Publié par Charlie-Hebdo je ne sais plus quand, mais il n’y a guère.
Loin dans la belle campagne française – l’Yonne profonde -, on sert à boire au robinet une eau surchargée d’un pesticide dangereux pour la santé. Dans le silence et les filouteries coutumières. En novlangue, il s’agit d’une « variation de qualité ».
Il arrive parfois ce qui va être raconté. On reçoit un mail, on l’oublie deux ou trois heures, et puis on y revient. On commence à trouver cela intéressant. D’un côté, c’est banal. De l’autre, ça raconte bel et bien la façon dont les gens normaux et ordinaires sont traités chaque jour dans l’immense démocratie qui est la nôtre.
Publié par Charlie-Hebdo je ne sais plus quand, mais il n’y a guère.
Loin dans la belle campagne française – l’Yonne profonde -, on sert à boire au robinet une eau surchargée d’un pesticide dangereux pour la santé. Dans le silence et les filouteries coutumières. En novlangue, il s’agit d’une « variation de qualité ».
Il arrive parfois ce qui va être raconté. On reçoit un mail, on l’oublie deux ou trois heures, et puis on y revient. On commence à trouver cela intéressant. D’un côté, c’est banal. De l’autre, ça raconte bel et bien la façon dont les gens normaux et ordinaires sont traités chaque jour dans l’immense démocratie qui est la nôtre.
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