Sûreté / Sécurité nucléaire en Europe
Yonne Lautre
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Evénement à la centrale d’Olkiluoto en Finlande14 décembre 2020, par Yonne Lautre
Le 10 décembre 2020, l’autorité de sûreté finlandaise a fait état d’une anomalie sérieuse d’exploitation affectant un réacteur à eau bouillante d’Olkiluoto, le réacteur n°2. Le site d’Olkiluoto, situé à l’Ouest de la Finlande compte 2 réacteurs en fonctionnement, de type réacteur à eau bouillante, et un réacteur de type EPR en construction. Les réacteurs n°1 et n°2 d’Olkiluoto sont des réacteurs de 890 MWe, de conception suédoise (ABB). Ils ont été mis en service respectivement en 1978 et en 1980.
https://www.irsn.fr/FR/Actualites_presse/Actualites/Pages/20201214_NI_Evenement-Centrale-Olkiluoto-Finlande.aspx -
Sûreté / Sécurité nucléaire en Europe : Malgré les « microbulles », Tihange2 peut continuer à tourner3 septembre 2020, par Yonne Lautre
Le tribunal néerlandophone de Bruxelles a rejeté la demande de plusieurs communes des pays limitrophes et d’associations anti-nucléaire qui jugent le réacteur trop dangereux. Tihange 2 ne sera éteint qu’en 2023.
https://www.lesoir.be/322683/article/2020-09-03/malgre-les-microbulles-tihange2-peut-continuer-tourner -
Un problème de contrôle au réacteur de Tihange 2 : le calibrage n’avait pas été fait pendant 17 ans19 décembre 2018, par Yonne Lautre
Un problème de calibrage aurait entraîné des problèmes de contrôle de la puissance des réacteurs nucléaires depuis 2001 à Tihange 2. Il en résulte que le réacteur aurait pu fonctionner au-delà de la puissance autorisée par l’Agence fédérale de contrôle nucléaire.
https://www.rtbf.be/info/societe/detail_le-controle-de-la-mesure-de-la-puissance-du-reacteur-de-tihange-2-n-a-pas-ete-realise-pendant-17-ans?id=10101473 -
Allemagne : Lingen : Explosion et incendie dans l’usine Framatome de fabrication de combustible nucléaire13 décembre 2018, par Yonne Lautre
Une explosion suivie d’un incendie a eu lieu ce 6 décembre 2018 dans l’usine Advanced Nuclear Fuels de Lingen (Basse-Saxe). Cette usine, située à proximité du réacteur nucléaire d’Emsland dans le nord ouest de l’Allemagne, est la propriété de Framatome. Des éléments de combustible nucléaire y sont fabriqués et envoyés dans plusieurs pays, notamment en France.
https://www.sortirdunucleaire.org/Allemagne-Lingen-Explosion-et-incendie-dans-l-usine-Framatome-de-fabrication-de-combustible-nucleaire -
Un expert allemand met en garde : « La centrale nucléaire de Tihange 1 est vétuste et dangereuse »15 novembre 2018, par Yonne Lautre
La centrale nucléaire de Tihange 1 est « vétuste » et la poursuite de son exploitation « extrêmement dangereuse », a estimé jeudi l’expert allemand en ingénierie nucléaire, Manfred Mertins, lors d’une conférence de presse au Parlement européen.
Alors que l’Agence fédérale de contrôle nucléaire (AFCN) a donné son feu vert la semaine dernière au redémarrage prochain de Tihange 1, le professeur Mertins a mis en exergue de nombreuses vulnérabilités en matière de sûreté que présenterait cette centrale.
http://www.lalibre.be/economie/libre-entreprise/un-expert-allemand-met-en-garde-la-centrale-nucleaire-de-tihange-1-est-vetuste-et-dangereuse-5be41172cd70e3d2f6967d5f -
Entre États membres, un manque de coopération patent sur la sécurité nucléaire7 février 2018, par Yonne Lautre
La coopération transfrontalière en matière de sécurité nucléaire entre les Pays-Bas, la Belgique et l’Allemagne laisse encore à désirer, estime le Bureau d’enquête pour la sécurité néerlandais dans un nouveau rapport.
