L’apparition de soixante-quatre chansons de Georges Brassens restées inédites, c’est comme un mendiant retrouvant sa monnaie : la plénitude. Des chansons ni enregistrées, ni chantées sur scène, ni éditées nulle part, réunis dans l’ouvrage Premières chansons. Dès 1942, pour protéger ses textes, Brassens (né en 1921) concourt à la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique) : il est reçu. Quand étranglé par le trac, le chanteur inaugure la carrière scénique à Montmartre, dans le cabaret de Patachou, le 26 janvier 1952, poussé par son ami de lycée Victor Laville, le cahier du Sétois débordait de textes. http://jazz.blogs.liberation.fr/2016/07/23/soixante-quatre-inedits-signes-brassens/
L’apparition de soixante-quatre chansons de Georges Brassens restées inédites, c’est comme un mendiant retrouvant sa monnaie : la plénitude. Des chansons ni enregistrées, ni chantées sur scène, ni éditées nulle part, réunis dans l’ouvrage Premières chansons. Dès 1942, pour protéger ses textes, Brassens (né en 1921) concourt à la Sacem (Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique) : il est reçu. Quand étranglé par le trac, le chanteur inaugure la carrière scénique à Montmartre, dans le cabaret de Patachou, le 26 janvier 1952, poussé par son ami de lycée Victor Laville, le cahier du Sétois débordait de textes.
http://jazz.blogs.liberation.fr/2016/07/23/soixante-quatre-inedits-signes-brassens/