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Fleuves & Rivières dans le Monde : Rivières toxiques : la lutte contre l’accaparement de l’eau par les plantations de palmiers à huile
Yonne Lautre
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En Tunisie, le principal fleuve est empoisonné par l’industrie13 janvier 2021, par Yonne Lautre
La Medjerda, principal fleuve de Tunisie, traverse le nord du pays pour se jeter dans la Méditerranée. Il alimente en eau la population et l’agriculture mais est fortement pollué par les égouts, et surtout, l’industrie. « L’État n’a pas de stratégie pour limiter le danger qui sort des usines », se lamentent paysans et riverains.
https://reporterre.net/En-Tunisie-le-principal-fleuve-est-empoisonne-par-l-industrie -
Fleuves & Rivières dans le Monde : Rivières toxiques : la lutte contre l’accaparement de l’eau par les plantations de palmiers à huile9 décembre 2020, par Yonne Lautre
Alors que le monde continue à lutter contre une pandémie, l’accès à l’eau potable est devenu plus important que jamais – d’autant que l’un des meilleurs moyens de se protéger contre le COVID-19 consiste à se laver régulièrement les mains avec de l’eau propre. C’est une recommandation simple, mais potentiellement difficile à respecter, surtout pour les communautés qui sont de plus en plus confrontées à des pénuries d’eau. Les gens peinent à accéder à une eau en quantité et qualité nécessaires pour boire, cuisiner, faire leur toilette, se laver les mains et produire leur alimentation.
https://grain.org/e/6581 -
Mort d’une rivière amazonienne asphyxiée par les centrales hydroélectriques et les mines12 juin 2020, par Yonne Lautre
Des tonnes de poissons meurent dans le Teles Pires, qui traverse l’État brésilien du Mato Grosso, contaminé par le mercure provenant d’extractions minières illégales.
https://elpais.com/elpais/2020/05/12/planeta_futuro/1589279924_166617.html
Quelques passages traduits de l’espagnol :
La première mort massive de poissons est survenue en février 2019, une semaine seulement après l’ouverture des vannes de la centrale hydroélectrique de Sinop. Le conglomérat responsable de la centrale, dont 51% est détenu par la société française EDF, au capital à 83,6% public, a ramassé moins de la moitié des poissons morts ; le reste a été enterré par la population locale.
« Les centrales hydroélectriques dans les tropiques sont particulièrement préjudiciables aux efforts déployés pour contrôler le réchauffement climatique », affirme M. Fearnside dans son étude. « Les centrales électriques de la forêt amazonienne peuvent émettre de très grandes quantités de gaz à effet de serre, principalement dans les premières années suivant l’inondation des réservoirs », ajoute ce biologiste, qui a démontré que l’hydroélectricité n’est pas aussi propre et verte qu’elle est censée l’être. Balbina est un autre barrage amazonien qui n’a pas enlevé la végétation du réservoir, et ses études montrent qu’il émet 11 fois plus de gaz qu’une centrale thermoélectrique de même capacité énergétique. Une autre des centrales hydroélectriques tropicales qui montre cette combinaison climatique explosive est la centrale hydroélectrique du Petit Saut en Guyane française, qui a inondé 370 kilomètres carrés de forêt pour produire 116 MW et qui est également gérée par la société française EDF.
T U
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Le Colorado, un fleuve en péril27 mai 2019, par Yonne Lautre
Plus de 40 millions d’habitants de l’Ouest américain dépendent de ce fleuve surexploité qui alimente le plus grand réservoir artificiel d’eau douce des Etats-Unis. Dans sa série « No Agua, No Vida », le photographe John Trotter pointe un pompage excessif malgré la sécheresse.
https://www.lemonde.fr/m-le-mag/article/2019/05/27/le-colorado-un-fleuve-en-peril_5467727_4500055.html -
Et au milieu coulait une rivière… polluée4 août 2018, par Yonne Lautre
Les guerres de l’eau aux Etats-Unis (6/6). Dans le Montana, la rivière Blackfoot célébrée par l’écrivain Norman Maclean a été souillée par l’élevage, les exploitations forestières et les mines. A la fin du vingtième siècle, elle ne comptait plus la moindre truite.
https://www.lemonde.fr/planete/article/2018/08/04/et-au-milieu-coulait-une-riviere-polluee_5339324_3244.html -
Dans les méandres des fleuves11 mars 2018, par Yonne Lautre
Dans les méandres des fleuves (1/4) : Nil, Indus, Ravi : le complexe de l’aval
58 min
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Cultures Monde
LE 05/03/2018L’Afghanistan, la Chine, l’Inde, l’Egypte, l’Irak, autant de pays partageant des frontières fluviales en proie à des conflits liés à la répartition des...
Dans les méandres des fleuves (2/4) : Moussons, inondations, montée de la mer : les deltas face aux aléas du climat
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Cultures Monde
LE 06/03/2018Si le changement climatique accélère les crues dévastatrices, renforce les cyclones et fait monter le niveau de la mer sur toute la planète, les deltas...
Dans les méandres des fleuves (3/4) : Du Niger au Zambèze : les fleuves africains à l’épreuve du développement
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Cultures Monde
LE 07/03/2018Niger, Congo, Crocodile, faut-il tenter d’endiguer les fleuves africains pour les rendre navigables et permettre ainsi de dynamiser les échanges ? Ne risque-t-on...
