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Agir contre les transports de combustibles nucléaires en France

16 avril 2017 Des militants antinucléaires bloquent un train d’Areva près de Narbonne : ils réclament un grand débat public

Pétition : Il faut abandonner le nucléaire, et maintenant !
Les catastrophes nucléaires de Tchernobyl et de Fukushima ont eu lieu à 25 ans d’intervalle.
Pourtant, on nous avait assuré que de tels accidents étaient quasiment impossibles ! Nos responsables politiques l’ont cru, et nous aussi. En réalité, la probabilité d’un tel accident est impossible à calculer. Mais elle fut estimée à une fois en cent mille ans. La triste vérité est que ce fut deux fois en vingt-cinq ans. Aujourd’hui, un peu moins de 400 réacteurs nucléaires sont en état de fonctionner dans le monde. La prochaine catastrophe se produira n’importe où, n’importe quand. Et l’état actuel de ces centrales viellissantes ne peut qu’augmenter la probabilité d’une nouvelle catastrophe.

http://www.cyberacteurs.org/cyberactions/commentaires.php?id=727


15 avril 2017 Agir contre les transports d’uranium en France : Blocage d’un train d’uranium à Malvési/Narbonne ce samedi 15 avril : soutien total aux bloqueurs-euses !

Des militants du collectif Stop Uranium bloquent actuellement un train chargé d’uranium à Narbonne. Le collectif Arrêt du Nucléaire 34, le Réseau "Sortir du nucléaire" et Stop nucléaire 26-07 expriment leur soutien aux militants et rappellent l’urgence à arrêter le nucléaire.

Alors que les élections présidentielles arrivent à grand pas, le collectif STOP-Uranium bloque actuellement un train chargé d’uranium (UF4 ou tétrafluorure d’uranium) à l’entrée de Narbonne. Ils ont ainsi interrompu un trafic nucléaire dangereux. Ce trafic est permanent sur tout le territoire, par route ou voie ferrée. Rien qu’entre l’usine de Malvési/Narbonne (Aude) et l’usine Georges Besse 2 du Tricastin/Pierrelatte (Drôme-Ardèche), un train transite chaque semaine, traversant de nombreuses grandes villes au mépris de la sécurité des populations et sans que personne n’en soit informé.

http://www.sortirdunucleaire.org/Communique-commun-Blocage-d-un-train-d-uranium-a


27 février 2015 Agir contre les transports d’uranium en France : Void-Vacon - La plateforme LMC/AREVA hors la loi ?

Communiqué de presse du collectif des habitants vigilants de Void-Vacon

La plateforme LMC/AREVA hors la loi ?

Un convoi d’hexafluorure d’uranium fissile y stationne plus de 48H, contrairement à l’information donnée aux habitants.

Entre le vendredi 20 février et le lundi 23 février, le Collectif des Habitants vigilants, qui effectue une surveillance régulière et attentive de la plateforme LMC à Void-Vacon (Meuse), a constaté le stationnement d’un convoi nucléaire pendant plus de 48H. Le collectif tient à en informer la population et s’interroge sur le statut légal de cette base logistique qu’AREVA semble utiliser désormais aussi comme base d’entreposage.

http://www.sortirdunucleaire.org/Void-Vacon-La-plateforme-LMC-AREVA-hors-la-loi


20 février 2014 Agir contre les transports d’uranium en France : Victoire des bloqueurs d’uranium à Narbonne

Aujourd’hui a eu lieu à Narbonne le procès des militants de Stop Uranium qui avaient bloqué un camion d’uranium à sa sortie de l’usine Comurhex Malvési, en septembre 2013. Cette action non-violente de désobéissance civile, destinée à dénoncer les risques des transports radioactifs qui sillonnent la région, a débouché sur une dispense de peine pour les militants. Le Réseau “Sortir du nucléaire“ se félicite de ce résultat, qui constitue un premier pas vers la reconnaissance de la légitimité de ces actions et est une victoire pour les antinucléaires.

http://www.sortirdunucleaire.org/Victoire-bloqueurs-uranium


18 février 2014 Nous sommes 8300 bloqueuses et bloqueurs d’uranium à demander la relaxe des 23 de Malvési

En septembre 2013, lors d’une action non-violente de désobéissance civile, quarante personnes du collectif STOP-Uranium ont bloqué un camion de tétrafluorure d’uranium pour dénoncer les risques des convois radioactifs qui sillonnent la France. L’affaire sera jugée le 20 février 2014. Le Réseau “Sortir du nucléaire” réaffirme son soutien à toutes les personnes qui ont participé à l’action. Au côté des 8300 personnes et personnalités qui ont signé le texte « Nous sommes tou-te-s des bloqueur-se-s d’uranium », il dénonce les dangers liés aux transports de matières radioactives, qui circulent dans l’opacité la plus totale.

http://www.sortirdunucleaire.org/Nous-sommes-8300-bloqueur-se-s-d-uranium-et-nous


12 février 2014 Agir contre les transports d’uranium en France : Deux ans de prison pour avoir bloqué un convoi d’uranium ?

Terry Morantin encourt deux ans de prison et 4 500 euros d’amende. Elle est inculpée d’ « entrave à la circulation » d’un transport de matières dangereuse. Le 12 septembre 2013, cette militante anti-nucléaire a participé à une action du collectif Stop Uranium devant l’usine Areva-Comurhex de Malvési, près de Narbonne. Avec une quarantaine d’autres militants, ils ont bloqué un camion chargé de tétrafluorure d’uranium, aussi appelé UF4 – une substance radioactive servant à fabriquer le combustible des réacteurs nucléaires.

http://www.bastamag.net/Justice-solidaires-avec-une


17 décembre 2013 Agir contre les transports d’uranium en France : Nous sommes tou-t-e-s des bloqueurs-ses d’uranium !

