21 octobre 2016 Tsipras sans opposition... dans son parti

Le deuxième congrès de Syriza a reconduit Alexis Tsipras à sa tête. Lui et ses partisans défendent un bilan plombé par les effets du mémorandum, et la nécessité d’un front démocratique et progressiste – en Grèce comme en Europe.

http://www.regards.fr/web/article/tsipras-sans-opposition-dans-son-parti


23 janvier 2016 La Grèce, un an après : “Syriza a durablement changé les rapports de forces en Europe”

Aristide Baltas, le ministre grec de la Culture, revient sur la période charnière que son pays a traversée. Les avancées, l’Europe, la gauche, la culture… Le Grec reste philosophe avant tout.

http://www.telerama.fr/idees/syriza-a-durablement-change-les-rapports-de-forces-en-europe,137239.php


9 septembre 2015 Zoe Konstantopoulou : « Tsipras a accepté de dissoudre Syriza »

De retour de New York où elle s’est exprimée devant l’ONU, la présidente du parlement grec Zoe Konstantopoulou explique sa rupture avec Alexis Tsipras et rappelle qu’en Grèce comme au sein de l’Europe, « la première question est celle de la démocratie ».

http://cadtm.org/Zoe-Konstantopoulou-Tsipras-a


25 août 2015 Sia Anagnostopoulou « En Grèce et en Europe, nous sommes plutôt au début de la lutte qu’à la fin »

Ministre déléguée aux Affaires européennes du gouvernement grec, élue Syriza de Patras, Sia Anagnostopoulou explique les raisons 
qui ont poussé le premier ministre Alexis Tsipras à remettre sa démission et à organiser des élections anticipées en septembre.

http://www.humanite.fr/sia-anagnostopoulou-en-grece-et-en-europe-nous-sommes-plutot-au-debut-de-la-lutte-qua-la-fin-581992


23 août 2015 Syriza, la gauche radicale et ses démons

L’unité de la coalition au pouvoir en Grèce n’a pas résisté au troisième mémorandum imposé par les institutions européennes. Un scénario de rupture bien connu au sein de la gauche de gauche, face à la question de l’exercice du pouvoir.

http://www.regards.fr/web/article/syriza-la-gauche-radicale-et-ses


31 juillet 2015 La démocratie aux ordures Analyse d’une politique européenne néo-coloniale

Endetter et punir : à propos de la déclaration finale du Sommet de la zone euro sur la Grèce.

(à Zoe Mavroudi et Zoe Konstantopoulou)

Volonté manifeste de briser l’expression du suffrage universel ; peuples tournés les uns contre les autres ; prise en otage des classes populaires (travailleurs précaires, immigrés, chômeurs, salariés, petits épargnants, retraités) par la mise en place d’un blocus financier destiné à forcer la main d’un gouvernement élu ; chantage à la sortie désordonnée de l’euro, précipitant la signature d’un accord odieux ; mise sous tutelle des pouvoirs législatif et exécutif ; appropriation des ressources d’un pays ― tout ceci dans le cadre d’une Union à laquelle chaque État est censé appartenir de plein droit : rarement les institutions issues du processus d’intégration européenne amorcé après-guerre auront montré visage plus repoussant que lors du dernier tour de négociations entre la Grèce et ses créanciers.

http://lmsi.net/la-democratie-aux-ordures


8 juillet 2015 Grèce : Yanis Varoufakis démissionne avec panache

Le ministre des Finances grec Yanis Varoufakis a annoncé lundi matin sa démission pour aider Alexis Tsipras dans les difficiles négociations avec la troïka. Au lendemain de l’écrasante victoire du non au référendum sur les propositions des créanciers d’Athènes, c’est sur son blog qu’il a annoncé son départ :

http://www.politis.fr/Grece-Yanis-Varoufakis-annonce-sa,31811.html


8 juillet 2015 Un « Grexit » coûterait plus cher à la zone euro qu’un allègement de la dette