Dans les méandres des fleuves (4/4) : De l’Amazone au Whanganui, l’identité sacrée des peuples
58 min
Dans les méandres des fleuves (4/4) : De l’Amazone au Whanganui, l’identité sacrée des peuples
Cultures Monde
LE 08/03/2018Aujourd’hui encore, les communautés amérindiennes des rives de l’Oyapock et de l’Amazone partagent une même identité, le fleuve conditionne tant d’aspects...
https://www.franceculture.fr/emissions/series/dans-les-meandres-des-fleuves
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En Nouvelle-Zélande, un fleuve reconnu comme une entité vivante16 mars 2017, par Yonne Lautre
Une décision qui pourrait être une première mondiale. Un fleuve considéré comme sacré par les Maoris a été reconnu par le Parlement néo-zélandais comme une entité vivante. Le Whanganui, le troisième plus long cours d’eau du pays, s’est vu doter, mercredi 15 mars, d’une « personnalité juridique, avec tous les droits et les devoirs attenants », a détaillé le ministre de la justice, Chris Finlayson.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2017/03/16/en-nouvelle-zelande-un-fleuve-reconnu-comme-une-entite-vivante_5095219_3244.html -
Le Colorado, ce fleuve surexploité qui n’atteint plus la mer31 août 2016, par Yonne Lautre
Le puissant fleuve de 2 200 kilomètres qui prend sa source dans les Rocheuses n’est plus qu’un ruisseau lorsqu’il rejoint l’Océan Pacifique. Alimentation en eau potable de Las vegas et Los Angeles et surtout, culture irriguée de la luzerne et élevage bovin intensif inappropriés au milieu naturel, le Colorado est victime de sa surexploitation. Depuis une dizaine d’années, les barrages américains l’empêchent presque totalement de couler jusqu’au Mexique, dans la mer de Cortés.
http://eausecours-orleanais-45.blogspot.fr/2016/08/le-colorado-ce-fleuve-surexploite-qui.html -
Aux Etats-Unis, le gouvernement pollue une rivière par accident11 août 2015, par Yonne Lautre
C’est un coup d’éclat dont se serait volontiers passée l’agence américaine de protection de l’environnement (EPA). Des employés de l’institution ont déversé par accident plus de 11 millions de litres de déchets liquides d’une ancienne mine d’or dans une rivière du Colorado, la faisant virer à l’orange.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/pollution/article/2015/08/10/l-agence-de-protection-de-l-environnement-americaine-pollue-une-riviere-par-accident_4719825_1652666.html -
Fleuves & Rivières dans le Monde : Aux sources du Yangzi, « long fleuve » en péril26 juillet 2015, par Yonne Lautre
Voilà quelques heures que la caravane de 4 × 4 s’est embourbée dans la steppe dégelée par le lever du jour. C’est le début de l’été, les seuls mois où les températures rendent l’expédition envisageable, mais aussi ceux où le permafrost dégèle en milieu de journée. Derrière ces vallées aux dimensions infinies, dont les teintes passent du blanc glacé aux couleurs plus chaudes selon les heures, se profilent enfin le massif des Tanggula et ses pics dépassant les 6 000 mètres.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/paris-climat-2015/article/2015/07/25/aux-sources-du-yangzi-long-fleuve-en-peril_4698315_4527432.html -
En rivière, la mondialisation s’accélèr29 août 2014, par Yonne Lautre
A l’échelle de la planète, les poissons d’eau douce seront-ils un jour tous les mêmes d’une rivière à l’autre ? Si le scénario semble fort improbable, une homogénéisation est déjà en cours. Et elle pourrait bientôt connaître une forte accélération, selon une étude française publiée dans la revue Diversity and Distributions.
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L’accaparement du Nil, un scénario qui inquiète l’Egypte23 mai 2013, par Yonne Lautre
par Fouâd Harit
L’Egypte voit la ruée étrangère vers les terres agricoles en Afrique comme une menace pour ses ressources en eau. Les acquisitions par des pays étrangers de milliers d’hectares de terres au Soudan et en Ethiopie nécessitent une plus grande consommation d’eau. L’ennui est que ces trois pays puisent leur eau dans le Nil. Les besoins sont telles qu’il ne reste aujourd’hui plus beaucoup d’eau dans le fleuve.
Les plaines fertiles du continent africain attisent la convoitise des pays étrangers. A ce sujet, le Soudan et l’Ethiopie sont les destinations privilégiés de l’Arabie Saoudite, la Corée du Sud, la Chine et l’Inde où ces pays font l’acquisition de terres pour la production de blé, de riz et de maïs pour ensuite les exporter chez eux. La Corée du Sud, qui importe 70% de ses céréales, et l’un des plus gros exploitants agricoles au Soudan. Il a acquis 688 000 hectares dans le pays pour produire du blé. En Ethiopie, c’est l’Arabie Saoudite qui y trouve son compte. Une entreprise saoudienne a loué une terre de 10 000 hectares, avec la possibilité de l’étendre à 300 000, pour cultiver du riz. L’Inde y loue plusieurs milliers d’hectares pour la production de son maïs, de son riz et autres cultures.
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