C’était hier : ils s’en souviennent encore. Dans les années 50, la toute-puissante EDF (dont l’État n’est plus actionnaire aujourd’hui qu’à 83 %) poussait les paysans de la vallée du Lot à revendre leurs terres à bas prix. « Ces terres étaient importantes pour ma famille, raconte Jacques Serelys. C’était le seul endroit ou l’on pouvait emmener paître les chèvres et les quelques vaches que l’on avait ». Mais personne ne résistait à EDF et à son argument de l’ »intérêt public » : partout où c’était possible, sur les fleuves et les rivières où il restait des emplacements exploitables, le grand électricien national construisait des barrages hydroélectriques pour produire de l’électricité propre, renouvelable et pas chère. https://resistanceinventerre.wordpress.com/2019/01/19/privatisations-maintenant-les-barrages/
C’était hier : ils s’en souviennent encore. Dans les années 50, la toute-puissante EDF (dont l’État n’est plus actionnaire aujourd’hui qu’à 83 %) poussait les paysans de la vallée du Lot à revendre leurs terres à bas prix. « Ces terres étaient importantes pour ma famille, raconte Jacques Serelys. C’était le seul endroit ou l’on pouvait emmener paître les chèvres et les quelques vaches que l’on avait ». Mais personne ne résistait à EDF et à son argument de l’ »intérêt public » : partout où c’était possible, sur les fleuves et les rivières où il restait des emplacements exploitables, le grand électricien national construisait des barrages hydroélectriques pour produire de l’électricité propre, renouvelable et pas chère.
https://resistanceinventerre.wordpress.com/2019/01/19/privatisations-maintenant-les-barrages/