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Transports de déchets nucléaires en France : Sans crier gare, des convois radioactifs traversent les centres-villes

17 octobre 2016 Un train de déchets attendu à Würenlingen

Le train est attendu en début de semaine prochaine à Würenlingen (AG), selon la société française Areva. Ce train qui transporte 9,5 tonnes de déchets nucléaires ultimes dans quatre wagons doit arriver au centre d’entreposage Zwilag de Würenlingen, a précisé mercredi le groupe français.
http://www.24heures.ch/suisse/train-dechets-attendu-wuerenlingen/story/28881924


15 septembre 2015 Le Réseau "Sortir du nucléaire" piste le périple d’un convoi d’uranium d’Allemagne en France

Alors qu’un convoi de déchets nucléaires vitrifiés s’apprête à traverser la France d’Ouest en Est, le Réseau "Sortir du nucléaire", en lien avec de nombreux militants allemands, traque simultanément l’arrivée d’un convoi d’uranium qui devrait traverser le pays du Nord au Sud. Pollution des mines d’uranium, transports incessants, déchets ingérables : ces multiples convois démontrent que le nucléaire ne saurait être qualifié d’énergie propre !

http://www.sortirdunucleaire.org/Le-Reseau-Sortir-du-nucleaire-piste-le-periple-d


15 septembre 2015 Transports de déchets nucléaires en France : Trafics atomiques en folie. Que fait la police… et les gouvernants ?

Chacun garde en mémoire ces convois ferroviaires qui, voici peu encore et à destination de l’Allemagne, balafraient le pays en novembre et suscitaient les réactions les plus vives. Mauvaise, très mauvaise pioche avec le nucléaire, le pays étant en continu sous l’emprise d’un nombre infini de transports nucléaires, routiers et ferroviaires (voire maritimes et aériens). Parmi ceux-ci, il se dit que depuis quelque temps et régulièrement, du combustible uranium arrive d’Asie à destination de l’usine Areva de Narbonne-Malvési, obligeant à de longs transits à travers la totalité de l’Allemagne et de la France. Une autre usine Areva, celle de La Hague, produit, par un pseudo « retraitement » du combustible usé, de véritables déchets-poisons radioactifs, qui eux aussi alimentent le trafic en reprenant la route de leurs pays respectifs.

Mais la combine n’a pas de limites, avec un nouvel échelon franchi ce début de semaine où un train nucléaire est annoncé en partance de Normandie et à destination de la Suisse. La nouveauté, c’est que ces déchets (les pires, au nom de code HA « haute activité ») n’ont pas été traités à La Hague mais chez son concurrent britannique de Sellafield. Et voici notre pays devenu plaque-tournante. Les Français en ont-ils été informés ? Et ont-ils été avertis des risques conséquents intrinsèques à ces transports atomiques ? Leur a-t-on demandé leur avis, alors que la « démocratie participative » est tant de mode… dans les discours ?

Les risques ?

« (Ce transport) satisfait aux réglementations nationales et internationales en vigueur en matière de sûreté. » affirme-t-on du coté d’Areva. Comme à Fukushima ? Et la danseuse industrielle française de poursuivre : « Il faudrait rester collé à l’emballage pendant dix heures pour recevoir l’équivalent en radiation d’une radio de l’abdomen. Il n’y a pas de risque pour les travailleurs du port ou les cheminots, ni pour quelqu’un qui verrait passer le train en gare ».

Peut-on croire sur parole l’adorateur de l’atome, tant la confiance a été trahie ?

Remarquons tout d’abord que si Areva communique largement sur un transport de 7 tonnes, réparties entre 3 wagons (« assemblages »), elle omet totalement d’expliquer que ces quelques tonnes sont d’une telle nocivité que les protections sont d’un poids impressionnants.

En novembre 2010, à l’occasion d’un train atomique à destination de l’Allemagne, la « Fédération Grand-Est STOP déchets nucléaires » avait pu mener une enquête (voir ci-dessous en rappel) qui l’avait amené à « une découverte stupéfiante » : « (la FéDé) vient d’être destinataire d’un document, des plus officiels, qui -lui- spécifie que la règlementation (radioprotection) impose que les wagons-containers n’exposent pas à plus de 2mSv/heure à leur contact. Or, une dose de 2mSv prise en une heure c’est énorme quand on sait qu’il est recommandé, par les normes internationales, que le public ne soit pas soumis à des doses supérieures à 1mSV… sur un an ! Voilà qui explique que les policiers allemands, voici quelques années, ont obtenus d’être relevés régulièrement quand ils « protègent » de près ce genre de fret, car ils avaient appris que non seulement des rayonnements gamma s’échappaient de leur prison passoire mais qu’il en était de même de flux neutroniques ».

