– Agronomie et photovoltaïque 17.10.25
Dix années de rabâchage rhétorique d’Antoine Nogier et de Christian Dupraz ont permis que
soit inscrit dans la loi, écrite par le lobby France Agrivoltaïsme -dirigé par Nogier et la FNSEA, que
l’amélioration du potentiel agronomique d’une terre allait de pair avec « l’agrivoltaïsme », c’est à
dire avec des dizaines de tonnes de métal connectés par hectare1.
https://coordo-nationale-photorevoltee.org/wp-content/uploads/2025/10/Agronomie-et-photovoltaique-V5-1.pdf
– Lancement de la cellule juridique 15.10.25
Depuis plusieurs mois un pôle juridique avec une vingtaine de cabinets d’avocats et d’avocates et de juristes, en accord pour prendre des contentieux, se met en place.
Vous pouvez aussi les contacter en retrouvant leurs coordonnées ici.
Des notes juridiques ont déjà été produites et d’autres sont à venir. En ce sens, afin de mutualiser les stratégies juridiques, une réunion interne entre elles et eux se tiendra en novembre à Paris.
https://coordo-nationale-photorevoltee.org/2025/10/01/annuaire-des-avocats-et-avocates-en-soutien-de-la-coordination-nationale-photorevoltee/
– Un rapport confidentiel de Sun’agri sabote l’agrivoltaïsme 22.09.25
L’analyse du rapport confidentiel de Sun’agri, publié par les journaux Silence et l’Empaillé7 nous éclaire. Sun’agri, fondé par Christrian Dupraz et Antoine Nogier, est l’entreprise phare du secteur, puisque se revendiquant inventrice du terme « agrivoltaïque » et fondant et dirigeant avec la FNSEA le lobby France Agrivoltaïsme, lobby qui affirme avoir écrit l’article 54 de la loi AER8.
https://coordo-nationale-photorevoltee.org/2025/09/22/agronomie-et-photovoltaique-note-de-la-coordination-nationale-photorevoltee/
– Les nouvelles de septembre 2025
https://coordo-nationale-photorevoltee.org/2025/09/01/les-nouvelles-de-septembre-2025-de-la-coordination-nationale-photorevoltee/
Aujourd’hui, plus de 400 organisations nationales, régionales et locales luttent contre l’accaparement de territoires par les industriels de l’énergie photovoltaïque.
Nous dénonçons la vitrification de nos campagnes par les panneaux photovoltaïques sur les terres agricoles et les violentes déforestations qui se multiplient.
Les dizaines de tonnes de métal par hectares, les kilomètres de grillages et de pistes, les dizaines de postes de transformation et de caméras de surveillance, ainsi que les kilomètres de lignes électriques, industrialisent nos lieux de vie.
Alors que l’IPBES (1) et le GIEC affirment que pour s’adapter au changement climatique, il faut sauvegarder la biodiversité, de nombreux rapports scientifiques prouvent sa destruction irréversible par les centrales photovoltaïques au sol.
Nous soutenons, à l’instar le Conseil National de Protection de la Nature – plus haute instance compétente en matière de biodiversité- qu’il est inacceptable de laisser de tels projets se faire sur des terres naturelles, forestières, agricoles ou sur les étendues d’eau, et affirmons comme lui qu’il y a suffisamment de surfaces déjà artificialisées, pour accueillir du photovoltaïque ; 100 000 hectares de friches industrielles existent en quasi-totalité à côté des métropoles
Nous défendons une société sobre en énergie, tout en affirmant notre volonté d’une sortie des énergies fossiles et du nucléaire.
Nous récusons le concept marketing « d’agrivoltaïsme ». La production d’électricité est incompatible avec l’agriculture paysanne. Un revenu digne pour les paysannes et paysans leur permettrait de se transformer ni en éleveur d’électrons, ni en cultivateur de kilowatts (avec des loyers versés par les industriels qui peuvent atteindre 15 000 euros par année et par hectare). Ces projets prospèrent cyniquement sur la misère du monde paysan.
Agissons collectivement pour défendre nos territoires et notre souveraineté alimentaire !
https://coordo-nationale-photorevoltee.org/lancement-de-la-coordination-nationale-photorevoltee-cnprv/