Solidaires de leur camarade poursuivie pour une opération de blocage d’un camion chargé d’uranium, le 12 septembre dernier dans la banlieue de Narbonne, les militants du collectif Stop Uranium et les participants à cette action demandent « à comparaître volontairement à ses côtés lors de l’audience du 7 janvier au TGI de Narbonne ».

Le 12 septembre dernier, nous étions une quarantaine de militants du collectif Stop Uranium à bloquer un camion chargé d’uranium, à la sortie de l’usine Comurhex Malvési, située dans la banlieue de Narbonne (Aude). Après l’action, une de nos camarades a été placée en garde à vue. Elle est convoquée au tribunal de grande instance de Narbonne le mardi 7 janvier.

Stop Uranium est un collectif d’individus qui s’est formé pour lutter contre l’industrie nucléaire en organisant des actions de désobéissance civile. Toutes et tous, nous avons, au cours de notre vie militante, participé à des manifestations, actions d’information, d’interpellation des autorités… Des démarches officielles ont été entreprises. Mais face à l’opacité de l’industrie nucléaire et au poids du lobby, ces démarches ont toujours été vaines. Nous avons donc décidé d’entrer en résistance, nous opposant de manière collective et non-violente à l’industrie de l’uranium, dans ce qu’elle comporte d’inadmissible dans son fonctionnement quotidien et routinier.

De l’extraction de l’uranium au retraitement des déchets, en passant par les étapes de transformation et d’enrichissement, chaque jour le système nucléaire entraîne des nuisances et pollutions chimiques et radioactives. Il expose les populations au risque d’un accident majeur, nécessite des transports dangereux et produit des déchets dont personne ne sait que faire.

Organiser des actions sur les sites de l’industrie et contre les transports de matières radioactives est devenu aujourd’hui, pour nous, plus qu’une évidence, une nécessité ! Si nous ne voulons pas faire peser les conséquences néfastes de nos choix énergétiques sur les générations qui nous suivront, il est de notre devoir aujourd’hui, lanceurs d’alerte, de nous opposer à cette industrie de mort.

Ce choix, nous l’avons fait en conscience, et collectivement. Cette action, contrairement à ce que souhaitent faire croire les autorités, ne reposait pas seulement sur la personne qui, à l’aide de son véhicule, a ralenti le trafic routier ce jour là. Cette action, nous l’avons organisée ensemble, pour en assurer la sécurité, celle des militants comme celle des automobilistes, et nous en assumons les conséquences ensemble.

C’est pourquoi, nous, participants à l’action de blocage du 12 septembre, nous nous déclarons solidaires de notre camarade poursuivie et demandons à comparaître volontairement à ses côtés lors de l’audience du 7 janvier au TGI de Narbonne.

Nous sommes tou-t-e-s des bloqueurs-ses d’uranium !

Face à l’entêtement d’un lobby qui, malgré Tchernobyl et Fukushima, continue à mépriser l’intérêt général, faisant courir des risques insensés aux populations, nous espérons que ce type d’actions va se multiplier.

Signataires

Le collectif Stop Uranium et les 23 de l’action de Malvési (ci-dessous), avec le soutien du réseau Sortir du nucléaire

16 décembre 2013 : http://blogs.mediapart.fr/edition/nucleaire-lenjeu-en-vaut-il-la-chandelle-pour-lhumanite/article/161213/nous-sommes-tou-t-e-s-des-bloqueurs-ses-dura


20 novembre 2013 Barrons (encore) la route à l’uranium ! Du 30 novembre au 1er décembre

Pour les 30 novembre et 1er décembre, le Réseau "Sortir du nucléaire" a lancé un appel à mobilisation afin de barrer une nouvelle fois la route à l’uranium !

Déjà de nombreux groupes se sont saisis de cet appel. Voici une liste non-exhaustive d’actions qui se dérouleront le week-end prochain :

Drancy (93) : café nucléaire contre les transports de déchets
Strasbourg (67) : rassemblement antinucléaire et action visuelle
Chalon-sur-Saône (71) : déambulation contre la chaîne du combustible
Narbonne (11) : actions rond-point et tractages sur deux jours
Montpellier (34) : déambulation, point-presse et happening
Avranches (50) : rassemblement antinucléaire
Valence (26) : action d’information
Bourges (18) : action de sensibilisation aux transports des déchets nucléaires
Yutz (57) : action d’information sur le marché
Poissy (78) : happening contre les transports
Gorges et Grétigné (44) : randonnée découverte des m ines d’uranium

http://groupes.sortirdunucleaire.org/article30285?date=2013-11


13 septembre 2013 Un camion radioactif bloqué pour attirer l’attention sur les transports d’uranium

Une cinquantaine de militants du collectif STOP-Uranium ont arrêté, jeudi 12 septembre, un camion qui quittait le site de la Comurhex Malvézy (Aude), usine de conversion d’uranium, pour rejoindre l’usine Comurhex de Pierrelatte (Drôme). Ils dénoncent la dangerosité de ces transports et l’opacité qui les entoure.

http://www.reporterre.net/spip.php?article4682


28 octobre 2020

Par Rédaction Yonne Lautre

Le mercredi 28 octobre 2020

Mis à jour le 28 octobre 2020