Les efforts effectués pour réduire les teneurs atmosphériques en ozone, gaz nocif d’un point de vue sanitaire, pourraient être anéantis par le réchauffement climatique, révèle une étude française publiée mardi 25 juillet dans Nature Communications.
Les mesures européennes en matière de la qualité de l’air commencent à porter leurs fruits : la teneur en ozone s’est stabilisée ces dernières années et devrait, si ces efforts sont poursuivis, continuer à diminuer jusqu’en 2050. Toutefois, ces résultats devraient être fortement contrariés, voire totalement anéantis, par le réchauffement climatique. (...)