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Belgique : accident dans un réacteur nucléaire, un sous-traitant gravement blessé11 janvier 2017, par Yonne Lautre
Le réacteur nucléaire belge Doel 4, proche des Pays-Bas, s’est mis automatiquement à l’arrêt après un incident dû à un dégagement de vapeur qui a fait un blessé mardi.
http://www.leparisien.fr/environnement/energies/belgique-accident-dans-un-reacteur-nucleaire-un-sous-traitant-gravement-blesse-11-01-2017-6552837.php -
Sûreté / Sécurité nucléaire en Europe : Nucléaire : il va falloir renforcer le sous-sol de Tihange16 novembre 2016, par Yonne Lautre
Le réacteur de Tihange 1 est à l’arrêt depuis le 7 septembre dernier, suite au soulèvement de la dalle d’un bâtiment localisé dans la partie non nucléaire du site. On a émis l’hypothèse que des travaux opérés par un sous-traitant étaient à l’origine de cet incident. Une seule chose est sûre, c’est qu’Electrabel doit toujours « renforcer le sol sous la dalle et garantir sa tenue aussi bien en fonctionnement normal que sous l’action sismique ».
http://www.lesoir.be/1367907/article/economie/2016-11-14/nucleaire-il-va-falloir-renforcer-sous-sol-tihange -
La Belgique empêtrée dans les tracas nucléaires9 mars 2016, par Yonne Lautre
Doel 3 et Tihange 2, deux réacteurs nucléaires belges suspectés de ne pas répondre aux normes de sécurité, ne seront pas mis à l’arrêt, a décidé la justice belge, mercredi 9 mars. Une plainte visant à obtenir leur fermeture définitive avait été déposée par l’association Nucléaire Stop Kernenergie (NSK) à la fin 2015. La requête visait les défauts de ces deux réacteurs trentenaires, exploités par Electrabel, filiale belge d’Engie (ex-GDF Suez).
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/energies/article/2016/03/09/la-belgique-empetree-dans-les-tracas-nucleaires_4879589_1653054.html -
Derrière la controverse sur la sûreté des réacteurs nucléaires belges, l’ombre des grands groupes français11 février 2016, par Yonne Lautre
L’inquiétude progresse en Europe suite à une série d’incidents – début d’incendie, fuite d’eau, problème d’alternateur – dans les centrales nucléaires belges. Situées à Dœl (4 réacteurs, à 15 kilomètres du grand port d’Anvers) et à Tihange (3 réacteurs, au sud-est de la Belgique, à environ 70 kilomètres de la frontière avec l’Allemagne), ces centrales ont – pour certains de leurs réacteurs – dépassé les 40 ans. Malgré les problèmes de sécurité à répétition, leurs exploitants EDF et (surtout) Engie ont obtenu la prolongation de leur durée de vie de dix ans.
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L’éventualité d’un « Tchernobyl » belge inquiète de plus en plus3 février 2016, par Yonne Lautre
’inquiétude progresse en Europe suite à une série d’incidents – début d’incendie, fuite d’eau, problème d’alternateur – dans les centrales nucléaires belges. Elles sont situées à Dœl (15 kilomètres du grand port d’Anvers) et à Tihange (sud-est de la Belgique, à environ 70 kilomètres de la frontière avec l’Allemagne), et ont – pour certains de leurs réacteurs – dépassé les 40 ans. Elles devaient s’arrêter définitivement dans le courant de l’année 2015. Le gouvernement belge a finalement décidé de prolonger de dix ans la durée de vie de ces réacteurs. Leur redémarrage est en cours.
http://www.bastamag.net/Les-centrales-nucleaires-belges-sont-elles-sures
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Les centrales nucléaires belges inquiètent les Allemands et les Hollandais18 janvier 2016, par Yonne Lautre
Les Verts ne sont plus les seuls à s’inquiéter de l’état du parc nucléaire belge, du redémarrage controversé de deux réacteurs, il y a quelques semaines, et de la prolongation pour dix ans – décidée fin 2014 par le gouvernement – des deux unités, les plus anciennes, Doel 1 et Doel 2, qui datent de 1975.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/energies/article/2016/01/18/les-centrales-nucleaires-belges-inquietent-les-allemands-et-les-hollandais_4849048_1653054.html -
Les centrales nucléaires belges, à bout de souffle, menacent les pays voisins5 janvier 2016, par Yonne Lautre
Le réacteur belge Doel 1 a redémarré lundi 4 janvier, après un arrêt dû à un alternateur déficient. Cet incident est le dernier d’une longue série dans les centrales nucléaires d’outre-Quiévrain. Alors que le gouvernement prolonge la durée de fonctionnement des réacteurs, la vétusté des installations inquiète les écologistes et les pays frontaliers.
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Insécurité nucléaire maximale en Belgique29 décembre 2015, par Yonne Lautre
Notre sécurité d’approvisionnement énergétique serait largement garantie. Mais à un prix insoutenable : l’insécurité permanente qui nous place au premier rang des pays européens menacés par un accident nucléaire catastrophique. Une opinion de Paul Lannoye, président du Grappe asbl, Député européen honoraire et Docteur en sciences physiques.
http://www.lalibre.be/debats/opinions/insecurite-nucleaire-maximale-56801a633570b38a57d5f892
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Un ancien ingénieur de Tihange tire la sonnette d’alarme : « Prolonger les centrales, c’est criminel »11 novembre 2015, par Yonne Lautre
Selon un ancien ingénieur qui a participé à la construction de la centrale nucléaire de Tihange dans les années ‘70, la centrale a été conçue pour une durée de 40 ans et comporte désormais des risques. Il s’est confié à nos confrères du Soir Mag et à une de nos équipes. Jimmy Meo avec Mickael Danse.
