Victimes d’obstacles formels ou informels, nombre de citoyens ne participeront pas à la présidentielle.
Dans une nation aussi culturellement et socialement diversifiée que les États-Unis, les analyses électorales commencent souvent par la question : qui votera pour qui ? C’est éluder toutefois une question plus courte mais non moins importante : qui votera ? Tous les quatre ans, en effet, nombre d’individus restent chez eux le jour de la présidentielle, du fait de barrières formelles et informelles limitant l’accès à cette grand-messe démocratique. Ils pourraient être particulièrement nombreux cette année.
Victimes d’obstacles formels ou informels, nombre de citoyens ne participeront pas à la présidentielle.
Dans une nation aussi culturellement et socialement diversifiée que les États-Unis, les analyses électorales commencent souvent par la question : qui votera pour qui ? C’est éluder toutefois une question plus courte mais non moins importante : qui votera ? Tous les quatre ans, en effet, nombre d’individus restent chez eux le jour de la présidentielle, du fait de barrières formelles et informelles limitant l’accès à cette grand-messe démocratique. Ils pourraient être particulièrement nombreux cette année.
http://www.lecourrier.ch/143571/cette_amerique_qui_ne_vote_pas