La question empoisonne les relations entre Athènes et ses partenaires européens depuis des mois. Pour le gouvernement d’Alexis Tsipras, alléger la dette publique, qui culmine à 177 % du produit intérieur brut (PIB), doit être au cœur des négociations. Aux yeux de la chancelière Angela Merkel, qui a promis aux contribuables allemands que l’aide à la Grèce ne leur coûterait pas un euro, le sujet est tabou. Et pourtant : la dette publique hellène est insoutenable et n’échappera pas à un nouvel allégement, jugent la majorité des économistes. Un point de vue partagé par le Fonds monétaire international (FMI).
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/07/08/la-dette-hellene-au-c-ur-des-debats_4675174_3234.html


8 juillet 2015 Déclaration d’Éric Toussaint sur la très belle victoire historique du NON en Grèce

La très belle victoire historique du NON montre une fois de plus que les citoyennes et citoyens de Grèce refusent d’accepter le chantage des créanciers. Comme le montre le rapport préliminaire de la Commission pour la vérité sur la dette grecque, l’Etat grec dispose de plusieurs arguments légaux pour suspendre le paiement ou répudier unilatéralement des dettes ilégitimes, illégales et/ou odieuses.

http://cadtm.org/Declaration-d-eric-Toussaint-sur


7 juillet 2015 La levée en masse du peuple grec contre l’austérité

Malgré le chantage et les menaces d’étranglement financier, les Grecs ont opposé un non retentissant à leurs usuriers, comme les y invitait Alexis Tsipras. «  OXI !  » ont-ils dit à toute nouvelle cure d’austérité, malgré la stratégie de terreur choisie par les eurocrates.

http://www.humanite.fr/la-levee-en-masse-du-peuple-grec-contre-lausterite-578744


6 juillet 2015 Référendum grec : « Rien ne sera plus jamais comme avant »

Depuis l’annonce de la tenue d’un référendum en Grèce, la classe politique européenne est en émoi. « Je demande au peuple grec de voter oui, indépendamment de la question qui sera posée » a notamment déclaré le président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker ? Que vous inspire ce type de réaction ?

Voilà un homme qui aime vivre dangereusement ! Heureusement pour lui, Alexis Tsipras na pas choisi une question de type « la Grèce doit-elle quitter la zone euro ? ». Dans le même genre, on a également eu quelques belles sorties de Michel Sapin telles que « le vote non n’aura pas les mêmes conséquences que le vote oui », ou encore : « je ne sais pas discuter avec quelqu’un qui dit non ».

http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2015/07/03/31003-20150703ARTFIG00361-referendum-grec-quoi-qu-il-arrive-rien-ne-sera-plus-jamais-comme-avant.php


6 juillet 2015 « Ils sont un peu gonflés les grecs, non seulement ils ont inventé la démocratie mais en plus maintenant ils veulent s’en servir. »

ET ILS SONT PASSES A L’ACTE

AUJOURD’HUI 5 JUILLET 2015 EN DISANT
NON !

Un peu comme les français l’avaient fait
un certain 29 mai 2005 pour dire NON (aussi)
à la même Europe du fric et du capital.
On connaît la suite…
avec la ratification scandaleuse et antidémocratique
du traité de Lisbonne en 2008 par les politiques qu’on connaît bien.

QUI DONC POURRAIT BIEN, CETTE FOIS,
DEMANDER AUX GRECS DE
RE-VOTER JUSQU’A CE QU’ILS DISENT « OUI » ?

Mme Merkel ?... M. Hollande ?.. M. Junker ?... M. Schäuble ?... qui d’autre ?...

ALG


6 juillet 2015 VERS UN IMMENSE SCANDALE EN GRÈCE…

Athènes, dimanche 5 juillet 2015, à 22h30.