A 84 ans, Marcel sort de son silence. Il parle de cas de conscience, il en sait trop. Il était l’ingénieur chargé de la rédaction du contrat de Tihange 1. A l’époque, il avait réalisé des tests sur la durée de vie de la centrale. « Ces essais montraient que, à partir de 40 ans de fonctionnement, il y avait un risque qui devenait significatif d’avoir une rupture par fatigue de la cuve contenant le combustible » a précisé Marcel au micro de notre journaliste.
- Un accident nucléaire digne de Tchernobyl ou Fukushima
Une rupture par fatigue, une fissure, c’est imprévisible. Ça peut arriver à tout moment et le résultat serait un accident nucléaire majeur digne de Tchernobyl ou de Fukushima. « De Charleroi à Liège, à Maastricht, à Aix-la-Chapelle. Ça veut dire que ça va être contaminé » ajoute l’ingénieur à la retraite.
- La seule chose à faire ? *Arrêter définitivement*
Evidemment, Marcel est alarmiste. Mais il est surtout inquiet. Il s’appuie sur le contrat d’amortissement financier qui serait basé sur trois décennies. Au-delà de ça, il y aurait des limites techniques liées à la résistance. Aujourd’hui, Tihange fête ses 40 ans et son prolongement serait, selon Marcel, criminel. « Il n’y a qu’une chose à faire : arrêter définitivement les centrales les plus âgées comme le font les Allemands ».
- Electrabel conteste et rappelle que les centrales ont été rénovées
Electrabel conteste le risque d’accident et l’existence de date de péremption technique des centrales. La centrale qu’a connu Marcel dans les années ’70 ne serait plus la même aujourd’hui car elle a été rénovée et mise à jour.
Commentaires :
1 - A Tihange, « Les investissements indispensables de rénovation ne seront terminés qu’en 2019. »
http://www.ecolo.be/?5-mythes-nucleaires-sur-la
2 - On ne répare pas et il est très difficile techniquement et très couteux de changer la cuve défaillante ou usée d’un réacteur atomique.
http://rue89.nouvelobs.com/2009/11/08/nucleaire-prolonger-la-vie-dun-reacteur-en-changeant-sa-cuve-125006Rappel :
http://www.actu-environnement.com/ae/news/doel-thiange-nouvelles-fissures-afcn-electrabel-gdf-suez-23886.php4
https://fr.news.yahoo.com/nucleaire-la-cuve-d-une-centrale-proche-de-la-france-serait-percee-d-un-millier-de-trous-091152768.html - Un accident nucléaire digne de Tchernobyl ou Fukushima
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Sûreté / Sécurité nucléaire en Europe : les risques encourus par 500 millions d’Européens dépendent d’experts anonymes, qui ne rendent compte à personne !3 septembre 2015, par Yonne Lautre
Commission de Recherche et d’Information Indépendantes
sur la Radioactivité
CRIIRADACCIDENT NUCLEAIRE : les risques encourus par 500 millions d’Européens dépendent d’experts anonymes, qui ne rendent compte à personne !
Les autorités françaises et européennes maintiennent le secret sur l’identité des experts qui ont validé les limites de contamination applicables aux aliments après un accident nucléaire. Ces limites sont excessivement élevées et exposeront les populations, en particuliers les enfants, à des niveaux de risque inacceptables.
La CRIIRAD poursuit son combat pour la transparence : nous vous avons informés récemment de nos échanges avec la Direction Générale de la Santé (qui tente de décliner toute responsabilité dans le dossier). Ce nouveau message porte sur le volet européen : dans notre courrier d’hier, nous avons mis la Commission au pied du mur : reconnaitre ou nier la réalité des anomalies identifiées dans le rapport de ses experts.
BRAS FE FER AU NIVEAU EUROPEEN
Le 29 juillet dernier, la Commission européenne a adressé un second courrier à la CRIIRAD, avec de nouvelles explications sur ce qui motive son refus de communication
1/ la Commission indique qu’elle ne saurait imposer au groupe d’experts de l’article 31 les règles de transparence habituelles puisque la nomination des membres de ce groupe ne relève pas de ses attributions mais de celles du Comité Scientifique et Technique, comité institué en application de l’article 134 du traité Euratom.
