21 janvier 2016 La nouvelle révolution verte en Afrique subsaharienne

Depuis le début des années 2000 est menée en Afrique subsaharienne une politique agricole – la nouvelle révolution verte – dont l’initiative relève notamment de la Banque mondiale. Les buts initiaux et officiels de cette transformation agricole pour les pays concernés par celle-ci sont à la fois d’éliminer la pauvreté et l’insécurité alimentaire pour l’ensemble des populations.

Alors que dans les années 1960, une première révolution verte aux résultats plus que décevants a été menée en Amérique du Sud, en Asie et en Afrique, cette nouvelle révolution verte est spécifiquement axée sur ce dernier continent. Selon la Banque mondiale, les paysans doivent être au centre de ce processus et être les acteurs centraux de cette nouvelle révolution verte.

Au sein de cette recherche d’une année que nous publierons en deux parties, nous vous proposons d’analyser en profondeur quels sont réellement les tenants et les aboutissants de cette soi-disant « nouvelle révolution verte » en Afrique Subsaharienne. Notre réflexion s’intéressera particulièrement aux paysans à petite échelle qui représente encore à l’heure actuelle 90% de la production agricole subsaharienne.

http://cadtm.org/La-nouvelle-revolution-verte-en,12819


30 octobre 2011 Agriculture à travers le monde Brèves Invasions de criquets : la lutte passe par la prévention

En juin dernier, le sud-ouest de Madagascar a été touché par de fortes de concentrations de criquets. De même, le sud de la Russie a été confronté, au cours de l’été 2011, à une invasion de criquets dits « migrateurs », qui se sont attaqués aux récoltes. D’après le Cirad (1), qu’ils soient pèlerins, migrateurs ou nomades, les criquets représentent une menace de par leur capacité à former des essaims destructeurs.

http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=4881


22 juillet 2011 Agriculture à travers le monde Brèves Une bonne nouvelle pour l’agriculture mondiale

Par Ivan du Roy (22 juillet 2011)

C’est un Brésilien, José Graziano da Silva, qui a été nommé fin juin, directeur général de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO). Une fois n’est pas coutume, cette nomination est plutôt une bonne nouvelle. Alors que la famine refait son apparition en Somalie, que la spéculation sur les denrées de base bat son plein et que le modèle agricole productiviste s’enfonce dans la crise, le rôle de la FAO est toujours plus crucial.

http://www.bastamag.net/article1676.html


23 décembre 2010 Agriculture à travers le monde Brèves Moins de pesticides, plus de rendements et de revenus

Le Programme de gestion intégrée de la production et des déprédateurs en Afrique de l’Ouest enregistre des progrès notables

20 décembre 2010, Rome - En Afrique de l’Ouest, grâce à un projet international qui promeut les pratiques agricoles durables, des agriculteurs sont parvenus à réduire l’utilisation des pesticides toxiques tout en augmentant leurs rendements et leurs revenus et en diversifiant les systèmes culturels.

http://www.fao.org/news/story/fr/item/48960/icode/


19 décembre 2010 Agriculture à travers le monde Brèves Développer la culture sans labour en Afrique subsaharienne : parfois moins c’est mieux !

Danielle Nierenberg est chercheur senior à l’Institut Worldwatch, une organisation environnementale basée à Washington, DC. Elle voyage actuellement à travers l’Afrique subsaharienne évaluant des solutions durables pour l’environnement dans la lutte contre la faim et la pauvreté. Cette étude aboutira avec la sortie de L’état du monde 2011 : Des innovations qui nourrissent la planète. A suivre sur CDURABLE.info ... chaque semaine une nouvelle initiative pour nourrir la Planète.

http://www.cdurable.info/Developper-la-culture-sans-labour-en-Afrique-parfois-moins-c-est-mieux,3126.html


1er décembre 2010 Agriculture à travers le monde Brèves Négociations climat : L’ONU demande un Plan Marshall pour l’agriculture