On s’oriente vers un IMMENSE SCANDALE en Grèce, qui pourrait éclabousser les autorités européennes…

DE SOURCE OFFICIELLE, DES PLAINTES VONT SANS DOUTE ÊTRE DÉPOSÉES ET DES SANCTIONS ENVISAGÉES CONTRE DE NOMBREUSES STRUCTURES PRIVÉES QUI ONT POUSSÉ LA PROPAGANDE À SON PAROXYSME, EN ABUSANT DE LA CORRUPTION ET DU MENSONGE, ET EN VIOLANT LES LOIS ET RÈGLEMENTS EN VIGUEUR :

1 – C’est d’ores-et-déjà certain pour la plupart des chaînes de télévision qui n’ont pas du tout respecté l’égalité de temps d’antenne entre le NON et le OUI (rapport de 1 à 5, voire plus !). Les sanctions pourraient toucher jusqu’à la licence et le droit d’émettre temporairement.

2 – C’est probable pour Youtube qui a diffusé massivement de la publicité pour le OUI durant le jour de l’élection, avant les vidéos en Grèce.

http://blogyy.net/2015/07/05/vers-un-immense-scandale-en-grece/


6 juillet 2015 Paresseux, profiteurs, anti-européens : des Grecs répondent aux idées reçues diffusées à l’occasion du référendum

Fainéants, fraudeurs, dépensiers... Depuis cinq ans, les Grecs ont été accusés de nombreux maux : des clichés distillés dans certains médias et par plusieurs dirigeants politiques européens, notamment Wolfgang Schäuble, le ministre allemand des Finances. Alors que les Grecs ont répondu « non » à plus de 60% aux conditions posées par la Commission européenne et le FMI, Basta ! a choisi de les faire réagir à ces idées reçues. Qu’ils aient voté oui ou non au référendum du 5 juillet, ils témoignent tous de la brutalité des politiques d’austérité et, pour la plupart, de leur attachement à l’idée européenne. Reportage à Athènes.

http://www.bastamag.net/Paresseux-profiteurs-anti-europeens-des-Grecs-repondent-aux-idees-recues


5 juillet 2015 Fin du référendum en Grèce : le non l’emporterait à plus de 60% (résultats partiels)

Les 19.000 bureaux de vote ont officiellement fermé à 18h (heure française). Le taux de participation est de 65% selon les premières estimations. Selon des résultats partiels portant sur 20% des bulletins dépouillés, le "non" est en tête à 60,5%, le "oui" obtient 39,5%. Les résultats définitifs ne seront connus qu’en fin de soirée.

http://www.franceinfo.fr/actu/europe/article/fin-du-referendum-en-grece-le-non-l-emporterait-plus-de-60-resultats-partiels-701300


5 juillet 2015 Yanis Varoufakis : "Pourquoi voter ’non’ au référendum"

Le ministre des Finances grec, Yanis Varoufakis explique sur son blog, en six courts points clés, pourquoi le gouvernement appelle à voter "non" dimanche.

http://www.regards.fr/web/article/yanis-varoufakis-pourquoi-nous


4 juillet 2015 Référendum grec : « Un "non" rendra fières les générations futures et défendra la véritable âme de l’Europe »

« Pour la première fois le peuple peut réellement décider de son avenir. Pour la première fois il peut repousser lui-même, par son vote, le dernier chantage », lance à la tribune Zoé Konstantopoulou, présidente du Parlement Grec. Dans un discours prononcé le 1er juillet 2015, elle condamne toutes les tentatives de manipuler le sens de la question posée par le référendum : « Le oui signifie oui aux mémorandums, à la soumission et à la servitude ». Selon elle, la victoire du non ne signifiera pas une sortie de la zone euro, mais sera « un message retentissant » pour montrer que « la démocratie est l’affaire des hommes et des peuples, non des banques, des banquiers et des marchés. »

http://www.bastamag.net/Un-non-rendra-fieres-les-generations-futures-et-defendra-la-veritable-ame-de-l


4 juillet 2015 Grèce : petit guide contre les bobards médiatiques

Malgré l’ingérence et la pression des dirigeants de l’Union Européenne, le peuple grec a décidé de prendre courageusement son destin en main et d’en finir avec les politiques d’austérité qui ont plongé le pays dans la misère et la récession. Dans les pays victimes de la Troïka, mais aussi dans de nombreux autres pays européens, cette victoire est perçue comme un formidable encouragement à lutter pour mettre un terme à des politiques profitables aux marchés financiers et désastreuses pour les populations.

