À Tarente, ces jours-ci, des ouvriers et des habitants dont le « niveau de vie » et le « pouvoir d’achat » dépendent d’un complexe industriel, proclament que leurs vies valent plus que leurs emplois.
Une grande manifestation d’ouvriers contre la fermeture de leur usine au nom de la défense de l’emploi et de l’économie : c’est ce qu’aurait dû être la journée du 2 août 2012 à Tarente, dans les Pouilles, au sud de l’Italie. Une ville dévastée par l’Ilva, aciérie monstrueuse qui a tué, blessé et rendu malades des centaines d’habitants et de travailleurs depuis cinq décennies (cancers, maladies respiratoires et cardio-vasculaires, surmortalité de 15 %), ravagé l’environnement et contraint la population à vivre recluse pour fuir les dioxines.
À Tarente, ces jours-ci, des ouvriers et des habitants dont le « niveau de vie » et le « pouvoir d’achat » dépendent d’un complexe industriel, proclament que leurs vies valent plus que leurs emplois.
Une grande manifestation d’ouvriers contre la fermeture de leur usine au nom de la défense de l’emploi et de l’économie : c’est ce qu’aurait dû être la journée du 2 août 2012 à Tarente, dans les Pouilles, au sud de l’Italie. Une ville dévastée par l’Ilva, aciérie monstrueuse qui a tué, blessé et rendu malades des centaines d’habitants et de travailleurs depuis cinq décennies (cancers, maladies respiratoires et cardio-vasculaires, surmortalité de 15 %), ravagé l’environnement et contraint la population à vivre recluse pour fuir les dioxines.
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