Selon l’ONU, des actions ambitieuses pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et soutenir l’adaptation au changement climatique sont vitales. Des actions sont devenues nécessaires pour garantir la viabilité des systèmes de production alimentaire "qui améliorent les moyens de subsistance des communautés pauvres, les premières victimes du changement climatique". L’ONU profite du rassemblement des représentants de 190 nations à Cancun pour taper du poing sur la table.

http://www.developpementdurablelejournal.com/spip.php?article7223


19 novembre 2010 Agriculture à travers le monde Brèves « Quelle place pour les paysan(ne)s du monde ? »

Communiqué de presse - ECVC

(Bruxelles, 17 novembre 2010) La Coordination Européenne Via Campesina et La Via Campesina ont organisé le 16 novembre un atelier au Parlement européen sur « Quelle place pour les paysan(ne)s du monde ? », sous la Présidence de José Bové, Vice Président de la Commission de l’Agriculture et Développement Rural.

Cet atelier a traité de l’impact de la Politique Agricole Commune sur l’agriculture paysanne dans le monde, et de la cohérence entre les politiques agricole, commerciale et de développement, avec comme toile de fond la reforme de la PAC après 2013.

http://www.viacampesina.org/fr/index.php?option=com_content&view=article&id=544:-l-quelle-place-pour-les-paysannes-du-monde-r&catid=21:souverainetlimentaire-et-commerce&Itemid=38


10 octobre 2010 Agriculture à travers le monde Brèves Les trois-quarts des personnes souffrant de la faim sont des paysans

Réunis à la FAO (1) dans le cadre du comité de la sécurité alimentaire (CSA) (2), 190 pays se rencontreront la semaine prochaine à Rome afin de prendre des mesures politiques concrètes pour lutter contre la crise alimentaire mondiale. Deux thématiques centrales seront débattues au cours de ce sommet, à savoir la vulnérabilité des paysans face au changement climatique et l’épineuse question de l’accaparement des terres. Mais d’autres points décisifs seront également discutés, dont la problématique de la volatilité des prix ou la création d’un cadre stratégique visant à garantir la cohérence des politiques commerciales ou énergétiques, telles que celles liées aux agrocarburants. Qualifiée à juste titre d’ « aberration » par Oxfam France, la situation actuelle veut que les trois-quarts des personnes souffrant de la faim dans le monde sont des paysans.

http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=4414


24 avril 2010 Agriculture à travers le monde Brèves La Confédération paysanne dénonce la fausse générosité des pays du G20 face aux paysans les plus démunis

Communiqué de presse - 23 avril 2010

Le fonds mondial pour l’aide aux agriculteurs les plus démunis proposé par le G20 a été lancé hier, le 22 avril, à Washington. Les pays riches donnent la charité aux petits paysans du Sud tout en les appauvrissant par les politiques libérales menées par l’Organisation Mondial du Commerce, du Fond Monétaire International et de la Banque Mondiale.

La Confédération paysanne demande aux gouvernements de prendre leur responsabilité et d’en terminer avec les fausses solutions pour pallier à la pauvreté dans le monde. Nous rappelons que si, à travers le monde, 6 paysans sur 10 souffrent de la faim, cela n’est pas dû à une pénurie de production mais à un problème d’accès à l’alimentation. Nous réclamons la fin des accords bilatéraux, du libre échange et des spéculations sur les matières premières pour permettre aux paysans de se nourrir localement.

http://www.confederationpaysanne.fr/confederation_paysanne_denonce_fausse_generos_27.php&actualite_id=1628


5 février 2010 Agriculture à travers le monde Brèves La place de l’agriculture face à la désertification

Arthur Perin, délégué international sur notre programme de reforestation au Mali nous explique l’importance du projet de développement agro-sylvicole mené par Planète Urgence dans la région du Sahel face au phénomène de désertification mondial.

Planète Urgence : En quoi le Mali est-il un spot de désertification mondial ?

