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Quotidien des alternatives
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Je vous informe la parution dans le Bulletin de la Société des Sciences Historiques et Naturelles de l’Yonne de mon article :
Lechiche et PGZ, Les pratiques commerciales de deux ocriers de l’Auxerrois de 1870 à 1889, p.89-132.
Grâce au dépouillement de 378 lettres écrites de 1866 à 1889 et conservées par M. Jean Lechiche, l’association commerciale des deux des principaux ocriers bourguignons peut être caractérisée : des clientèles différentes, des produits identiques, un travail sur échantillon, des ordres réciproques, une grande réactivité. Jusqu’en 1881, les relations entre les partenaires sont bonnes. Après 1881, elles se tendent face à la crise.
Je vous informe la parution par l’Association d’études, de recherche et de protection du Vieux Toucy d’une plaquette de 47 pages :
L’ocrerie du Beugnon à Pourrain (Yonne), 1763-1869
En 1763, Nicolas I Croiset extrait le minerai, le transforme en rouge, le broie et le blute mécaniquement. En 1775, il ouvre une boutique à Paris et vend au détail et en gros des produits de qualité sur un marché en pleine croissance. Ses fils maintiennent quelque temps le cap après sa mort, mais l’aîné Nicolas II se disperse après la mort de son frère cadet Pierre en 1789 et laisse péricliter l’activité. Le petit-fils Antoine Parquin reprend le flambeau en 1824, aidé jusqu’en 1837 par son frère Théodore. Il doit faire face à l’épuisement de la mine. Il s’impose vite en concluant des ententes avec ses concurrents et en s’appuyant à Sauilly (Diges) sur des paysans entreprenants comme Jean-Baptiste Sonnet et Joseph Lechiche. Il devient leader dans la sphère de production et dans celle de la distribution.
Bon de commande joint en pdf