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Association Andidote Europe : Aluminium vaccinal : pourquoi se fier au lapin plutôt qu’au chien ?
Yonne Lautre
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Association Andidote Europe : Signer dans le métro !13 novembre 2017, par Yonne Lautre
Paris le 13 novembre 2017 – L’association de scientifiques Antidote Europe lance une nouvelle campagne d’affichage dans le métro parisien pour mobiliser l’opinion publique contre l’expérimentation animale. Pas d’images choquantes. Plutôt, un appel à soutenir la création d’une Commission d’enquête parlementaire via une pétition (1). Un QR code imprimé sur l’affiche permet d’accéder à la pétition, via les téléphones portables.
La population française mérite d’être mieux informée quant à la pertinence de la recherche animale par rapport à la santé humaine. Certains chercheurs, relayés par beaucoup de médias, affirment avec insistance que l’expérimentation animale reste « un mal nécessaire » et qu’il faut, par exemple, sacrifier des chiens pour sauver des enfants.
Une enquête parlementaire pourrait permettre de rétablir la vérité. Elle rassemblerait des experts scientifiques des deux côtés pour débattre de la validité pour l’homme du « modèle animal ». Les conclusions de cette enquête devraient aboutir à des recommandations pour faire évoluer les lois qui exigent encore la pratique d’essais sur des animaux.
Antidote Europe démontre que les « modèles animaux » utilisés en recherche biomédicale ou en toxicologie ne permettent pas de prédire les réactions biologiques humaines et devraient être remplacés par des méthodes pertinentes pour l’espèce humaine.
Davantage d’informations sur http://antidote-europe.org.
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Association Andidote Europe : Recherche animale : occulter le débat ?9 octobre 2017, par Yonne Lautre
Paris, le 09 octobre 2017 – Dans une lettre ouverte, le comité scientifique permanent d’Antidote Europe demande à Mme Frédérique Vidal, Ministre de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, de prendre en compte les arguments des chercheurs opposés à l’utilisation du « modèle animal » (1). Cette lettre ouverte est la réponse d’Antidote Europe à l’appel au secours lancé par un collectif d’associations caritatives à caractère médical qui demande à Mme Vidal, « d’organiser dès maintenant une véritable opération d’information citoyenne » (2).
Alors que ce collectif évoque l’urgence de « clarifier le débat public sur ce sujet de la recherche animale » dans le cadre du bien-être animal, Antidote Europe perçoit ce courrier comme une tentative d’occulter le débat scientifique sur la validité du modèle animal par rapport à la santé humaine. Or, ce débat, qui est de plus en plus présent dans la littérature scientifique internationale, n’a jamais été, à ce jour, présenté sérieusement au grand public ni pris en compte par les règlementations qui permettent ou imposent les essais sur des animaux.
http://antidote-europe.org/recherche-animale-occulter-debat/
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Association Andidote Europe : Aluminium vaccinal : pourquoi se fier au lapin plutôt qu’au chien ?15 février 2017, par Yonne Lautre
Paris, le 15 février 2017 – Le comité scientifique Antidote Europe félicite les lanceurs d’alerte et les réalisateurs du film « L’Aluminium, les vaccins et les deux lapins », qui dénonce l’implication de l’aluminium vaccinal dans la survenue d’une maladie neurologique grave, la myofasciite à macrophages.
Le scandale sanitaire des adjuvants aluminiques, connu depuis longtemps mais nouvellement mis en lumière, montre une fois de plus les défaillances des normes de sécurité basées sur des études faites sur des animaux. Pourquoi avoir pris pour référence une étude faite sur des lapins et ignorer des effets observés sur des chats et des chiens ? Des lésions cancéreuses ont été observées au point d’injection sur ces deux espèces animales (1) et, de ce fait, l’aluminium est en passe d’être retiré des vaccins à usage vétérinaire. Pourquoi les vaccins destinés à l’homme peuvent-ils encore contenir de l’aluminium ?