Arthur Perin : Comme tous les pays sahélien, le climat du Mali se caractérise par des pluies irrégulières qui ne tombent que pendant une courte période de l’année. La variabilité dans le temps et dans l’espace de ces précipitations affaiblissent les capacités du milieu naturel à se perpétuer ce qui peut dans certains cas amener à une dégradation progressive de l’environnement jusqu’à obtenir des sols stériles. L’action conjuguée des sécheresses chroniques et de la baisse de précipitation générale depuis les années 1970, de la pression humaine sur les ressources naturelles (doublement de la population depuis cette période) et de la pauvreté générale de la population ont accéléré ce processus. On estime à 100.000 ha la superficie de forêt qui disparaît chaque année. La pression qui existe sur les ressources naturelles est terrible !
C’est un véritable drame qui se joue là, car ce sont les capacités de production des 70% de la population malienne qui vit en milieu rural qui sont directement menacées.

http://www.infosdelaplanete.org/5803/la-place-de-l-agriculture-face-a-la-desertification-.html


24 octobre 2009 Agriculture à travers le monde Brèves « L’affaire de Mbane, c’est la faute aux paysans »

Le Quotidien | 20-10-2009

Entretien avec Mamadou Cissokho, président d’honneur du Cncr

Rencontré en marge du Forum de haut niveau sur l’agriculture à Rome, le célèbre dirigeant paysan s’est prêté de bonne grâce aux questions qui secouent le monde paysan sénégalais à l’heure actuelle. Et comme à son habitude, il n’a fait ni dans la langue de bois ni dans les faux-fuyants, n’épargnant même pas ses congénères, par moments.

Vous semblez très sceptique pour le Sommet des chefs d’Etat sur l’Alimentation, qui doit se tenir en novembre prochain.

Non. Notre préoccupation par rapport aux chefs d’Etat de la Cedeao, et même de l’Afrique, c’est que, tous les pays cités qui ont réussi leur agriculture, sont ceux qui ont fait des investissements publics. Ce n’est pas le privé. C’est quand les choses marchent que le privé vient, dans la transformation, la commercialisation. Mais les fondements – structurer les marchés, créer des mécanismes pour la traçabilité, pour que nos produits soient propres à la consommation – tout cela, c’est le programme des Collectivités locales et des Etats. Il y a une grande responsabilité des fonds publics, et de la politique agricole communautaire.

http://farmlandgrab.org/8384


18 août 2009 Agriculture à travers le monde Brèves La Libye s’accapare des terres rizicoles maliennes

L’accaparement des terres des petits paysans par des grandes entreprises nationales et étrangères devient un sujet de plus en plus révoltant au Mali. Après avoir investit dans divers secteurs économiques au Mali et en Afrique, ces entreprises nationales ou multinationales se rabattent aujourd’hui sur d’autres cieux, à savoir la terre. Cela, à l’image de MALIBYA, une entreprise libyenne à qui le gouvernement du Mali, dans sa politique de promotion des investissements privés dans la production rizicole a octroyé 100 000 hectares dans la zone Office du Niger, la principale zone rizicole du pays et précisément à Macina ouest dans la région de Ségou, quatrième région du Mali.

http://www.viacampesina.org/main_fr/index.php?option=com_content&task=view&id=432&Itemid=1


25 juin 2009 Agriculture à travers le monde Brèves Vers la conversion de 400 millions d’hectares de savane en terre agricole

Sur les 600 millions d’hectares de savane guinéenne, allant du Sénégal jusqu’à l’Afrique du Sud, seuls 10 % sont actuellement cultivés. Or, à l’heure où la planète vient de franchir le milliard d’individus ne mangeant pas à sa faim, selon la FAO et la Banque Mondiale environ 400 millions d’hectares de cet espace conviendraient à une exploitation agricole.

http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi?id=3810


12 juin 2009 Agriculture à travers le monde Brèves Un pas considérable vers un véritable engagement de la FAO en faveur des droits des paysans ?