https://france.attac.org/nos-publications/brochures/article/grece-petit-guide-contre-les-bobards-mediatiques


2 juillet 2015 Grèce : pourquoi la position d’Alexis Tsipras reste cohérente

Malgré les rumeurs, Alexis Tsipras tient bon. Son comportement reste conduit par ses engagements devant le peuple. Un changement majeur de logique en Europe.

http://www.latribune.fr/economie/union-europeenne/grece-pourquoi-la-position-d-alexis-tsipras-reste-coherente-488719.html


2 juillet 2015 Crise de la dette grecque : Pouvoir à l’Euro-groupe ou au peuple grec ?

Suite à l’allocution d’Alexis Tsipras à la télévision grecque à l’instant : le référendum aura bien lieu dimanche, le gouvernement défend la non à la proposition des créanciers, en vue d’un meilleur accord après le résultat du référendum.
Ci-dessous un résumé de l’allocution.

En résumé :

 Le référendum ne concerne pas la sortie de l’euro mais la proposition des créanciers

 Depuis que le référendum a été annoncé, de meilleures propositions ont été mises sur la table

 Le gouvernement a fait une proposition, et si les institutions européennes les acceptent, nous répondrons

 Le mandat populaire est plus fort que la volonté d’un gouvernement

 Le choix démocratique est au coeur de la tradition européenne

 Le référendum aura bien lieu

 Les banques ont été conduites à l’asphyxie par les forces réactionnaires

 Il est inacceptable dans une Europe de la solidarité et du respect mutuel de voir ces images de queues devant les distributeurs et de banques fermées

 Le gouvernement grec garantir que les retraites seront payées normalement

 Notre bataille est justement que les retraités reçoivent de vraies pensions et pas de l’argent de poche

 Les institutions européennes cherchent à se venger du gouvernement grec, avec notamment des ultimatums sans restructuration de la dette

 Le Non n’est pas un slogan, c’est un pas décisif en direction d’un bon accord que nous espérons signer immédiatement après dimanche

 Le non ne signifie pas une rupture avec l’Europe mais un retour à l’Europe des valeurs

 Je suis conscient des difficultés que nous vivons ces jours-ci et je fais tout ce qui est en mon pouvoir pour qu’elles soient provisoires et ne durent pas

 Ceux qui disent que nous avons un plan secret pour conduire la Grèce hors de l’Europe sont des menteurs

 Je ne suis pas anti-européen : j’ai été candidat pour la présidence de l’UE

 Ceux qui veulent que l’Europe reste enfermée dans l’austérité et l’autocratie ne sont pro-européens, ils font de la politique de bas étage

 La démocratie n’est pas un coup d’Etat

 Je vous remercie de votre calme dans ces semaines difficiles, qui ne dureront pas

 Les salaires et pensions ne sont pas perdues, les dépôts ne ceux qui décident de ne pas les transférer hors de Grèce ne seront pas perdus

 Il y aura un accord, mais pas celui-ci, et je vous invite à voter non à cette proposition des créanciers

 Nous retournons désormais à ce que nous avions prévu : un tour des distributeurs automatiques à Athènes à la rencontre du peuple


1er juillet 2015 Grèce : le Conseil de l’Europe juge que le référendum « pose problème »

Délai court pour des questions complexes : le Conseil de l’Europe juge que le référendum qu’entendent organiser les autorités grecques dimanche sur les propositions de ses créanciers « pose un problème majeur ».

« Le référendum est incompatible avec nos recommandations, explique mercredi 1er juillet Daniel Höltgen, porte-parole du secrétaire général du Conseil de l’Europe Thorbjoern Jagland. Le fait que le délai soit si court pose un problème majeur, d’autant plus qu’il s’agit de questions complexes. Nous préconisons un délai d’au moins deux semaines. »

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/economie/article/2015/07/01/grece-le-conseil-de-l-europe-juge-que-le-referendum-pose-probleme_4666289_3234.html


1er juillet 2015 Sept graphiques éloquents sur le tsunami de l’austérité en Grèce

