Ainsi, nous orphelins de tes mots et de ta danse.
De tes locomo locomo locomotives d’or, de tes bibons bidons bidons villes.
De tes plumes d’ange, de tes mémés qui castagnent.
Du jazz et de la java.
Claude, nous nous battrons pour d’autres possibles.
Mais je ne sais pas écrire des mots qui dansent (...)