Communiqué de presse - Organisations de la Société Civile

(Tunis, le 8 juin 2009) Après quatre jours de négociations mouvementées entre 121 gouvernements lors de la réunion du Traité de la FAO sur l’utilisation des ressources phytogénétiques pour l’alimentation et l’agriculture, qui s’est tenue en Tunisie, les tentatives de blocage du Canada ont été dépassées. A minuit, jeudi dernier, le Brésil a lu, face à une assemblée plénière fatiguée, une résolution amendée portant sur les droits des agriculteurs, qui a converti la tension prédominant entre les représentants en soulagement et enthousiasme.

http://www.viacampesina.org/main_fr/index.php?option=com_content&task=view&id=407&Itemid=1


6 juin 2009 Agriculture à travers le monde Brèves La Russie veut redevenir le "grenier à blé" du monde

http://www.lemonde.fr/economie/article/2009/06/05/la-russie-veut-redevenir-le-grenier-a-ble-du-monde_1202852_3234.html#ens_id=1202936

La grande Russie agricole est de retour. En tout cas, elle veut en donner l’impression en affichant de grandes ambitions sur le marché du blé. Moscou veut profiter, samedi 6 et dimanche 7 juin, du Forum mondial céréalier de Saint-Pétersbourg. En présence de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), de ministres et d’acteurs du marché, la Russie entend jouer à nouveau un rôle prépondérant dans la sécurité alimentaire mondiale.


30 avril 2009 Agriculture à travers le monde Brèves Importer des femmes et des hommes pour exporter des fruits hors saison

Réalisé par Echanges et Partenariats et le Gisti

01 / 2009

Quel est le lien entre un saisonnier roumain, un consommateur français, et un agriculteur andalou ou italien ? Des oranges cirées, des fraises pesticidées, des tomates toute l’année. Ce sont les produits plutôt que les fruits d’une agriculture industrielle dont les mots d’ordre sont profit et rentabilité. On parle d’ailleurs d’« or rouge », aussi bien pour les tomates des Pouilles que pour les fraises andalouses.

Ce mode d’agriculture comporte de nombreux dommages collatéraux.

D’abord au niveau des ressources naturelles : le sol ne connaît plus de saisons ni de repos, l’eau est utilisée sans limite. Les engrais et les pesticides prennent la place de la terre.

http://base.d-p-h.info/fr/dossiers/dossier-959.html


23 avril 2009 Agriculture à travers le monde Brèves Droits de propriété intellectuelle/ le cas de l’oignon violet de Galmi

Les droits des paysans bafoués

La Coordination Nationale de la COPAGEN – Niger ; abc Burkina n° 327 du 15/04009
Nous vous proposons, cette semaine, une déclaration de presse qui nous vient du
Niger. Elle émane de la Coalition pour la Protection du Patrimoine Génétique
Africain (COPAGEN) du Niger. Elle porte sur ses oignons dits « Violets de Galmi
 ».

Face à la démarche initiée, auprès de l’Organisation Africaine de la Propriété
Intellectuelle (OAPI), par la société sénégalaise Tropicasem, filiale de
Limagrain (société coopérative française spécialisée dans la vente de semences),
en vue de la certification à leur profit, des semences de l’oignon violet de
Galmi, les organisations membres de la Coalition pour la Protection du
Patrimoine Génétique Africain (COPAGEN) Niger réunies en assemblée générale
extraordinaire, ce jour, jeudi 16 Avril 2009, au siège de la Plate Forme
Paysanne, font la déclaration suivante :

Considérant que la variété d’oignon dite « Violet de Galmi » est une variété
originalement nigérienne, qui détient son nom de la localité d’où elle a été
domestiquée : Galmi est un village de la Commune de Doguéraoua, Département de
Birni N’Konni, Région de Tahoua en République du Niger. C’est seulement par la
suite, au vu de ses qualités, que cette variété a été vulgarisée dans les pays
de la sous région ouest africaine ;