Jean GADREY » Blog Archive » Sept graphiques éloquents sur le tsunami de l’austérité en Grèce

http://alternatives-economiques.fr/blogs/gadrey/2015/03/21/sept-graphiques-eloquents-sur-le-tsunami-de-l%e2%80%99austerite-en-grece/

EXTRAIT :

"Vous ne trouverez pas ces graphiques dans les grands médias, qui préfèrent les chiffres de la dette. Ils sont pourtant éloquents et sérieux. Les sources des données sont des bases européennes. L’intervention étant d’une grande richesse, j’ai sélectionné sept graphiques. Il est utile de télécharger le diaporama complet (39 pages, en français) via ce lien : triantafillou.pdf. Il est en effet loin de se limiter à des graphiques. Il contient une analyse approfondie à la fois des thèses de la Troïka (ce qu’elle annonçait comme « bénéfices » de l’austérité : retrouver la compétitivité, relancer la croissance, etc.) et de l’échec complet d’un tel projet au regard des objectifs affichés. Sachant que derrière les objectifs affichés il y a un tout autre projet, bien caché, mais qui marche (pour l’instant) : « profiter » de la crise pour s’en prendre à l’Etat social, aux services publics, au patrimoine national, au droit du travail et aux salaires."


30 juin 2015 Un crowdfunding pour sauver la Grèce : 3 euros par européen...

Sur la plateforme de financement participatif Indiegogo, un Londonien de 29 ans a lancé une opération pour sauver la Grèce. Objectif : 1,6 milliard d’euros.

Les milliers d’euros défilent à la seconde. Depuis lundi, Thom Feeney, un Londonien de 29 ans, a lancé une opération de financement participatif sur la plateforme Indiegogo. Le but : sauver la Grèce de la banqueroute avant la fin de la semaine en lui apportant 1,6 milliard d’euros. « Cela semble beaucoup mais c’est seulement 3 euros par Européen soit le montant d’une demi-pinte de bière à Londres ou celui d’une salade feta-olives », lance-t-il sur la page de sa campagne.

http://www.liberation.fr/monde/2015/06/30/un-crowdfunding-pour-sauver-la-grece_1340273


30 juin 2015 L’euro, ou la haine de la démocratie

par Frédéric Lordon

Forcément, ça leur a coupé la chique. Qu’on puisse jouer la carte de la démocratie, c’est la chose qui est maintenant tellement hors de leur entendement qu’elle les laisse toujours sidérés, pantois et démunis. Vraiment, à cet instant, on aurait voulu voir leurs têtes, mâchoires décrochées comme des tiroirs de commodes fraîchement cambriolées : Sapin, Hollande, Moscovici, leurs experts organiques, leurs journalistes de propagande, tous ceux qui n’ayant que la « modernité » à la bouche se sont si constamment efforcés d’en finir avec le peuple, pénible démos, et pénible démocratie quand il lui vient à l’idée de ne pas se contenter de valider ce qui a été décidé pour elle. Mais c’est une némésis et personne n’y pourra rien : il vient toujours un moment où la politique chassée par la porte revient par la fenêtre. Plus elle a été chassée obstinément d’ailleurs, et plus ses retours sont fracassants.
Le référendum, ou le retour du refoulé

http://blog.mondediplo.net/2015-06-29-L-euro-ou-la-haine-de-la-democratie


29 juin 2015 Non à l’austérité ! Oui à la démocratie !

L’Europe est à la croisée des chemins. La Troïka ne cherche pas seulement à détruire la Grèce, elle s’en prend à nous tou.te.s. Il est grand temps de nous dresser contre le chantage des élites européennes.

Dimanche prochain, le peuple grec a la possibilité de refuser l’austérité, et de choisir la voie de la dignité, dans l’espoir d’une autre Europe. En ce moment historique, chacun de nous doit prendre position.

Pour nous : C’est NON à l’austérité, à la réduction des pensions de retraites et à l’augmentation de la TVA, C’est NON à la pauvreté et aux privilèges C’est NON au chantage et au démantèlement des droits sociaux
C’est NON à la peur et à la destruction de la démocratie.

