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Scandale sanitaire des prothèses mammaires PIP Brèves
Yonne Lautre
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Auditions publiques et plaintes au pénal : les prothèses mammaires sur le banc des accusés9 février 2019, par Yonne Lautre
La France interdira-t-elle les prothèses mammaires à enveloppe rugueuse, soupçonnées de provoquer un lymphome rare ? Après deux jours d’auditions publiques, une décision des autorités sanitaires est attendue.
https://www.franceinter.fr/emissions/secrets-d-info/secrets-d-info-09-fevrier-2019 -
Scandale des prothèses mammaires PIP : la Cour de cassation ordonne un nouveau procès10 octobre 2018, par Yonne Lautre
La Cour de cassation s’est prononcée, mercredi 10 octobre, en faveur d’un nouveau procès du géant allemand TÜV, certificateur des prothèses défectueuses de sa filiale française PIP établie à La Seyne-sur-Mer (Var). Cette décision annule le jugement du tribunal d’Aix-en-Provence, qui avait dans un premier temps dédouané l’entreprise de toute responsabilité. Cette décision de la Cour de cassation, très attendue par les victimes de PIP, renvoie le dossier devant la cour d’appel de Paris.
https://www.lemonde.fr/police-justice/article/2018/10/10/scandale-des-protheses-mammaires-pip-la-cour-de-cassation-ordonne-un-nouveau-proces_5367542_1653578.html -
Une deuxième femme meurt d’un cancer rare lié aux prothèses mammaires26 mars 2015, par Yonne Lautre
Une semaine après l’alerte des autorités sanitaires sur les prothèses mammaires, le Parisien révèle, mercredi 25 mars, qu’une deuxième femme est décédée d’un lymphome anaplasique à grandes cellules, un cas de cancer très rare associé à un implant mammaire. Un dix-neuvième cas de cette pathologie a également été recensé.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/sante/article/2015/03/26/une-deuxieme-femme-meurt-d-un-cancer-rare-lie-aux-protheses-mammaires_4601346_1651302.html -
Ouverture d’une enquête sur des prothèses de hanche non conformes2 mai 2013, par Yonne Lautre
L’Agence nationale de sécurité du médicament a ouvert une enquête sur des prothèses articulaires de hanche fabriquées par le laboratoire français Ceraver, ne bénéficiant pas des normes européennes. 650 patients seraient concernés, et une soixantaine d’établissements. Le laboratoire est également soupçonné d’avoir fait des essais sur l’homme sans autorisation. Un millier de ces prothèses ont été placées sous séquestre.
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Pas d’indemnisations pour les femmes qui ont fait retirer leurs prothèses PIP27 mars 2013, par Yonne Lautre
Plusieurs milliers victimes des prothèses PIP ne seront pas indemnisées. Il s’agit de femmes qui ont fait retirer leurs implants mammaires défectueux à titre préventif. Pour leur avocat, elles risquent d’être les « oubliées de la justice ».
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Prothèses PIP : rupture observée pour une femme opérée sur trois5 juin 2012, par Yonne Lautre
Les fameuses prothèses mammaires de la société Poly Implant Prothèse (PIP), au silicone frelaté, n’ont pas fini de faire parler d’elles. Quelques mois après le début du scandale, le bilan se fait de plus en plus lourd. Près du tiers des prothèses explantées présentent une ou plusieurs ruptures et le nombre de cas de cancer chez les femmes porteuses de la prothèse s’élève dorénavant à 48, soit trois cas de plus qu’en mars.
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Des scientifiques s’interrogent sur la responsabilité de l’AFSSAPS dans l’affaire des prothèses mammaires PIP12 janvier 2012, par Yonne Lautre
Perpignan, le 12 janvier 2012 - Antidote Europe, une association créée
par des chercheurs issus du CNRS et dont l’objectif est l’application
des progrès scientifiques au bénéfice de la santé humaine, vient
d’interroger le directeur de l’AFSSAPS à propos du rôle de l’Agence
dans le scandale des prothèses mammaires PIP.L’Agence s’est déjà penchée à deux reprises sur la toxicité de ces
implants et a déclaré qu’il n’y avait « aucun risque génotoxique »
(une atteinte du matériel génétique pouvant entraîner des cancers). Or,
on apprend que deux femmes porteuses de ces implants sont mortes, de
cancer précisément. En France des dizaines d’autres femmes porteuses de
ces implants ont développé des cancers du sein, elles seraient des
milliers à travers le monde.L’évaluation par l’AFSSAPS du risque génotoxique des implants n’était
donc pas pertinente. Ceci n’est pas étonnant. L’Agence s’est en effet
« assurée » (?) de la non-génotoxicité des implants... chez la souris !
Claude Reiss, président d’Antidote Europe et ancien directeur de
recherche au CNRS, se demande si les « experts de haut niveau »
revendiqués par l’AFSSAPS avaient remarqué que les femmes n’étaient
pas des rongeurs de 60 kg, et que, de surcroît, ces tests sont imprécis
pour plusieurs raisons. Par exemple, parce que les cassures double brin
de l’ADN qu’ils révèlent ne sont qu’un des très nombreux facteurs
responsables d’un cancer. Ou encore, parce que ces cassures se
produisent et éventuellement se maintiennent selon des mécanismes
spécifiques d’une espèce animale et peuvent donc être très différents
entre souris et humains. Les tests de génotoxicité sur rongeurs sur
lesquels se fondent les décisions de l’AFSSAPS sont, pour les humains,
au mieux sans intérêt, au pire gravement dommageables car ils peuvent
masquer la toxicité réelle d’une substance chimique.Pour accomplir efficacement sa mission de prévention, l’AFSSAPS devrait
adopter sans tarder des méthodes scientifiques d’évaluation des
risques, notamment par génomique sur des cellules humaines en culture.
Ces méthodes sont opérationnelles, plus rapides et moins chères que les
tests de toxicité sur animaux et recommandées notamment par le rapport
de l’Académie des sciences des Etats-Unis publié en 2007 : « Toxicity
Testing in the 21st Century : A Vision and a Strategy ». Les tests de
toxicologie sur animaux ont été qualifiés de « tout simplement de la
mauvaise science » par un éminent toxicologue européen. Jusqu’à quand
les autorités continueront-elles à jouer notre santé à la roulette
russe ?Pour en savoir plus sur Antidote Europe : http://antidote-europe.org
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Le scandale sanitaire PIP prend une ampleur planétaire6 janvier 2012, par Yonne Lautre
L’Allemagne a recommandé vendredi le retrait des prothèses mammaires, la Grande-Bretagne joue la montre. Mais partout, de la République Tchèque au Vénézuela, la société française se retrouve dans le collimateur des autorités sanitaires.
http://www.liberation.fr/societe/01012381856-le-scandale-sanitaire-pip-prend-une-ampleur-planetaire
fr
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