La multiplication des observations sur différentes espèces animales ne fait que brouiller les données disponibles pour les responsables de l’autorisation des différents produits chimiques ou pharmaceutiques et permettre aux industriels de mettre en avant les résultats les plus favorables : « En lisant cette étude de 1997 [sur deux lapins], on est effaré par le nombre de fautes qu’elle contient [...] C’est pourtant sur cette base « rassurante » que les agences sanitaires et les sociétés savantes se fondent encore aujourd’hui pour affirmer l’innocuité d’adjuvants aluminiques administrés à des milliards d’individus dans le monde ! » (2)
Antidote Europe appelle donc une nouvelle fois les autorités en charge de la sécurité sanitaire humaine à fonder leurs décisions uniquement sur des observations faites sur l’homme ou sur du matériel humain. Notre comité scientifique se réjouit que de plus en plus de chercheurs et de médecins accusent les essais sur des animaux de permettre des négligences dans la sécurité sanitaire humaine, comme on peut le comprendre sur la bande annonce du film « L’Aluminium, les vaccins et les deux lapins », que nous vous invitons à regarder :
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Jane Goodall demande un débat scientifique sur la validité du « modèle singe »9 février 2017, par Yonne Lautre
Paris, le 9 février 2017 – La célèbre primatologue Jane Goodall appelle à l’organisation d’un débat scientifique rigoureux pour évaluer l’affirmation que des expériences sur des primates non humains permettraient de trouver des traitements efficaces pour les maladies humaines.
Elle vient de réaliser une vidéo dans laquelle elle demande l’organisation d’un débat public, basé sur des arguments scientifiques rigoureux, sur la question de savoir si les expériences sur des primates non humains – et sur d’autres animaux- peuvent prédire les réponses des patients humains.
Le Dr Goodall répond aux critiques du professeur Roger Lemon, qui expérimente sur des primates et qui a dénoncé une lettre ouverte aux responsables britanniques et européens du financement et de l’autorisation de ces recherches, lettre ouverte signée par Jane Goodall et Sir David Attenborough (rédacteur scientifique et chercheur naturaliste britannique renommé) dans laquelle ils appellent à mettre fin aux expériences invasives sur des primates (1).
Dans sa déclaration filmée, Jane Goodall demande au Pr Lemon de justifier son affirmation que « les expériences sur des primates bénéficient aux humains » en présentant ses preuves dans un débat scientifique public. A ce jour, plus d’une centaine de parlementaires britanniques de différents partis appellent à l’organisation d’un tel débat, dont les modalités ont été approuvées et qualifiées de « correctes et justes » par Me Michael Mansfield, avocat bien connu au Royaume Uni pour sa défense des droits de l’homme.
Jane Goodall, fondatrice de l’Institut Jane Goodall (http://janegoodall.fr/) et Messagère de la paix des Nations Unies, déclare : "Suite aux récentes critiques adressées par le professeur Roger Lemon à moi-même, à Sir David Attenborough et à l’éminent expert médical, le Dr Ray Greek, je demande au Pr Lemon d’accepter de participer à un débat scientifique public dûment modéré avec le Dr Ray Greek, ainsi que demandé par la motion parlementaire EDM 400 et par 133 membres du parlement qui, à ce jour, ont signé 4 motions parlementaires dans ce sens.
L’heure est venue d’évaluer de façon rigoureuse et approfondie les expériences sur des animaux, en utilisant les modalités bien établies de l’évaluation par les pairs, soit des experts indépendants des différents domaines de compétences scientifiques. Ces experts seront présents pour évaluer la validité des positions scientifiques de part et d’autre et, ainsi, pour conseiller les responsables de la réglementation sur la meilleure façon de progresser, dans l’intérêt de toute forme de vie sur Terre."Voir la vidéo du Dr Jane Goodall :
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De la recherche animale avec l’argent du Téléthon ?24 novembre 2016, par Yonne Lautre
Le Téléthon permet, chaque année, de recueillir des dons pour aider des malades mais aussi pour la recherche biomédicale. Cette recherche utilise-t-elle les meilleures méthodes disponibles ? Nous avons interrogé la présidente de l’AFM-Téléthon.