Une simple radio médicale ! Pourquoi Areva, et consorts, sont-ils autorisés à mentir si honteusement ? Pourquoi Areva, et consorts, sont-ils autorisés à mettre en jeu la santé des innombrables riverains de ces trafics par train ?

Aux côtés des Suisses, des Allemands, etc

Qu’ils repartent chez eux, entend-on parfois à propos de ces déchets suisses, ou allemands, ou autres. Peut-être, mais le bon sens et l’esprit de responsabilité voudraient que l’on ouvre les yeux sur un fait largement caché : ces déchets poisons violents ne repartent pas à destination des apprentis sorciers à l’origine de ces déchets (via la production du nucléaire dans leur pays), ni même vers les décideurs politiques responsables de ces poisons, mais vers des populations qui n’ont rien demandé, qui voient la démocratie piétinée et le silence de leurs caciques acheté… Comme à Bure ? En effet, et ce que vivent TOUTES les populations ciblées dans les pays qui ont plongé dans l’aventure nucléaire et qui cherchent un trou.

Alerter, dénoncer, accuser tout au long du trajet de ce tchernobyl ambulant

cid:part7.03080003.01010003 sortirdunucleaire.org

toutes les infos > http://www.sortirdunucleaire.org/Transport-de-dechets-vitrifies-De-Sellafield-a

On remarquera que ce train fou est annoncé traverser la CHAMPAGNE (Reims/Châlons/Vitry). Le roi des vins, dont les coteaux viennent tout juste d’être inscrits au patrimoine de l’humanité par l’Unesco, va ressentir un goût quelque peu amer pour son image

On y verra aussi le cynisme de décideurs qui, certainement pour tenter de souder une future région artificielle (ALCA / Alsace, Lorraine, Champagne-Ardenne), lui fait partager de bout en bout ce trafic atomique


Fédération Grand-Est STOP déchets nucléaires

BP 17 - 52101 SAINT DIZIER Cedex - FRANCE

www.villesurterre.com -www.burestop.org - www.stopbure.com


11 septembre 2015 Un train de déchets suisses hautement radioactifs s’apprête à traverser la France !

Alors qu’un convoi de déchets radioactifs suisses s’apprête à traverser la France d’Ouest en Est, le Réseau "Sortir du nucléaire" alerte sur les risques de ces transports et appelle à une sortie du nucléaire.

http://www.sortirdunucleaire.org/Un-train-de-dechets-suisses-hautement-radioactifs


11 septembre 2014 Un convoi de déchets très radioactifs traverse la France

Un train de déchets nucléaires hautement radioactifs retraités par Areva dans la Manche a quitté dans la matinée de mercredi 10 septembre Valognes pour prendre la direction de la Suisse. Les quatre wagons de déchets sont chargés de combustibles qui ont servi à produire « l’équivalent d’environ treize ans de consommation électrique d’une ville comme Zurich », a précisé le groupe nucléaire.

http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/09/10/un-convoi-de-dechets-tres-radioactifs-traverse-la-france_4485390_3244.html


6 août 2014 L’ASN publie les principaux résultats de son enquête sur les flux de transport de substances radioactives

L’ASN assure le contrôle de la sûreté des transports de substances radioactives à usage civil.

En 2012, afin d’améliorer la compréhension de ces flux de transport, l’ASN a mené une enquête auprès des détenteurs et transporteurs de substances radioactives. Elle leur a adressé un questionnaire portant sur les mouvements de ces substances en 2011.

Sur la base des réponses obtenues et de l’analyse des rapports annuels des conseillers à la sécurité transport, l’ASN a réalisé une cartographie assez précise des flux de transport en France. Ces données viennent compléter les études précédentes menées par l’IRSN en 1997 et 2006 ; elles permettent à l’ASN de mieux orienter ses actions de contrôle, et de mieux informer le public. À cette fin, l’ASN publie notamment une synthèse des résultats de son enquête.

http://www.asn.fr/Informer/Actualites/Enquete-de-l-ASN-sur-les-flux-de-transport-de-substances-radioactives


6 mars 2014 Transport de matières radioactives : « Le salaire de la peur », version SNCF, adapté à la région parisienne

RER et trains de banlieue côtoient chaque année une centaine de wagons remplis de combustibles nucléaires. Des convois dangereux qui longent régulièrement des zones peuplées. La sûreté de ces transports serait « satisfaisante » assure l’administration. Pourtant, l’un de ces wagons a déraillé fin décembre, en Seine-Saint-Denis. Ces déraillements pourraient se multiplier à cause du vieillissement des voies. Une zone inconstructible a d’ailleurs été définie sans concertation autour de la gare de triage de Drancy pour « ne pas accroître la population exposée au risque ». Riverains et cheminots y interpellent la SNCF sur les risques d’incendie et l’exposition aux radiations. Reportage.

http://www.bastamag.net/Transport-de-matieres-radioactives-3845


23 décembre 2013 Un wagon de produits radioactifs déraille à Drancy, pas de fuite

Vers 16h ce lundi, un wagon a déraillé de 50 centimètres à la gare de triage de Drancy (Seine-Saint-Denis). Il contenait des matières radioactives, mais il n’y a pas eu de fuite. La préfecture a assuré qu’il s’agissait d’un "incident technique" sans "aucune conséquence".

http://www.franceinfo.fr/societe/un-wagon-de-produits-radioactifs-deraille-a-drancy-pas-de-fuite-1260299-2013-12-23


5 décembre 2013 Qu’arrive t-il en France si on photographie un convoi nuke sur voie publique ?