Pour nous, c’est OUI à la dignité, à la souveraineté, à la démocratie, et à la solidarité avec les citoyen.ne.s grecs.

Il ne s’agit pas d’une histoire entre la Grèce et l’Europe, mais de deux visions de l’Europe : la nôtre, celle de la démocratie et de la solidarité, une Europe des peuples , sans frontières. Et la leur : celle du refus de la justice sociale et climatique, qui piétine la démocratie, qui s’attaque à la protection des plus vulnérables, et s’oppose à la taxation des riches.

Basta, Y’en a marre ! Une autre Europe est possible !

http://www.altersummit.eu/accueil/article/petition-non-a-l-austerite-oui-a?lang=en


29 juin 2015 La Grèce au cœur de l’Europe !

APPEL. Le peuple grec n’a pas un problème avec l’Europe.
Lui et nous avons un problème avec ce pouvoir « européen » qui asservit et détruit l’Europe !

Nous ne croyons pas que le peuple grec soit coupable du doublement de sa dette publique en moins de dix ans [1]. Ni qu’il doive payer cette dette artificiellement gonflée du saccage de ses droits sociaux, du naufrage de sa démocratie.

Depuis des années les pouvoirs nationaux et supranationaux qui contrôlent l’Union Européenne lui infligent une austérité assortie de « réformes structurelles » qui ruinent son économie et l’enfoncent dans une misère croissante.

http://www.politis.fr/La-Grece-au-coeur-de-l-Europe,31727.html


29 juin 2015 Référendum en Grèce : Rendons à l’Europe le sens de la démocratie !

Le peuple grec se prononcera dimanche 5 juillet lors d’un referendum portant sur la question « Oui ou Non à l’accord proposé par les créanciers. » Athènes, correspondance.

http://www.humanite.fr/referendum-en-grece-rendons-leurope-le-sens-de-la-democratie-578120


29 juin 2015 L’exclusion de la Grèce

Pour justifier l’exclusion de quelqu’un, souvent on prétend qu’il s’est exclu lui-même. C’est ce qui s’est passé hier soir à l’Eurogroupe après l’expulsion de Yanis Varoufakis.

En décrétant un référendum qui a été adopté la nuit dernière par le Parlement d’Athènes, Alexis Tsipras a mis fin à cette sinistre partie de ping-pong entre son pays et la Troïka qui désormais est à la tête de l’Union européenne. Comment dire autrement, quand on voit au « Sommet » européen de vendredi Christine Lagarde, Mario Draghi et Jean-Claude Juncker assis côte à côte. Et leur présence était loin d’être symbolique et ils avaient voix délibérative, en violation manifeste des traités en dehors desquels, selon Juncker, il n’y aurait pas de démocratie. Pire, ils menaient le processus de décision.

http://uranopole.over-blog.com/2015/06/l-exclusion-de-la-grece.html


29 juin 2015 Grèce : le double discours de la France

Lundi dernier, François Hollande disait soutenir la Grèce, promettait de peser tout son poids pour obtenir un accord. Samedi, la France n’a rien fait contre l’éjection de Yanis Varoufakis de l’Eurogroupe et empêcher le chantage des créanciers.

http://www.humanite.fr/grece-le-double-discours-de-la-france-578131


28 juin 2015 DSK s’exprime sur la Grèce, entre mea culpa et propositions

L’ancien directeur du FMI, qui était aux commandes au début de la crise grecque, est sorti samedi de son silence pour appeler les Européens à accepter une suspension temporaire des paiements d’Athènes.

http://www.liberation.fr/monde/2015/06/28/dsk-s-exprime-sur-la-grece-entre-mea-culpa-et-propositions_1338825


28 juin 2015 Tsipras annonce la fermeture des banques et le contrôle des capitaux

La situation financière de la Grèce n’en finit pas d’inquiéter. Alors que la BCE et le FMI ont maintenu leur soutien au pays, en pleine négociations avec l’Eurogroupe, la bourse d’Athènes et les banques grecques demeureront fermées lundi après l’échec des négociations entre la Grèce et ses créanciers internationaux ce week-end, ont indiqué une source financière et le directeur général de la Piraeus Bank dimanche.