téléthon recherche animaleLe premier week-end de décembre aura lieu, comme chaque année, le Téléthon, immense événement médiatique pour collecter des dons au profit de l’AFM-Téléthon, une association dont le conseil d’administration est composé de malades et parents de malades (http://www.afm-telethon.fr/). Si le but de venir en aide à ces malades, à leurs familles, et de soutenir la recherche de thérapies est louable, nous nous interrogeons sur les méthodes utilisées pour mener à bien ces recherches, sur des maladies neuromusculaires principalement.
http://antidote-europe.org/recherche-animale-argent-telethon/
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Association Andidote Europe : N’attendons pas que l’accident se produise13 juin 2016, par Yonne Lautre
Paris, le 13 juin 2016 - Antidote Europe, comité Paris, le 13 juin 2016 - Antidote Europe, comité scientifique, interpelle le Haut Conseil des Biotechnologies au sujet de recherches prévues au CEA (Commissariat à l’énergie atomique) de Fontenay-aux Roses. Cet établissement a reçu un avertissement de l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) pour son manque de transparence dans l’assainissement et le démantèlement des installations nucléaires civiles. Mais il y a pire pour les habitants de Fontenay : le danger d’« évasion » d’agents infectieux dans un environnement... très peuplé !
Alors que ces habitants ont été exposés durant des années au danger lié aux études sur le nucléaire, désormais, ils seront exposés à des risques biologiques en raison d’activités de recherche liées à certains virus et prions, pour certains, génétiquement modifiés. Il existe sur le site du CEA une demi-douzaine de structures travaillant sur des virus, des bactéries, des parasites et des agents pathogènes non-conventionnels (type prions). Certaines de ces recherches se font sur des « modèles animaux » infectés, notamment sur des singes.
Le CEA est agréé à un niveau de sécurité P3 (pathogène de classe 3) , ce qui signifie qu’il s’agit d’un laboratoire de microbiologie à haut risque pour la santé humaine et pour l’environnement.
Or, même à partir de confinements P4 (le niveau de sécurité le plus important), des agents infectieux faisant l’objet d’expériences peuvent se retrouver dans l’environnement. Un cas de fuite du virus de la fièvre aphteuse s’est produit à Pirbright au Royaume Uni. Un autre incident a eu lieu suite à une coupure d’alimentation électrique au P4 du CDC (Centers for Disease Control, laboratoires de référence en recherche sur les agents infectieux aux Etats-Unis) à Atlanta. Outre les fuites accidentelles, de telles installations peuvent être la cible d’actes de bioterrorisme. Monsieur Manuel Valls, Premier ministre, vient pourtant d’inaugurer l’extension d’un laboratoire P4 à Lyon, au parc scientifique biopôle de Gerland, en pleine ville aussi, donc, le « plus grand laboratoire européen de haute sécurité biologique » dont se félicite l’Inserm (1).
Antidote Europe considère que la manipulation d’agents infectieux au sein d’établissements si proches des populations humaines, constitue une infraction à l’article 11 du préambule de la Constitution qui garantit par l’Etat la protection de la santé individuelle et publique, ainsi qu’à l’article 3 de la Charte de l’environnement relatif au principe de prévention. A ce propos, Antidote Europe a interpellé l’organisme compétent ainsi que nos élus afin qu’ils agissent avant que l’accident se produise.
Voir notre lettre sur http://antidote-europe.org/public/Courrier_Haut_conseil_biotechnologies.pdf
Pour plus d’informations, voir http://antidote-europe.org/cea-troque-atomes-contre-virus
(1) http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-alpes/2015/05/09/lyon-manuel-valls-inaugure-lundi-l-extension-du-laboratoire-p4-721327.html
Contacts médiasAntidote Europe
25 rue Jacques Callot
66000 Perpignan
France
Tél : 33(0)4 68 80 53 32 -
Lettre ouverte à Marisol Touraine23 janvier 2016, par Yonne Lautre
Madame la Ministre de la Santé,
Le drame des essais cliniques de Rennes, un « évènement d’une extrême gravité », dites-vous. Ne serait-ce pas plutôt un dramatique mais banal effet secondaire de médicament, comme il s’en reproduit des dizaines de milliers par an en France ? Selon un de vos prédécesseurs, M. Bernard Kouchner, il y avait, déjà en 1997, 20 000 morts et 1,3 millions d’hospitalisations par an en France, du seul fait d’effets secondaires de médicaments, tous testés « avec succès » sur des animaux « modèles ». La cause première et unique de cette hécatombe, y compris de ce drame de Rennes : la confiance aveugle, pour des questions de santé humaine, dans les résultats obtenus précisément sur des animaux « modèles ».