Bonjour, que se passe t-il en France en 2013, quand on photographie un convoi de déchets nucléaires sur la voie publique ? Réponse ici en vidéo :

http://bellaciao.org/fr/spip.php?article138560

http://www.nanodata.com/sdn76/video/25novembre2013-convoinukeA13/131125-convoi-dechets-nucleaires-A13.avi


22 juin 2012 Protocole franco-russe sur le stockage de déchets nucléaires en Russie

MOSCOU - L’Agence de l’énergie atomique russe, Rosatom, a annoncé jeudi avoir signé un protocole d’accord de coopération avec l’Agence nationale française pour la gestion des déchets radioactifs (Andra), notamment pour créer des centres de stockage des déchets radioactifs en Russie.

Le protocole a mis sur le papier la volonté de deux parties de développer la coopération dans le domaine du traitement des déchets radioactifs, indique Rosatom dans un communiqué.

http://www.romandie.com/news/n/_Protocole_franco_russe_sur_le_stockage_de_dechets_nucleaires_en_Russie82210620121305.asp ?


11 avril 2012 Nucléaire : le transport de déchets radioactifs La Hague-Gorleben 2010 devant les tribunaux

Communiqué de presse - 11 avril 2012
Nucléaire : le transport de déchets radioactifs La Hague-Gorleben 2010 devant les tribunaux
Jeudi 12 avril, le tribunal administratif de Paris examinera la requête déposée notamment par le Réseau “Sortir du nucléaire“ et les militants du GANVA (1) concernant le transport de déchets radioactifs La Hague – Gorleben qui a eu lieu en novembre 2010.

Depuis 1996, des conteneurs de déchets hautement radioactifs, issus du retraitement par Areva des combustibles usés allemands, quittent à intervalles réguliers La Hague pour retourner en Allemagne.

Le 5 novembre 2010, un convoi de la SNCF affrété par une filiale d’AREVA, la Société TN International, est parti de Valognes dans la Manche, à destination de Gorleben en Allemagne. Ce convoi transportait des déchets radioactifs partiellement retraités par la Société AREVA sur le site de La Hague. Sa radioactivité totale s’élevait à 3917.4 péta becquerels (PBq), c’est-à-dire 3917.4 millions de milliards de becquerels (2).

Ce transport a été autorisé par une décision du Haut fonctionnaire de défense et de sécurité rattaché au Ministère de l’Ecologie portant accord d’exécution en date du 22 octobre 2010. Pour autant, cette décision n’a fait l’objet d’aucune véritable évaluation environnementale, d’aucune étude de danger ; elle n’a été précédée d’aucune information du public, lequel n’a, bien entendu, pas été consulté sur la décision.

Lors de ce convoi, plusieurs militants se sont enchaînés à la voie ferrée à proximité de Caen, après avoir mis en place un dispositif de sécurité permettant de bloquer le train un kilomètre en amont. Malgré le caractère proportionné et non violent de cette action, trois de ces militants ont subi de graves violences de la part des forces de l’ordre alors qu’ils étaient immobilisés et enchaînés à la voie ; certains ont dû être hospitalisés ensuite.

C’est dans ces circonstances que le Réseau "Sortir du nucléaire", ainsi que plusieurs militants, ont décidé de contester la légalité de l’accord d’exécution de ce transport en déposant, le 20 décembre 2010, devant les juridictions administratives, une requête introductive d’instance.

Cette requête sera examinée le 12 avril 2012, à 15h, par le tribunal administratif de Paris. Marie Frachisse, la juriste du Réseau, sera présente à l’audience au côté des militants anti-nucléaires.

(1) Le GANVA est le Groupe d’Action Non-violentes Antinucléaires - http://ganva.blogspot.fr/

(2) À quoi correspond un montant aussi élevé de radioactivité ?
Ce convoi a concentré, à lui seul, une radioactivité plus de deux fois supérieure à celle émise lors de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl. En effet, selon une étude du Ministère de l’Énergie des États-Unis, la radioactivité émise lors de l’accident de Tchernobyl représentait 1900 péta becquerels.