Considérant que les communautés locales nigériennes (les paysans), à l’instar
des autres paysans du monde, ont des droits collectifs sur les plantes
traditionnelles cultivées, qu’ils ont domestiquées et/ou améliorées, et qui
constituent leur patrimoine génétique ;

Considérant que la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme garantit que
« toute personne, aussi bien seule qu’en collectivité, a droit à la propriété »
et que « nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété » ;

Considérant que le Charte Africaine des Droits de l’Homme et des Peuples,
garantit le droit à la propriété, et la libre disposition, par les peuples, de
leurs richesses et de leurs ressources naturelles ;

Considérant que la souveraineté pour la protection et la sauvegarde de sa
diversité biologique est reconnue à chaque Etat, par la Convention de RIO ;
Soucieux du respect des droits sociaux, économiques et culturels, des
communautés nigériennes ;

Dénoncent avec énergie, le comportement des sociétés françaises et/ou leurs
filiales au Niger, de manière générale, et spécifiquement, la tentative de
spoliation orchestrée par Tropicasem, société coopérative sénégalaise
spécialisée dans la vente de semences, avec la complicité de la multinationale
française Limagrain ;

Considèrent l’action de Tropicasem et de ses complices comme un vol, une
confiscation des efforts de plus d’un siècle des communautés d’agriculteurs de
Galmi, ainsi qu’une violation des droits de ces communautés locales. Elle
constitue, un immense mépris pour les agriculteurs africains en général et les
paysans nigériens en particulier.

Dénoncent et condamnent le silence et le mutisme complice des autorités
compétentes nigériennes, dont, sans la foire sur les semences organisée au
Sénégal, contribueront à sacrifier les intérêts des paysans nigériens et du
Niger tout entier ;

Interpellent le Gouvernement nigérien, à prendre rapidement toutes les
dispositions pour contrecarrer la demande de Tropicasem, auprès de l’OAPI, avant
la fin du délai réglementaire qui échoit en août 2009, sans préjudice de
poursuites judiciaires contre cette société ;

Appellent les organisations de la société civile notamment les organisations
paysannes et les personnes ressources, soucieuses du respect des droits humains,
de la dignité humaine, de justice, et de l’avenir de l’agriculture paysanne, à
unir leurs forces pour soutenir et apporter assistance aux communautés
nigériennes, pour faire échec à la tricherie de Tropicasem et de l’OAPI.


15 mars 2009 Agriculture à travers le monde Brèves L’agriculture, un outil contre la pollution industrielle américaine

Le nouveau ministre de l’Agriculture est haï des écolos ultras et des capitalistes agricoles. Il soutient les biotechnologies, mais il va couper les subventions aux agriculteurs industriels, et compte payer les fermiers pour passer au bio et lutter contre les changements climatiques. Objectif : transformer radicalement l’agriculture américaine.

http://www.rue89.com/american-ecolo/2009/03/14/l-agriculture-un-outil-contre-la-pollution-industrielle-americaine


2 mars 2009 Agriculture à travers le monde Brèves Arret de l’utilisation d’hormones de croissance : les geants americains de l’industrie laitiere s’engagent

Depuis plusieurs mois, l’opinion publique americaine est divisee au sujet de
l’emploi d’hormones de croissance bovine, rBGH, dans l’alimentation des
vaches laitieres pour optimiser la production de lait. Cette opposition
croissante de l’opinion publique est liee a l’apparition dans les lineaires
de nombreux produits (des marques telles que Ben and Jerry’s, Michigan milk
producer association, California Dairy’s, Inc) affichant sur leurs
etiquetages la mention "produit 100% sans hormone rBGH".


10 octobre 2019

Par Rédaction Yonne Lautre

Le jeudi 10 octobre 2019

Mis à jour le 12 février 2023