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Agir pour une police & une gendarmerie au service des citoyens et de la République : Profession gendarme

31 août Agir pour une police & une gendarmerie au service des citoyens et de la République : Profession gendarme

À l’origine de son engagement, il y a la foi dans le service public, l’envie de se rendre utile aux autres, d’améliorer le monde à son échelle. La gendarmerie lui paraît alors le lieu où il pourrait s’épanouir. Bien vite, il déchante. Témoignage d’un gendarme démissionnaire.
https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/les-pieds-sur-terre/gendarme-8281224


25 juillet Agir pour une police & une gendarmerie au service des citoyens et de la République : Face aux syndicats de police, “le gouvernement a peur”

Deux chefs de la police ont mis en cause publiquement le placement en détention provisoire d’un policier de la BAC de Marseille. Une entorse à l’État de droit ? Le point avec le chercheur Sebastian Roché.
https://www.telerama.fr/debats-reportages/face-aux-syndicats-de-police-le-gouvernement-a-peur-7016560.php


10 juillet Agir pour une police & une gendarmerie au service des citoyens et de la République : Marche contre les violences policières : une convergence « historique »

Malgré l’interdiction de la préfecture, plus de 2 000 personnes ont marché le 8 juillet à Paris, en hommage aux victimes de violences policières. Une mobilisation unitaire, qui s’est notamment terminée par des poursuites contre Assa Traoré.
https://reporterre.net/Marche-contre-les-violences-policieres-une-convergence-historique


7 juillet Agir pour une police & une gendarmerie au service des citoyens et de la République : Usage des armes par la police : pour un cadre légal qui ne soit pas un permis de tuer

Communiqué LDH

Face aux drames qui se multiplient dans le cadre de contrôles routiers, la LDH (Ligue des droits de l’Homme) saisit le ministre de l’Intérieur d’une demande d’abrogation des instructions du directeur général de la police nationale (DGPN) et du directeur général de la gendarmerie nationale (DGGN) relatives à l’application de l’article L. 435-1 du Code de la sécurité intérieure (CSI) encadrant l’usage des armes par la police.
https://www.ldh-france.org/usage-des-armes-par-la-police-pour-un-cadre-legal-qui-ne-soit-pas-un-permis-de-tuer/


29 mars Agir pour une police & une gendarmerie au service des citoyens et de la République : Pétition pour la dissolution de la BRAV-M // Appel à se rassembler jeudi 30 mars à 19h devant les préfectures du pays En soutien aux 2 manifestants dans le coma, aux blessé·es de Sainte-Soline et du mouvement des retraites, pour la fin des violences policières.

Répression à Sainte-Soline : « une politique qui vise à blesser et traumatiser »
Alors que deux manifestants se trouvent dans le coma, l’activiste Léna Lazare, porte-parole des Soulèvements de la Terre, revient sur la répression de la mobilisation contre les mégabassines à Sainte-Soline (Deux-Sèvres), ce samedi. Entretien.
https://rapportsdeforce.fr/classes-en-lutte/repression-a-sainte-soline-une-politique-qui-vise-a-blesser-et-traumatiser-032817475


28 mars Agir pour une police & une gendarmerie au service des citoyens et de la République : Pétition pour la dissolution de la BRAV-M // ppel à se rassembler jeudi 30 mars à 19h devant les préfectures du pays En soutien aux 2 manifestants dans le coma, aux blessé·es de Sainte-Soline et du mouvement des retraites, pour la fin des violences policières.

La brutalité concomitante de la réponse d’État à la poursuite du mouvement des retraites et à la mobilisation de Sainte-Soline est en train de marquer au fer rouge l’histoire du pays. Elle appelle aujourd’hui à faire front ensemble.

Face à l’inaction climatique du gouvernement, à son soutien intangible à des lobbys industriels écocidaires et à l’aggravation flagrante de la crise écologique, le mouvement contre les méga-bassines a, ces derniers mois, offert une prise. Si le peuple de l’eau, plus nombreux que jamais à braver les interdictions préfectorales, est allé de nouveau jusqu’au chantier de la bassine de Sainte-Soline le 25 mars ce n’était pas par goût inconsidéré du risque. Tout ce qui a été dit sur les soi-disant motivations obscures des manifestant·es par Darmanin et consorts avant et après la mobilisation est à cet égard une profonde insulte à l’engagement des 30 000 personnes qui se sont rassemblées samedi. Si depuis un an et demi, ces foules grandissantes ne se contentent plus de défiler mais recherchent des gestes ad hoc pour freiner concrètement certains chantiers, pour empêcher le pillage de l’eau ou des terres, c’est bien parce qu’il y a une urgence vitale à agir. Et ce sentiment d’urgence ne fera qu’augmenter tant que l’on continuera à construire dans ce pays des infrastructures dont les conséquences sont telles qu’elles incarnent une violence écologique et sociale qui n’est plus aujourd’hui tolérable.