· Bien des zones d’ombre subsistent et peut-être s’agit-il d’une nouvelle échappatoire. La réponse ne tardera pas car la CRIIRAD a décidé de prendre la Commission au mot et de saisir le Comité Scientifique et Technique des mêmes demandes de communication des noms et références professionnelles des experts du groupe 31 Euratom : lire le courrier adressé au CST.
2/ la Commission européenne précise qu’elle est d’autant moins convaincue de la nécessité de publier le nom des experts qu’elle ne partage pas l’analyse que fait la CRIIRAD de leur travail scientifique. Cette déclaration est totalement gratuite car la Commission ne répond à aucun des arguments développés par la CRIIRAD. Il faut donc l’obliger à se confronter au fond du dossier.
· Dans un nouveau courrier (reproduit ci-dessous), la CRIIRAD a donc détaillé l’une des 12 anomalies majeures du rapport d’expertise et mis au défi la Commission européenne de reconnaître, ou de nier, sa réalité. L’exemple choisi est facile à exposer : les experts Euratom se trompés sur le coefficient applicable ce qui les conduits à sous-évaluer d’un facteur 10 la dose reçue par les nourrissons en cas d’ingestion de plutonium (le risque réellement encouru est donc 10 fois supérieur à ce qu’ont écrit les experts). La suite permettra de déterminer si la Commission reste solidaire de ses experts (et choisit l’intérêt particulier contre l’intérêt général et la protection sanitaire des populations) ou si elle est en capacité de reconnaître les fautes qu’ils commettent et d’obtenir leur correction. Dans ce cas, un dialogue pourrait s’ouvrir sur la douzaine d’omissions, contradictions, insuffisances et autres irrégularités graves que la CRIIRAD a repérées. Il serait plus que temps : le Conseil de l’Union européenne devrait adopter le projet de règlement dans les tous prochains mois !
Ces nouveaux éléments ont été transmis ce jour à la médiatrice européenne, dans le cadre de la plainte que la CRIIRAD a déposée contre la Commission européenne.
Très bonne lecture à tous !
Très cordialementL’équipe de la CRIIRAD
PS : nous comptons sur vous pour diffuser l’information et appeler vos parents, amis et contacts à signer la pétition :
http://criirad-protegeonsnotrealimentation.wesign.it/fr
Pour plus d’information, accédez ici au dossier complet :
http://www.criirad.org/aliments-nma-accidentnucleaire/sommaire.htmlCommission de Recherche et d’Information Indépendantes
sur la Radioactivité
CRIIRAD
29 Cours Manuel de Falla 26000 VALENCE- 04 75 41 82 50 -
Belgique : l’arrêt accidentel d’un réacteur nucléaire prolongé jusqu’à la fin d’août15 août 2015, par Yonne Lautre
Le réacteur nucléaire inopinément arrêté jeudi en Belgique le restera jusqu’au 28 août, selon son exploitant, Electrabel (groupe Engie, ex-GDF Suez), vendredi 14 août. L’incident sur le troisième réacteur de la centrale de Tihange, près de Liège (sud-est de la Belgique), est intervenu à la suite d’une opération de maintenance sur le système d’alimentation électrique de contrôle, « un incident technique qui n’a rien d’exceptionnel », selon l’Autorité fédérale de contrôle nucléaire (AFCN).
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2015/08/14/belgique-l-arret-accidentel-d-un-reacteur-nucleaire-prolonge-jusqu-a-la-fin-d-aout_4725296_3244.html -
Examens supplémentaires nécessaires à la cuve du réacteur de Beznau 1 (Suisse)16 juillet 2015, par Yonne Lautre
Lors de mesures par ultrasons à la cuve de pression de la centrale nucléaire de Beznau 1, l’exploitant a constaté des indications devant être évaluées. Il a remis hier un rapport correspondant à l’Inspection fédérale de la sécurité nucléaire (IFSN). Beznau 1 se trouve actuellement en arrêt pour sa révision annuelle principale. L’IFSN attend désormais de la société Axpo une évaluation de ces constats. Le fonctionnement de Beznau 1 ne pourra être repris que si la sécurité de la cuve de pression du réacteur est démontrée.
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Malgré des incidents à répétition, la Belgique ne fermera pas ses centrales vieillissantes24 juin 2015, par Yonne Lautre
La Belgique n’est pas prête de sortir du nucléaire : le Parlement belge a voté jeudi 18 juin la prolongation de deux réacteurs de la centrale nucléaire de Doel, près d’Anvers (Doel1 et 2), qui devaient pourtant être définitivement arrêtés cette année. Et pour cause : ces deux réacteurs sont déjà en activité depuis 40 ans. Avec la loi votée la semaine dernière, ils pourront encore fonctionner jusqu’en 2025, et atteindre 50 ans.
http://www.bastamag.net/Energie-atomique-Nucleaire-Le-Parlement-belge-donne-dix-ans-de-plus-a-des
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