La notion de « modèle » est, en biologie, une pure fiction : aucune espèce n’est un modèle biologique pour une autre. La preuve irréfutable est dans la définition même d’une espèce, son isolement reproductif (les gamètes mâles et femelles ne peuvent se recombiner s’ils ne proviennent pas de la même espèce). Les patrimoines génétiques d’espèces différentes sont donc différents, chaque espèce va réagir à une maladie ou à une agression extérieure avec ses gènes, il n’y a donc aucune raison que la réaction à un candidat médicament d’un chien soit identique à celle d’un singe, ou que celles d’un chien ou d’un singe soient identiques à celle d’un humain. C’est une évidence scientifique qui s’impose sans discussion si on veut éviter des drames, qui font la une des journaux comme l’affaire de Rennes, ou qui se déroulent dans l’anonymat pour les dizaines de milliers de morts, victimes d’effets secondaires de médicaments tous les ans. Vos services de pharmacovigilance ont dû vous en communiquer le chiffre, mais il est sans doute frappé du sceau « Secret », puisque nous vous l’avons déjà demandé plusieurs fois, en vain jusqu’ici.
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Stop aux expériences sur des personnes saines !20 janvier 2016, par Yonne Lautre
Paris, le 20 janvier 2016 - Suite au désastre de l’essai clinique du BIA 10-2474, Antidote Europe remet en question le recrutement de volontaires sains pour des essais de médicaments et envoie une lettre ouverte à Madame Marisol TOURAINE (1).
Tester des médicaments sur des volontaires sains est contestable scientifiquement et juridiquement.
Sur le plan scientifique, un organisme sain n’est pas un modèle fiable pour tester des médicaments destinés aux personnes malades. De la même façon que l’on ne teste pas la chimiothérapie sur des volontaires sains, vu ses effets néfastes sur la santé, on ne devrait pas non plus tester de nouvelles molécules chez des humains sains. Les essais cliniques de phase 1 représentent une aberration et un raccourci dangereux pour obtenir des données pertinentes pour l’homme.
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Association Andidote Europe Brèves4 octobre 2015, par Yonne Lautre
Antidote Europe a le plaisir d’annoncer la sortie de son clip « Santé humaine : il y a urgence ! ». D’une durée d’un peu moins de 4 minutes, il permettra même aux plus pressés, aux scientifiques et aux non scientifiques, de prendre connaissance des enjeux de notre combat.
Pour le visionner, rendez-vous en page d’accueil de notre site (http://antidote-europe.org) ou sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=pgDHt72j2g4
Nos chercheurs tirent la sonnette d’alarme sur la dégradation de la santé publique, expliquent que la recherche animale ne peut pas apporter les solutions, bien au contraire, et réitèrent notre appel à un débat scientifique public sur la pertinence du « modèle animal ». Car des solutions existent, elles se fondent sur une science moderne et responsable.
Nos militants, filmés sur un stand tenu récemment, diffusent ces informations si importantes pour nous et pour les générations à venir. Ils vous invitent à nous rejoindre.
Nous remercions très vivement toutes les personnes qui, par leurs dons suite à l’appel que nous avions lancé dans La Notice d’Antidote de juin dernier, ont permis la réalisation de cette vidéo réalisée par David Desgardin. Nous remercions tout aussi vivement tous ceux d’entre vous qui nous aideront à faire connaître ce petit film.
Profitez de cette occasion pour faire un tour sur notre site, des nouvelles y sont publiées régulièrement, et n’hésitez pas à faire suivre ce message à tous vos contacts.
Pour une recherche biomédicale et toxicologique sans recours à l’expérimentation animale, réellement fiable et utile pour l’homme, continuons à agir ensemble !