Un conseil de stabilité financière de la Grèce, réunissant le ministre des Finances Yanis Varoufakis, son adjoint Dimitris Mardas, le gouverneur de la banque centrale grecque Yannis Stournaras, le président de l’association des banques grecques, le président du fonds national de sauvetage bancaire et le président de la commission des marchés financiers, s’est tenu dimanche.
Tsipras appelle les Grecs au calme

http://www.franceinfo.fr/actu/europe/article/tsipras-annonce-la-fermeture-des-banques-et-le-controle-des-capitaux-698112


28 juin 2015 Grèce : la BCE enclenche le plan B

En décidant de maintenir les fonds d’urgence bancaire à leur niveau de vendredi, la Banque centrale européenne savait qu’elle asphyxiait le système bancaire grec et plaçait la Grèce dos au mur. Le gouvernement grec a annoncé la fermeture des banques et des marchés lundi. Elle devrait durer une semaine, jusqu’à la tenue du référendum.

http://www.mediapart.fr/journal/economie/280615/grece-la-bce-enclenche-le-plan-b


28 juin 2015 Grèce : un vaccin contre l’oligarchie

Cette fois, nous y sommes. Alexis Tsipras a décidé de convoquer un référendum pour demander au peuple grec s’il faut ou non accepter d’appliquer les plans d’austérité du FMI, de l’UE et du gouvernement allemand. Il l’a fait en des termes clairs : démocratie, dignité, souveraineté nationale. Voici l’essentiel de son message. C’est le choix du peuple contre l’oligarchie.

http://antoineleaument.fr/2015/06/27/grece-un-vaccin-contre-loligarchie/


28 juin 2015 Les Grecs n’ont pas à payer une dette qui n’est pas la leur

De grandes institutions qui violent les règles élémentaires de droit, bafouent leurs propres statuts, tolèrent des malversations et des fraudes, de grands responsables politiques et financiers pris en flagrant délit d’infraction et de malversation, et pour finir un peuple grec floué, humilié et spolié, telle est la triste réalité que révèle en pleine lumière le Rapport préliminaire de la Commission pour la Vérité sur la Dette grecque |1|.

Contrairement à ce que répète à l’envi la cohorte d’experts et de journalistes invités à demeure des plateaux de télévision, des radios et de la presse écrite, la crise grecque ne trouve pas son origine dans un peuple essentialisé comme fainéant, fraudeur et vivant à bon compte sur le dos de l’Europe et de ses habitants. C’est une toute autre histoire que met en évidence la Commission à l’issue de ses premières investigations.

http://cadtm.org/Les-Grecs-n-ont-pas-a-payer-une


28 juin 2015 Allocution d’Alexis Tsipras au peuple grec

Refusant les "ultimatums" et le "chantage" des créanciers, le premier ministre grec a annoncé la décision à l’unanimité de son conseil des ministres : les propositions issues de l’Eurogroupe seront soumises à un référendum. C’est-à-dire à la démocratie.

http://www.regards.fr/web/article/allocution-d-alexis-tsipras-au


28 juin 2015 Casser la Grèce

"Que cherchent les créanciers de la Grèce, qui n’arrêtent pas de modifier les règles du jeu des négociations ?", interroge Paul Krugman sur son blog du New York Times. L’économiste américain s’inquiète aussi d’un renforcement de l’austérité dont la Grèce n’a pas besoin.

http://www.regards.fr/web/article/casser-la-grece


28 juin 2015 « Les créanciers veulent tuer le serpent dans l’œuf ! »

Le ministre grec de la Sécurité sociale, Dimitris Stratoulis, explique en quoi le soi-disant « plan d’aide » est inacceptable pour son pays, notamment s’agissant du dossier des retraites.

http://www.politis.fr/Les-creanciers-veulent-tuer-le,31720.html


1er décembre 2019

Par Rédaction Yonne Lautre

Le dimanche 1er décembre 2019

Mis à jour le 9 février 2020