Pour en savoir plus, voir notre dossier consacré sur notre Juriblog : Novembre 2010 : transport La Hague-Gorleben, le "train d’enfer"


5 mars 2012 L’Ile-de-France traversée par un convoi de déchets nucléaires

"Un convoi de combustibles usés néerlandais, en provenance de la centrale nucléaire de Borssele, devrait quitter les Pays-Bas pour rejoindre La Hague, entre le 6 et le 8 mars prochain", a indiqué Le Réseau Sortir du Nucléaire dans un communiqué.

http://www.enerzine.com/2/13581+lile-de-france-traversee-par-un-convoi-de-dechets-nucleaires+.html


9 janvier 2012 Transport de matières radioactives : les cheminots du nucléaire s’inquiètent

Par Nolwenn Weiler (9 janvier 2012)

Deux à trois trains chargés de déchets radioactifs ou de combustibles nucléaires parcourent la France chaque jour. Ces transports sont considérés comme « sans danger » pour les cheminots qui les convoient, promettent la SNCF et Areva. Mais, en absence de mesures de prévention spécifiques, certains cheminots s’inquiètent. Et rien ne garantit qu’à l’avenir, sur fond de privatisation du rail, ces transports à hauts risques ne soient pas acheminés par des sociétés privées moins regardantes sur la sécurité.

http://www.bastamag.net/article2012.html


11 octobre 2011 Déchets nucléaires : un convoi radioactif traverse la France

Par Sophie Chapelle (11 octobre 2011)

Savez-vous qu’un convoi de déchets hautement radioactifs peut passer dans votre ville ? Douze départements français sont concernés les 12 et 13 octobre [1]. Selon le réseau Sortir du nucléaire, un train transportant du combustible usé néerlandais hautement radioactif devrait quitter Borssele, aux Pays-Bas, le mardi 11 octobre, puis traverser la Belgique et la France. Arrivés au terminal de Valognes, dans la Manche, ces déchets seront acheminés par la route à l’usine Areva de La Hague, en charge du « retraitement » des déchets.

http://www.bastamag.net/article1813.html


5 octobre 2011 Déchets nucléaires : encore un transport maintenu secret

Réseau "Sortir du nucléaire"
Fédération de plus de 905 associations et 54 000 personnes
Agréée pour la protection de l’environnement
http://www.sortirdunucleaire.org/

Communiqué de presse commun du Réseau "Sortir du nucléaire", SUD-Rail et réseau belge "Nucléaire, STOP !" – 05 octobre 2011
Déchets nucléaires : encore un transport maintenu secret
Un convoi de déchets nucléaires hautement radioactifs sillonnera la France et la Belgique entre le 11 et le 13 octobre prochain, et ce dans le plus grand secret.
L’essentiel
Entre le mardi 11 et le jeudi 13 octobre 2011, un train transportant du combustible usé néerlandais hautement radioactif devrait quitter Borssele, aux Pays-Bas. Il rejoindra le terminal ferroviaire de Valognes, dans la Manche. Il traversera une partie des Pays-Bas et de la Belgique pour passer ensuite la frontière franco-belge à Mouscron le 11 au soir, aux alentours de 23h. En France, entre le 12 et le 13 octobre, il traversera 11 départements (1) et empruntera les voies du RER grande couronne en région parisienne. Une fois arrivés au terminal de Valognes, ces déchets seront acheminés par la route à l’usine AREVA de La Hague pour y être - selon le terme employé par l’industrie - "retraités".

Un transport à hauts risques
Hautement radioactif, le combustible usé, composé d’uranium, de plutonium et de produits de fission dégage énormément de radioactivité et de chaleur. Comme tout transport de matières radioactives, ce convoi comporte des risques en termes de sûreté et de sécurité, risques accrus par la forte radioactivité émise par le combustible usé. Que se passerait-il en cas d’accident ou de détournement ? Surtout que le trajet emprunté ne permet pas d’éviter les zones fortement urbanisées.

http://www.sdnyonne.lautre.net/spip.php?article34


7 juin 2011 Transports de déchets nucléaires Brèves Arrêtez le transport de déchets nucléaires qui traversera bientôt la Belgique

Pourquoi s’opposer à ce transport ?

Les containers sont acheminés vers la France où les différents composants du combustible usé qu’ils contiennent seront dissociés. Ces opérations de retraitement se soldent par la création de nouveaux déchets nucléaires et libèrent des résidus toxiques. Une fois retraités, les déchets doivent être à nouveau renvoyés dans leur pays d’origine. Bientôt, un autre convoi radioactif fera le trajet en sens inverse. L’énergie nucléaire nous conduit sur une voie sans issue. Cette technologie ne s’intègre en aucune façon dans un système énergétique durable et les générations futures héritent d’un bien lourd fardeau. Certains types de déchets nucléaires conservent leur radioactivité pendant des milliers d’années.

http://www.nuclear-dead-end-road.eu/fr


7 juin 2011 Transports de déchets nucléaires Brèves Transport de déchets nucléaires néerlandais Du 7 au 8 juin 2011

Entre le mardi 7 et le jeudi 9 juin 2011, un train transportant du combustible usé néerlandais hautement radioactif devrait quitter Borssele, au Pays-Bas pour rejoindre le terminal ferroviaire de Valognes (Manche). Il traversera une partie des Pays-Bas, ainsi qu’une partie de la Belgique et passera la frontière franco-belge à Mouscron aux alentours de 13h30 le 8. Il traversera la France du nord est à l’ouest et empruntera les voies du RER grande couronne en région parisienne. Une fois arrivés au terminal de Valognes, ces déchets seront acheminés par la route à l’usine AREVA de La Hague pour y être - selon le terme employé par l’industrie - « traités ».