Cet élan vital, E. Macron l’a accueilli samedi avec une pluie de grenades létales, 4000 en 2h. Alors que 30 000 personnes s’approchaient d’un trou grillagé que l’État avait transformé en symbole de son autorité, 200 personnes ont été percées d’éclats dans leurs chairs, 40 gravement. L’une a perdu l’œil, d’autres se sont faits arracher la mâchoire ou risquent de perdre le pied. Deux sont toujours aujourd’hui dans le coma, entre la vie et la mort. Comme à Malville face à la déferlante anti-nucléaire en 77 ou à Sivens en 2014 face à l’éclosion de Zads en divers endroits du pays, l’État français a choisi délibérément le 25 mars de se donner sciemment la possibilité de tuer. Ce 25 mars, le gouvernement Macron a tenté de faire taire un espoir politique par la mutilation de masse.

Il a ainsi affirmé brutalement que la montée en puissance du mouvement de défense de l’eau ne pouvait qu’être considérée comme un affront intolérable à son égard. Depuis des années, ce mouvement réitère pourtant les demandes d’ouverture d’un réel dialogue avec les habitant·es des territoires, les paysan·nes, les associations environnementales. La seule réponse gouvernementale à ces issues au conflit est la terreur. Cette violence sourde face au mouvement écologiste est la même que le gouvernement Macron a déployé pour mater les gilets jaunes en 2019 et aujourd’hui contre le peuple qui persiste à refuser sa réforme injuste des retraites. C’est aujourd’hui cette réduction du champ politique à la grenade, ces cowboys en roue libre en quad ou en moto qui vont jusqu’à inquiéter les institutions internationales. A cette violence de rue, Darmanin ajoute aujourd’hui la persécution légale des mouvements organisateurs avec l’engagement d’une procédure de dissolution à l’encontre des Soulèvements de la terre.


28 mars Agir pour une police & une gendarmerie au service des citoyens et de la République : Pétition pour la dissolution de la BRAV-M

La répression policière qui s’abat sur notre pays doit conduire à remettre à l’ordre du jour l’impératif démantèlement de la BRAV-M.

Le pays étouffe de témoignages d’exactions violentes et brutales commises par ces brigades motorisées à l’encontre des manifestants qui tentent de faire entendre leur opposition à un projet de régression sociale.

Ces témoignages circulent dans le monde entier, interpellent la communauté internationale et entachent l’image de notre pays. Ils font état d’un emploi disproportionné et arbitraire de la force et en contrariété avec le schéma national de maintien de l’ordre.

Brigade créée en mars 2019 sous l’impulsion du préfet Lallement pour bâillonner le mouvement des Gilets Jaunes, elle est devenue l’un des symboles de la violence policière.

Loin d’assurer un retour à l’apaisement, son action participe de l’augmentation des tensions, y compris à l’encontre des forces de l’ordre.
https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-1319


22 mars Agir pour une police & une gendarmerie au service des citoyens et de la République : "Je me suis fait tabasser gratuitement" : plusieurs manifestants contre la réforme des retraites dénoncent des violences policières

Une enquête a été ouverte, mardi 21 mars, par le parquet de Paris et confiée à l’IGPN après la diffusion d’une vidéo tournée pendant une manifestation lundi soir contre la réforme des retraites à Paris. On y voit un manifestant violemment frappé au visage par un policier. Depuis plusieurs jours, des dizaines de vidéos de ce genre circulent sur les réseaux sociaux et des députés ainsi que des magistrats dénoncent des violences policières.
https://www.francetvinfo.fr/economie/retraite/reforme-des-retraites/temoignages-je-me-suis-fait-tabasser-gratuitement-plusieurs-manifestants-contre-la-reforme-des-retraites-denoncent-des-violences-policieres_5724542.html


31 août

 Usage des armes par la police : pour un cadre légal qui ne soit pas un permis de tuer, LDH, juillet 2023

Par Rédaction Yonne Lautre

Le jeudi 31 août 2023

Mis à jour le 31 août 2023