Très cordialement,
Hélène Sarraseca
Co-fondatrice -
Antidote Europe exprime son soutien au livre d’Audrey Jougla25 septembre 2015, par Yonne Lautre
Paris, le 24 septembre 2015. Le débat sur l’expérimentation animale ne cessera pas tant qu’il ne sera pas traité de façon transparente et dans tous les aspects qu’il recouvre. Le livre « Profession : animal de laboratoire » d’Audrey Jougla (éditions Autrement) représente une contribution importante dans ce sens.
Audrey Jougla dévoile avec grand courage la face cachée de la recherche impliquant les animaux de laboratoire et éclaircit par la suite la désensibilisation presque inaperçue du personnel impliqué dans cette recherche. Son oeuvre constitue une mise à jour importante d’où va découler une prise de conscience du grand public sur ce que revêt réellement l’expérimentation animale en France aujourd’hui. On comprend à présent pourquoi ces chercheurs préfèrent garder leur petit secret.
Ceux-ci devront, dans un premier temps, se préparer à apporter des réponses cohérentes aux contribuables et, en second lieu, accepter de participer à un débat rigoureusement scientifique : en quoi - contrairement aux connaissances actuelles en matière de biologie de l’évolution – l’animal, selon ces chercheurs, représente-t-il un modèle fiable pour l’étude des maladies humaines ?
Cette oeuvre s’ajoute aux faits récents (l’initiative citoyenne européenne Stop Vivisection notamment) qui font de l’expérimentation animale une « patate chaude » pour les chercheurs qui voudraient nous faire croire encore en ce 21ème siècle que tout cela est un « mal nécessaire ».
Il reste dès lors à mobiliser les scientifiques honnêtes et possédant l’esprit critique requis pour ce métier, afin que l’édifice de l’expérimentation animale puisse s’effondrer comme un château de cartes.
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Association Andidote Europe : Comités d’éthique : la loi du plus fort4 avril 2015, par Yonne Lautre
Perpignan, le 3 avril 2015 - Antidote Europe vient de publier sur son site l’interview de Marco Mamone Capria, professeur de mathématiques et d’histoire des sciences à l’Université de Pérouse, en Italie, ancien membre titulaire du comité d’éthique de son université. Le comité d’éthique reçoit les projets d’expérimentations sur des animaux et doit évaluer leur pertinence et le respect du bien-être animal.
Le témoignage du professeur Mamone Capria est très éclairant sur le fonctionnement réel de ces comités : « Sur pratiquement tous les projets de recherche animale, le reste du comité se braquait de telle façon qu’il m’a été presque impossible, sur les deux dernières années, de participer aux réunions sans courir le risque d’être hué ou autrement harcelé. [...] Donc, quand je dis (et je l’ai dit souvent) que les comités d’éthique académiques, quelle que soit leur composition, ne sont pas un rempart contre les atteintes à la rationalité, aux principes éthiques, ou même aux lois concernant l’expérimentation animale, je parle d’après mon expérience directe, laquelle, cela vaut la peine d’être précisé, n’a pas lieu d’être considérée comme unique à mon université. »
http://antidote-europe.org/comites-dethique-la-loi-du-plus-fort-communique-de-presse/
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Recherche animale : allégations contre preuves26 mars 2015, par Yonne Lautre
Paris, le 26 mars 2015 – Avant l’audition publique qui doit avoir lieu prochainement au Parlement européen dans le cadre de l’initiative citoyenne européenne Stop Vivisection, les défenseurs de l’expérimentation animale affirment : « Le Parlement européen et la Commission doivent s’opposer à l’initiative citoyenne Stop Vivisection »… A quoi servirait donc cet outil de démocratie directe si le Parlement et la Commission s’opposaient à une demande faite par plus d’un million de citoyens ? Et pourquoi les institutions européennes devraient-elles faire plus de cas d’allégations formulées par des personnes ayant des intérêts dans la chose jugée plutôt que de preuves fournies par des chercheurs indépendants ?
http://antidote-europe.org/recherche-animale-allegations-contre-preuves/
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Association Andidote Europe : Un nouveau paradigme scientifique pour l’Europe16 mars 2015, par Yonne Lautre
Paris, le 16 mars 2015 - A la veille d’une importante réunion des présidents de commissions au Parlement européen le 20 mars prochain, le comité organisateur de l’initiative citoyenne européenne Stop Vivisection a fait parvenir à ces présidents, ainsi qu’à tous les députés européens, une lettre qui expose les arguments scientifiques de « Stop Vivisection » et ses enjeux pour la santé humaine.