Le Réseau belge « Nucléaire STOP », le Réseau « Sortir du nucléaire » et le syndicat SUD-Rail appellent à une mobilisation tout au long du trajet

http://groupes.sortirdunucleaire.org/Transport-de-dechets-nucleaires?date=2011-06


7 mai 2011 Transports de déchets nucléaires Brèves

Réseau "Sortir du nucléaire"
Fédération de 874 associations agréée pour la protection de l’environnement
http://www.sortirdunucleaire.org/

MERCI DE DIFFUSER - APPEL A MOBILISATION - Un nouveau train de déchets hautement radioactifs s’apprête à traverser la France

Bonjour à tous,

Entre le 8 et le 10 mai prochains, un train transportant du combustible usé italien hautement radioactif devrait quitter l’Italie pour rejoindre le terminal ferroviaire de Valognes (Manche). En France, il traversera 12 départements (la Savoie, l’Ain, la Saône-et-Loire, la Côte-d’Or, l’Yonne, la Seine-et-Marne, l’Essone, le Val-de-Marne, les Yvelines, l’Eure, le Calvados et la Manche), et empruntera une fois de plus les voies du RER en région parisienne, pendant les heures de pointe.

Vous trouverez ci-dessous le communiqué de presse commun au Réseau “Sortir du nucléaire“, RNA (Rete Nazionale Antinucleare) et au syndicat SUD - Rail, appelant à une mobilisation tout au long du trajet.

Les informations relatives à ce transport

Vous trouverez toutes les infos sur le transport et pourrez consulter les documents relatifs au transport de combustibles usés sur la page suivante :
http://groupes.sortirdunucleaire..org/Transport-de-dechets-radioactifs

Vous pourrez également suivre en direct sur cette page l’avancée du train, ainsi que sur le twitter du Réseau "Sortir du nucléaire" :
http://twi​tter.com/#​ !/sdnfr

Nous vous confirmerons dès que possible les horaires du convoi et les publierons sur le site.


5 mai 2011 Transports de déchets nucléaires Brèves Un nouveau train de déchets hautement radioactifs s’apprête à traverser la France

Réseau "Sortir du nucléaire"
Fédération de 874 associations agréée pour la protection de l’environnement
http://www.sortirdunucleaire.org/

Communiqué de presse commun au Réseau “Sortir du nucléaire“, RNA (Rete Nazionale Antinucleare) et au syndicat SUD - Rail – 06 mai 2011

Un nouveau train de déchets hautement radioactifs s’apprête à traverser la France

Nouveau transport de déchets hautement radioactifs de l’Italie vers La France : faisant fi de la catastrophe de Fukushima, les Etats européens reprennent leur trafic de déchets nucléaires : une fois encore, nucléaire et démocratie ne font pas bon ménage....
Entre le 8 et le 10 mai prochains, un train transportant du combustible usé italien hautement radioactif devrait quitter l’Italie pour rejoindre le terminal ferroviaire de Valognes (Manche). En France, il traversera 12 départements(1), et empruntera une fois de plus les voies du RER en région parisienne, pendant les heures de pointe. Une fois arrivés au terminal de Valognes, ces déchets seront acheminés par la route à l’usine AREVA de La Hague pour y être - selon le terme employé par l’industrie - "traités". Ces déchets devraient retourner en Italie probablement entre 2020 et 2025, où aucune solution n’existe pour les accueillir.

Un transport à haut risque

Hautement radioactif, le combustible usé, composé majoritairement d’uranium, mais aussi de plutonium, dégage énormément de chaleur. Comme tout transport de matières radioactives, ce convoi montre des risques en termes de sûreté et de sécurité, notamment du fait de la concentration des déchets dans les wagons. Il ne permet pas non plus d’éviter les zones urbaines.

Les rayonnements radioactifs “Gamma“ émis par les conteneurs “CASTOR“ se propagent à plusieurs dizaines de mètres du wagon et exposent à des radiations ionisantes les personnes situées à proximité, entraînant un risque pour les riverains et les cheminots. La réglementation sur le transport des matières radioactives autorise des débits de dose pouvant aller jusqu’à 2 milliSievert par heure au contact du wagon, soit un niveau de radiation environ 20 000 fois supérieur à la radioactivité naturelle(2).

