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Quotidien des alternatives
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L’existence de chaque espèce n’est pas une existence, c’est une co-existence avec les autres espèces, animales comme végétales.
L’harmonie paisible ne se trouve évidement pas dans la croissance démographique sans fin d’une espèce aux dépends de toutes les autres.
La croissance infinie de la prédation, de la pollution, de la consommation dans un monde fini est plus que stupide, elle est suicidaire.
L’anthropocentrisme est ridicule :
février 2017, 12170 millions d’hectares considérés comme habitables / 7447 millions d’humains = 1,634 hectare par humain de terre plus ou moins fertile, forets et forets tropicales comprises.
Pour un humain, la surface à vivre est actuellement un rectangle de 100 mètres par 163 mètres, pour se nourrir, se vêtir, se protéger du froid et du chaud, trouver sa matière première, ses énergies, nourrir et élever sa part d’ animaux domestiques comme les veaux, vaches, cochons et couvées gazouillantes, accueillir son quota de plantes et d’animaux sauvages comme les cerfs, chevreuils, chamois, sangliers, marmottes (pour la France)... son quota sur un rectangle de 100 x 163 mètres. Cela paraît déjà bien "compliqué". Ce ne serait donc plus uniquement un problème de solidarité, de répartition des "richesses", de sobriété heureuse, d’ingéniosité, d’efficacité énergétique et agricole. Au mieux, nous semblons nous diriger vers une répartition des... pénuries, causes de bien des maux.
Je salue tous ceux qui font de leur mieux.
Cordialement
MD