Les chercheurs ont modélisé le parcours des microplastiques rejetés par les effluents des stations d’épuration dans des rivières de tailles et de débits différents, en se concentrant sur les plus petits fragments de microplastiques, d’une taille inférieure à 100 micromètres (0,004 pouce), soit la largeur d’un cheveu humain. L’étude a révélé que les microplastiques s’accumulaient plus rapidement et restaient plus longtemps dans les cours d’eau à faible débit, souvent situés dans des régions reculées et riches en biodiversité, que dans les tronçons de rivière à débit plus rapide. L’accumulation de microplastiques (...)