Un transport tenu secret

Malgré ces risques, les autorités ne fournissent aucune information sur ce type de transports, et taisent leur dangerosité pour les riverains, la population et les salariés concernés. Certains services de l’Etat et les collectivités et élus locaux, qui devraient être formés et avertis pour pouvoir réagir et mettre en œuvre un plan d’urgence en cas de problème, sont maintenus dans l’ignorance.

Le Réseau "Sortir du nucléaire", RNA et SUD-Rail tiennent à rappeler qu’il est conseillé aux agents et au public de se tenir éloignés d’un convoi hautement radioactif stoppé en gare, et incitent les cheminots à exercer leur droit de retrait en cas d’intervention sur ces convois.

Un transport inutile

L’industrie nucléaire produit chaque année des tonnes de déchets dont on ne sait que faire(3). Certains pays étrangers, dont l’Italie, envoient le combustible usé issu de leurs centrales à l’usine AREVA de La Hague pour qu’il y soit “traité“ : l’Hexagone est ainsi régulièrement traversé par ces déchets.

Pourtant, loin d’être une solution, le “traitement“ des déchets engendre des risques et des transports supplémentaires. Il contamine de manière irréversible la pointe du Cotentin en rejetant des effluents chimiques et radioactifs dans l’eau et l’environnement. Il est de surcroît inutile : le traitement à l’usine de La Hague ne diminue pas la radioactivité des déchets, mais il augmente au contraire leur volume. Ainsi, pour une tonne de matière retraitée, environ 65 m3 de déchets sont produits.

Un transport illégal ?

Ces transports de déchets italiens ont été autorisés par un accord entre les gouvernements français et italien(4). Dans le cadre d’un contrat conclu entre AREVA et la société italienne SOGIN (Société de gestion des installations nucléaires), AREVA doit traiter à l’usine de La Hague 220 tonnes de combustibles à base d’uranium et 15 tonnes de combustibles MOX (oxydes mixtes d’uranium et de plutonium) issus des réacteurs italiens en démantèlement.

Or, les délais de retour en Italie (entre 2020 et 2025) de ces déchets ne semblent pas justifiés techniquement, alors que cette justification est un des critères imposés par la réglementation en vigueur. L’ASN, dans une note d’information du 18 décembre 2007(5), avait d’ailleurs tenu « à rappeler publiquement ses réserves » sur la légalité de cet accord.

Le Réseau "Sortir du nucléaire", la Rete Nazionale Antinucleare et le syndicat SUD-Rail appellent à une mobilisation tout au long du trajet et maintiennent leur position : le nucléaire ne peut être ni propre, ni sûr, et il n’existe aucune solution viable et pérenne pour ses déchets.

(1) La Savoie, l’Ain, la Saône-et-Loire, la Côte-d’Or, l’Yonne, la Seine-et-Marne, l’Essone, le Val-de-Marne, les Yvelines, l’Eure, le Calvados et la Manche.

(2) En 1998, le laboratoire de la CRIIRAD a mesuré, à 50 mètres d’un wagon transportant du combustible irradié, un flux de radiation gamma nettement supérieur à la normale. Le débit de dose gamma neutrons était plus de 500 fois supérieur au niveau naturel, à 1 mètre du wagon. Comme l’a régulièrement rappelé la Criirad, la réglementation autorise ainsi la circulation, en des lieux accessibles au public, de wagons dont le niveau de radiation au contact peut être si importante, qu’en seulement 30 minutes de présence, un individu peut recevoir la dose maximale annuelle admissible pour le public. Voir la note CRIIRAD N°11-20 Risques liés au transport des combustibles irradiés, Valence, 8 février 2011 : http://www.criirad.org/actualites/dossier2011/trains_italiens/risques_transport.html

(3) 1 200 tonnes par an, uniquement pour la France.

(4) Cet accord a été signé le 24 novembre 2006 et ratifié par le décret n° 2007-742 du 7 mai 2007, voir http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000649178&dateTexte

(5) http://www.asn.fr/index.php/S-informer/Actualites/2007/Transport-de-combustibles-uses-italiens


2 mars 2011 Transports de déchets nucléaires Brèves Un rassemblement de protestation sera organisé devant la gare de Vitry-le-François mercredi 2 mars à 18 heures

Avec un train de retard

(demande remontant à samedi dernier)

l’autorité de sûreté nucléaire (ASN)

vient enfin d’adresser à la ‘Fédération Grand-Est STOP déchets nucléaires’

une partie des informations demandées

Ce que nous en tirons :

· Ce convoi ferroviaire est composé de déchets nucléaires « compactés », et non vitrifiés comme ceux partis vers l’Allemagne en novembre

