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Agir pour les Droits des travailleurs migrants en Europe
Yonne Lautre
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Accidents de la route, réseaux opaques... Le calvaire des migrants exploités pour la cueillette de tomates dans le sud de l’Italie19 août 2018, par Yonne Lautre
La production de tomates est l’une des activités les plus importantes de la province de Foggia, dans les Pouilles italiennes. La récolte est assurée par plusieurs milliers d’immigrés, africains pour la plupart, qui travaillent dans des conditions difficiles.
Un travailleur immigré marche près de Foggia (Italie), le 8 août 2018, pendant la manifestation organisée après la mort de seize cueilleurs de tomates, lors de deux accidents de la route.
https://www.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/accidents-de-la-route-reseaux-opaques-le-calvaire-des-migrants-exploites-pour-la-cueillette-de-tomates-dans-le-sud-de-l-italie_2895941.html -
Les nouvelles méthodes des passeurs pour rançonner toujours plus les migrants3 janvier 2015, par Yonne Lautre
Les deux cargos laissés à la dérive fin 2014 et début 2015 au large de l’Italie, avec au total plus de 1 200 migrants à leur bord, montrent que les trafiquants ont changé de tactique. Aux canots de pêche et autres frêles embarcations, ils préfèrent désormais entasser plusieurs centaines de personnes dans des vieux navires destinés au fret ou au transport de bétail, qu’ils abandonnent en pleine mer pour échapper aux autorités, mettant la vie des passagers en péril.
http://www.francetvinfo.fr/monde/les-nouvelles-methodes-des-passeurs-pour-ranconner-toujours-plus-les-migrants_786855.html#xtor=EPR-2-[newsletterquotidienne]-20150103-[lestitres-coldroite/titre3]
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Agir pour les Droits des travailleurs migrants en Europe Appel à la solidarité militante9 octobre 2014, par Yonne Lautre
Vous trouverez ci-dessous un message de Gustave Massiah du CEDETIM (Centre d’études et d’initiatives d’études internationales)
Il relaie l’appel d’une responsable du GISTI (Groupe d’information et de soutien des immigré-e-s) en faveur du rachat - à prix cassé : 7,80 euros - d’un atlas élaboré par Migreurop réseau européen d’associations, de chercheurs et de militants qui fait connaître, analyse et dénonce la généralisation de l’enfermement des étrangers dépourvus de titre de séjour et l’externalisation des contrôles, qui sont au cœur de la politique migratoire de l’Union européenne.
Fruit d’un long travail de terrain auprès des migrants et des populations maintenues en centre de rétention, les cartes, textes, graphiques et photographies inédits ici rassemblés, dans cet atlas, permettent de saisir et comprendre des réalités complexes et peu connues du grand public.
Cet ouvrage mérite de figurer, par exemple, dans les bibliothèques syndicales, associatives ou de comités d’entreprise
En achetant cet ouvrage à prix vraiment cassé, vous pouvez, vous ou votre organisation si vous le souhaitez, témoigner de votre solidarité à l’égard des militant(e)s investi(e)s dans la défense des droits des immigrés et des demandeurs d’asile en diffusant le fruit de leur travail.
Amicalement
Loïc
C’est un très bel et très utile ouvrage
c’est bien triste de le voir partir au pilonsi vous le pouvez, commandez un ou plusieurs exemplaires
(à 7,80 E au lieu de 19,50 E)amitiés
Gustave Massiah -
Europe : les migrants ne profitent pas indûment des aides sociales23 octobre 2013, par Yonne Lautre
Les citoyens d’Europe de l’Est vivent-ils aux crochets des pays les plus « riches » de l’Union européenne, en bénéficiant de largesses concernant les aides sociales et en siphonnant les prestations de santé des « autochtones » ? C’est le cliché que tente de faire tomber la Commission européenne, à qui vient d’être remis un rapport du cabinet-conseil ICF-GHK sur l’impact des migrants européens non-actifs sur les systèmes de sécurité sociale.
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Esclavage En Grèce, les fraises se paient le prix du sang24 avril 2013, par Yonne Lautre
Par Effy Tselikas (24 avril 2013)
Dans la région de Manolada, en Grèce, des exploitants agricoles ont ouvert le feu, le 17 avril, sur les travailleurs migrants venus réclamer leur paie. Trente d’entre eux ont été blessés. Corvéables à merci dans ces zones de non droit, ils n’avaient pas été payés depuis six mois. Ou comment, en 2013, des esclavagistes modernes sévissent en toute impunité en Europe. Récit.