http://stopvivisection.eu/sites/default/files/spedizione_fr.pdf
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Association Andidote Europe : Un million cent soixante treize mille cent trente et une !7 mars 2015, par Yonne Lautre
Paris, le 6 mars 2015 - Antidote Europe, association créée par des chercheurs pour promouvoir une recherche moderne réellement au service de la santé humaine, engagée pour cette raison dans l’initiative citoyenne européenne STOP VIVISECTION, est heureuse d’annoncer que les signatures certifiées, au nombre de 1.173.131, ont été présentées à la Commission européenne le 3 mars dernier.
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Association Andidote Europe : Singeries23 janvier 2015, par Yonne Lautre
Antidote Europe, association sans but lucratif créée par des chercheurs issus du CNRS, a pour but de mettre en œuvre les progrès scientifiques au bénéfice de la santé humaine (ce n’est pas une association pour le bien-être animal). Nous dénonçons la primaterie de Niederhausbergen et son extension, le but absurde est la« recherche médicale humaine » ou les « essais d’activité d’efficacité ou de toxicité des médicaments » d’après la réponse ministérielle, publiée début janvier, à une question écrite de Mme la Députée Arlette Grosskost.
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Des Eurocandidats s’engagent pour Stop Vivisection24 mai 2014, par Yonne Lautre
Paris, le 23 mai 2014 - L’initiative citoyenne européenne Stop Vivisection sera la première initiative citoyenne examinée par le nouveau Parlement européen et la nouvelle Commission européenne. Elle vient de recueillir le soutien de nombreux candidats aux élections du Parlement européen dans plusieurs pays de l’Union.
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Diane 35 : encore un symptôme d’une réglementation inefficace7 février 2013, par Yonne Lautre
Perpignan, le 7 février 2013. Antidote Europe félicite les médias qui informent le grand public sur les graves effets secondaires des médicaments. Le Mediator est encore dans les mémoires. Voici maintenant Diane 35. Les effets secondaires, tous médicaments confondus, provoqueraient environ 20.000 décès par an en France, toutefois un chiffre exact est difficile à obtenir. Cette estimation doit inciter à poser au moins les questions suivantes : pourquoi les médicaments ont-ils autant d’effets secondaires ? Ne serait-il pas possible de prévoir ces effets ?
http://antidote-europe.org/fr/releases/diane-35-another-symptom-of-poor-regulation/
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Association Andidote Europe Brèves Attendre 2 ou 4 ans pour ne pas connaitre les effets des OGM ?5 février 2013, par Yonne Lautre
Face aux voix qui s‘élèvent pour demander une réglementation imposant de tester les OGM sur des rongeurs pendant 2 ans, Antidote Europe propose une évaluation véritablement scientifique, pertinente pour l’homme, en 4 mois et pour un coût très abordable.
Utopie ? Pas du tout. Antidote Europe est une association créée par des chercheurs issus du Centre national de la recherche scientifique (CNRS) oeuvrant pour une meilleure prévention en matière de santé humaine. Elle a déjà mis en oeuvre les méthodes qu’elle propose pour tester des substances chimiques dont le bisphénol A, démontrant dès 2005 ses effets toxiques qui ne seront reconnus par d’autres méthodes qu‘à partir de 2009, soit plus de 4 ans de perdus par les responsables de la réglementation, avant d’interdire cette substance. Antidote Europe a fait récemment une nouvelle étude (publiée dans la presse scientifique spécialisée (1)) portant sur la toxicité de mélanges de pesticides. Cette évaluation d’un mélange de substances présentes dans notre organisme est une grande première qui ouvre la voie à une toxicologie globale, pratiquement irréalisable par la toxicologie empirique sur “modèles” animaux.
http://antidote-europe.org/fr/releases/why-wait-2-or-more-years-to-not-find-out-the-effects-of-ogm/
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En savoir plus sur ce Monde qui se réchauffe, se dérègle (...)
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