¤ Ce qui signifie qu’il y a donc bien plus de transports-trafics que ce que l’on pensait : déplacement des ‘combustibles usés’ vers La Hague + déplacement en sens inverse des ‘déchets ultimes’ vitrifiés + à ajouter donc ces ‘déchets compactés’ composés des structures métalliques des assemblages de combustible (coques, embouts) et de ‘déchets technologiques (?) > le nucléaire propre est bien une fable

¤ Ce transports est dit de ‘moyenne activité’, celui vers l’Allemagne ayant été dit de ‘haute activité. Voilà qui semble rassurant, mais beaucoup moins à y regarder de près. Rassurant si, comme l’industrie nucléaire et les pouvoirs publics, on compare ces déchets aux pires, à ceux à ‘haute activité’. Trouillant (du champenois ‘avoir la trouille’) si on compare les déchets de ces convois à la radioactivité normale, dite ‘naturelle’. Pour faire large, 1 kg de terre (ou 1 l d’eau) contient quelques petites dizaines de becquerels (unité de radioactivité). 1 kg de ces déchets qu’on nous fait courir sur les rails : quelques dizaines DE MILLIARDS de becquerels (5 000.1012 becquerels pour environ 100 tonnes transportées par ce train démentiel). Moyenne activité, ou l’art de faire prendre aux braves gens des vessies pour des lanternes, ou des poisons nucléaires pour des bouteilles de champagne

¤ Ouf, avec ce transport-là on a échappé au pire…. Au fait, les « pires », ILS vont bien finir par les mettre aussi sur les voies, ceux-là !

· Rayonnements, ou non, qui s’échappent des wagons ?

¤ Eh bien on ne le saura pas, à moins d’aller tester in situ ! Ce qui est sûr, c’est que les ‘colis’ (colis !) sont autorisés à laisser passer de la radioactivité vers l’extérieur, ce qui reste choquant. Mais, à travers le cas présent on découvrira avec stupéfaction que non seulement l’ASN n’est pas destinataire d’office des mesures de ‘débit de dose’, qu’il faut qu’elle les réclame… et là elle n’a pas voulu savoir : « La réglementation prévoit la réalisation de mesures de débit de dose avant transport. Ces mesures ne sont pas communiquées à l’ASN sauf si elle le réclame dans le cadre d’une inspection. Ce transport n’est pas prévu dans le programme annuel d’inspection de l’ASN »

· Un trafic phénoménal !

¤ Pas moins de 900 000 ‘colis’ de matières radioactives sont déplacés par année

¤ Parmi ceux-ci on retrouve une quantité impressionnante de ces transports ferroviaires (et routiers !) qui nous préoccupent, de par leur teneur en radioactivité :

 environ 300 transports de combustible neuf

 environ 250 transports de combustible irradié

 une trentaine de transports de combustible de type MOX (oxyde de plutonium et d’uranium)

 une soixantaine de transports de poudre d’oxyde de plutonium


28 février 2011 Transports de déchets nucléaires Brèves Un rassemblement de protestation sera organisé devant la gare de Vitry-le-François mercredi 2 mars à 18 heures

CEDRA

Collectif contre l’enfouissement des déchets radioactifs

APPEL à ACTION

par le CCCP : Collectif Citoyen Cantonal du Perthois

soutenu et partagé par le CEDRA

soutenu et partagé par la ‘’Fédération Grand-Est STOP déchets nucléaires’’

Un train-castor de déchets radioactifs, venant de Châlons-en-Champagne (en provenance de La Hague), va transiter jeudi vers cinq heures du matin par Vitry-le-François passant ensuite par la gare de Blesme-Haussignemont vers Revigny-sur-Ornain puis Bar-le-Duc (à destination de la Suisse).

Il est inacceptable que la circulation de déchets hautement dangereux soit ainsi banalisée sur des voies qu’empruntent des trains de voyageurs, alors que l’on sait pertinemment que les poisons transportés sont des plus dangereux… et que les wagons-castors ne sont pas étanches (mel info prochain).

Un rassemblement de protestation sera organisé devant la gare de Vitry-le-François

mercredi 2 mars à 18 heures

Populations et élus-es seront les bienvenus, notamment celles-ceux des villages traversés

Les médias seront informés

Pour une bonne organisation, répondez à ce mel pour signaler si vous serez présent-e

Indignons-nous > Agissons > Soyons nombreux mercredi > Participez et faites vous accompagner de votre famille, de vos amis…

NB : d’autres actions sont organisées tout au long de ce trafic ferroviaire > http://groupes.sortirdunucleaire.org/agenda/evenement-national/article/train-de-dechets-radioactifs-2267?date=2011-03


28 février 2011 Transports de déchets nucléaires Brèves Un rassemblement de protestation sera organisé devant la gare de Vitry-le-François mercredi 2 mars à 18 heures

Communiqué commun du 28 février 2011 de SUD-RAIL et du Réseau "Sortir du nucléaire"

Un nouveau transport de déchets hautement radioactifs se prépare dans le plus grand secret entre la France et la Suisse !

