27850


2 février 2021

Par Rédaction Yonne Lautre

Le mardi 2 février 2021

Mis à jour le 2 février 2021