Atteintes aux Droits des Migrants & Réfugiés en Bourgogne Franche-Comté

DIJ-HONTE, 85 personnes de plus à la rue
Passage en force de la préfecture, le squat de Stalingrad a été expulsé cette après-midi du 28 août.

Après 10 jours d’occupation au 41 avenue de Stalingrad, les migrant·es qui occupaient le bâtiment, soit plus de quatre vingt personnes, sont une nouvelle fois à la rue.

https://dijoncter.info/?expulsion-du-squat-de-stalingrad-494

Depuis un peu plus d’un mois, un campement de migrants s’est installé dans le centre-ville de Mâcon (Saône-et-Loire).

Cela fait plus d’un mois qu’un campement de migrants a, à nouveau, pris place en plein centre ville de Mâcon.

Un bidonville évacué ces prochaines semaines ...

Ce campement est situé sur le parking Monnier, de la ville-préfecture. Les habitants le qualifie même de "bidonville" en raison de l’importance de sa taille.

http://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/saone-et-loire/macon-campement-migrants-centre-ville-1322617.html

Dans une petite ville de Côte d’Or ... Une heure du matin approche.

Beaucoup d’entre nous dorment, se reposent.

Dans une petite ville de Côte d’Or, dans notre région

C’est l’heure à laquelle on demande à un demandeur d’asile de se rendre à la gendarmerie pour être reconduit vers un pays qu’il refuse de rejoindre !

Toutes les législations protègent les droits des citoyens la nuit.
Pas ceux d’un citoyen demandeur d’asile.

http://demandeursdasileen89.over-blog.com/2017/07/dans-une-petite-ville-de-cote-d-or.une-heure-du-matin-approche.html

C’est un nouvel épisode du triste feuilleton dijonnais dans lequel, depuis des années, les demandeurs d’asile sont baladés de squats en squats sans qu’aucune solution pérenne soit trouvée alors que l’Etat est défaillant dans son obligation de logement des demandeurs d’asile.
Read more at http://www.lescolporteurs.info/blog/dijon-grand-dijon/des-migrants-a-nouveau-menaces-d-expulsion.html

À Dijon et Montpellier, des centaines de demandeurs d’asile originaires de la Corne de l’Afrique étaient contraints de vivre depuis de nombreux mois dans des squats précaires voire insalubres, car l’administration leur avaient refusé le droit au séjour et donc à l’hébergement au prétexte que leurs empreintes étaient inexploitables par les bornes Eurodac.

http://www.lacimade.org/nouvelles/3974----Dijon-et-Montpellier--apr-s-des-mois-de-squats---