Les 2 et 3 mars prochains, un train transportant des déchets nucléaires suisses va traverser la France d’ouest en est. Trois conteneurs CASTOR, transporteront des déchets de haute activité « traités » à l’usine Areva de La Hague. Acheminés en camion de La Hague à Valognes, ils devraient quitter le terminal ferroviaire de Valognes, dans la Manche, mercredi 2 à 14h06, pour rejoindre celui de Würenlingen en Suisse. Puis ils seront à nouveau transférés par la route jusqu’au centre d’entreposage de Würenlingen.

En France, il traversera la Manche, le Calvados, l’Eure, la Seine Maritime, l’Oise, la Somme, l’Aisne, la Marne, la Meuse, la Meurthe-et-Moselle, la Moselle, le Bas-Rhin et le Haut-Rhin.

Ce nouveau convoi entre dans le cadre du contrat passé entre la COGEMA (devenue aujourd’hui AREVA) et les compagnies suisses d’électricité, dans les années soixante-dix. Envoyés en France à partir de 1975, ces déchets retournent depuis 2001 en Suisse, après leur passage à l’usine AREVA de La Hague.

Un nouveau transport à haut risque se prépare dans le plus grand secret

Les rayonnements radioactifs émis par les conteneurs « CASTOR » entraînent un risque d’irradiation des cheminots et des riverains. Comme tout transport de matières radioactives, ce convoi présente également des risques en terme de sûreté et de sécurité.

Et pourtant, les autorités ne fournissent aucune information sur ce type de transports. Elles taisent également sa dangerosité pour les riverains, la population et les salariés impliqués.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" et SUD-RAIL rappellent qu’il est conseillé aux agents et au public de se tenir éloigné d’un convoi hautement radioactif stoppé en gare et incitent les cheminots à exercer leur droit de retrait.

« Les services de l’Etat et des collectivités (SNCF, collectivités locales, hôpitaux, pompiers, agents de la SNCF) qui devraient être informés et formés pour pouvoir réagir et mettre en œuvre un plan d’urgence en cas de problème, sont tenus dans l’ignorance. Quant à la population, elle est souvent loin d’imaginer que des convois nucléaires passent ainsi à proximité de leur habitation. Cette situation ne peut plus continuer, il faut briser la loi du silence et l’omerta en matière nucléaire ! » déclarent les deux organisations.

Retraiter les déchets : une fausse bonne idée !

Pendant des années, les pays étrangers ont envoyé leurs déchets nucléaires à La Hague pour qu’ils y soient « traités ». Ces tonnes de déchets retournent aujourd’hui à leurs envoyeurs et traversent l’Hexagone régulièrement, exposant ainsi les populations sans autre motif que de faire tourner l’usine de La Hague.

Loin d’être une solution, le « traitement des déchets » engendre des risques et des transports supplémentaires et contamine de manière irréversible la pointe du Cotentin en rejetant des effluents chimiques et radioactifs dans l’eau et l’environnement. Surtout, il ne sert à rien. Non seulement le traitement à l’usine de La Hague ne diminue pas la radioactivité des déchets mais il augmente leur volume. Pour une tonne retraitée, environ 65 m3 de déchets sont produits.

Partout en France des voix s’élèvent contre ces transports

Les mobilisations à l’occasion des derniers convois de déchets nucléaires (allemands, belges et italiens) attestent d’une vive volonté des populations d’être informées sur l’existence de ces transports, leur fréquence, leur contenu et les risques et dangers associés. Partout en France, des élus se sont joints aux rassemblements pour exiger le respect de la loi relative à l’information du public en matière environnementale.

L’inspection du travail de la SNCF à Paris a quant à elle exigé d’être informée de la fréquence et de la composition de ces convois. Elle demande également à ce qu’une évaluation des risques pour les agents soit réalisée et qu’une campagne de mesures soit menée.

Le Réseau "Sortir du nucléaire" publie les horaires du transport et demande, conjointement à SUD-RAIL, que le HCSTIN (Haut Comité pour la Transparence et l’Information sur la Sûreté Nucléaire) se saisisse de la question et qu’il exige un moratoire sur ces convois tant que les mesures et les clarifications demandées par l’inspection du travail de la SNCF n’auront pas été effectuées et tant que l’industrie nucléaire ne se sera pas engagée à publier en amont de ces transports, les horaires et leurs inventaires radioactifs.

Pour consulter les horaires du transports :

http://groupes.sortirdunucleaire.org/agenda/evenement-national/article/train-de-dechets-radioactifs-2267?date=2011-03


10 juillet 2021

Par Rédaction Yonne Lautre

Le samedi 10 juillet 2021

Mis à jour le 10 juillet 2021